Illustration : mort de Sénèque, ayant reçu l’ordre de Néron de se suicider. Le philosophe Sénèque meurt sans peur et sans reproche… regardant la mort en face jusqu’au bout.
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Mise en place de la dictature : un processus en marche
Pour qu’une dictature puisse se mettre en place et pour obtenir la pleine docilité des populations que l’on désire soumettre, il est impératif de formater les esprits.
Nous avons vu dans un article précédent que le premier travail consiste à fracturer la société en deux camps et que l’épisode de la pandémie a donné l’impulsion décisive pour la poursuite de ce plan machiavélique :
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Nous observons donc que la distanciation sociale imposée au motif d’une nécessité sanitaire a produit deux camps pratiquement irréconciliables. Il y a ceux qui pensent que les mesures de précautions imposées sont frappées de bon sens et que ceux qui ne veulent pas s’y soumettre seraient des criminels. Opinion largement majoritaire. Et il y a les autres, minoritaires, qui pensent que ces mesures visent surtout à limiter nos libertés fondamentales.
Ainsi, le premier objectif de la dictature est atteint. Obtenir le consentement de la majorité contre l’opinion de la minorité.
L’opinion de la majorité est ainsi largement relayée par les médias aux ordres de la dictature et financés par celle-ci et il est donc logique de criminaliser l’opinion de la minorité. Pour la majorité, la minorité devient des criminels à abattre tandis que la minorité considère la majorité comme des malades à soigner. Dans cette perspective, quel malade accepterait de se faire soigner par ce qu’il croit être des criminels ? Il n’est plus capable de faire la différence entre ceux qui lui veulent du bien et ceux qui utilisent sa soumission volontaire pour servir d’autres plans. Ainsi un deuxième objectif poursuivi par la dictature est atteint : Diviser pour régner.
Au motif de limiter la « haine », la dictature va produire des lois visant à limiter la liberté d’expression. En France, la loi Avia par exemple. Dès lors, seule l’opinion formatée de la majorité par la dictature sera celle relayée par les médias triés sur le volet par cette dernière.
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A ce stade du processus, mais qui pourrait bien être à la manœuvre derrière un plan d’une telle perversité ?
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Voici une intéressante suggestion :
Dialogue entre le diable et son petit fils :
- Et comment as-tu fait pour amener autant d’âmes en enfer à ce moment là ?
- Avec la peur.
- Oh oui … stratégie excellente, vieille mais toujours actuelle. Et de quoi avaient-ils peur ? Peur d’être torturés, peur de la guerre, de la faim ?
- Oh non, peur de tomber malades.
- Mais alors, personne d’autre n’est tombé malade à ce moment là ?
- Oh si, ils sont tombés malades !
- Personne d’autre n’est mort ?
- Si si, ils sont morts !
- Mais, n’y avait-il aucun remède pour la maladie ?
- Si, bien sûr.
- Mais alors, je ne comprends pas ?
- Étant donné que personne ne croyait ni n’enseignait la vie éternelle et la mort éternelle, ils pensaient n’avoir que cette vie-ci et ils s’agrippaient à elle de toutes leurs forces, comme la misère sur le monde. Même si cela leur coûtait toutes leurs affections (ils ne s’embrassaient plus, ne se touchaient plus, ne se saluaient plus pendant des jours et des jours …). Ils ont perdu leur travail, dépensé toutes leurs économies et s’estimaient encore heureux de ne plus pouvoir gagner leur pain et préféraient mourir de faim !
Ils ont perdu toute intelligence. Un jour, les médias leur disaient une chose, un autre jour son contraire et ils croyaient toujours tout ce que l’on leur disait ! Ils ont perdu leur liberté sans même s’en apercevoir (ils n’ont pas quitté leur maison, ne sont pas sortis au soleil à ciel ouvert, ils n’ont pas visité leurs parents transis de peur … Ce fut un immense camp de concentration pour prisonniers volontaires). Un moment formidable pour moi.
Ils ont accepté tout, tout, pourvus qu’ils puissent sauvegarder leur misérable vie ne fût-ce qu’un jour de plus ! Ils n’avaient pas la plus petite idée que Lui et seulement Lui pouvait donner la vie et la reprendre. Ce fut tellement facile pour moi, comme cela ne l’a jamais été.
Texte adapté du livre « Lettre du diable à son petit fils » de C.S Lewis, auteur chrétien des chroniques de Narnia. Ce texte fut publié en 1942.
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Et à présent une video terrifiante à visionner :
Les faits : sur un train Rapide Rome Lecce (au fin fond du sud de l’Italie), un homme a retiré son masque pour répondre au téléphone et une femme hystérique l’a copieusement insulté et lui a ordonné en rengaine « metti la mascherina » (mets le masque, homme de merde, moi je te tue, je te casse la gueule) et une infinité d’insanités intraduisibles le tout devant le contrôleur impuissant. Elle s’est levée et a voulu lever la main sur l’homme qui l’a repoussée. Elle a alors crié que c’était lui qui l’avait touchée et qu’il y avait des témoins … Il a fallu une heure pour calmer les esprits. La femme va porter plainte et la police a relevé l’identité des personnes témoins. C’est l’illustration de ce qui nous attend, du fait de la psychose qui a rendu malade les esprits.
Tantissimi i controlli in Campania, effettuati nelle stazioni ferroviarie, negli aeroporti e in quelle portuali.
Merci à Gianni pour cette excellente analyse, ô combien juste.
Je ne partage pas, ainsi que nombre de nos lecteurs, sa foi chrétienne non plus que l’idée que les gens ont peur de la mort parce qu’ils n’ont pas la foi et l’espérance de la vie éternelle. Gianni est pasteur, il défend sa vision du monde, mais ce n’est pas celle de RR. Dans l’histoire du monde, d’ailleurs, on a eu et vu trop de héros mécréants, hérétiques, païens et athées qui n’avaient pas peur de la mort. Les Leonidas, les Alexandre, les Jules César n’étaient pas chrétiens et ne croyaient pas à une vie éternelle sauf ceux qui prenaient pour la réalité certains mythes comme ceux évoqués par Platon dans le Phédon où il évoque/imagine une âme éternelle qui volerait de corps en corps…
Et je ne suis pas sûre que nos Croisés qui sont allés combattre pour le tombeau du Christ étaient tous des chrétiens convaincus, il y avait parmi eux des être libres, des libertins qui allaient combattre au nom d’une civilisation, bien plus que pour la chrétienté.
Et les philosophes et autres suicidés qui se sont donné la mort, comme Sénèque, comme l’épicurien Montherlant.. n’avaient pas peur de la mort, quoique athées. Sénèque reçoit l’ordre de Néron de se tuer, il organise sa mort, sans pleurer, sans gémir. Pour Montherlant, au contraire c’est quand la vie qu’il adorait ne lui a plus permis de vivre sa vie comme il le souhaitait qu’il a fait le choix de la mort, par amour de la vie… J’aime la grandeur de l’homme qui n’attend rien et qui regarde la mort en face, parce qu’elle est inéluctable.
Bref, avoir peur de la mort, parce qu’on aime la vie est normal et même souhaitable. C’est justement ce qui donne du prix à la vie.
Ce qui est regrettable dans la scène ci-dessus, dans la peur panique et illogique que l’on voit ici ou là c’est la côté timoré, moutonnier des soumis qui laissent des crétins dictatoriaux comme Macron les manipuler…
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Grecs anciens et Romains avaient de multiples Dieux qu’ils honoraient dans les temples et allaient leur demander la victoire par des offrandes et des prières la veille des grandes batailles, ils leur élevaient de magnifiques temples en marbre, riches en décorations
les Gaulois, les Celtes également avaient leurs Dieux et leurs druides, et le Dieu de la guerre qui était invoqué lors des combats
les Anciens croyaient à la réincarnation, toute l’antiquité y a cru jusqu’au Concile de Nicée qui a décidé d’interdire cette croyance et d’effacer toute trace s’y rapportant dans les Saintes Écritures,
Les Anciens croyaient en l’existence de l’âme, c’est ce qui nous a donné de si grands penseurs et écrivains, car c’est une dimension supplémentaire de l’être humain que la modernité a perdu
‘Mise en place’ ? je ne sais pas ce qu’il vous faut encore, on y est complètement déjà ! les dictatures gigognes de l’UE et lerm me suffisent : toute la part de la population descendant de ceux qui ont fait ce pays, méprisée, mise au pas, éborgnée, au profit des envahisseurs imposés par les collabos corrompus !!!
@ Christine. C’est certain que le courage et l’abnégation ne sont pas des qualités réservées aux Chrétiens et il est juste de l’avoir opportunément rappelé.
Et savez-vous ce que dit Néron au chevet de son précepteur Sénèque : » cé n’est-qu’ un aurevoir mes frères… » d’où l’origine de cette chanson!
Un homme a tellement peur de mourir qu’il décide d’aller se cacher sur une île lointaine espérant fuir la mort. A peine arrivé, il entend une voix lui dire: Je ne t’attendais pas sitôt.
Eh bien moi, je dis bravo à tous les deux : mon ami Gianni et Christine.
Bravo à mon ami Gianni de nous expliquer, d’abord, le processus inéluctable de l’installation de la dictature dans notre pays. Puis de nous montrer une illustration de la déresponsabilisation et abêtissement maximum que provoque la dictature dans l’esprit des gens par cette dame hystérique dans le train.
Je dis aussi bravo à Christine d’avoir accepté de publier l’article de Gianni. Peu à sa place l’aurait fait. J’ai lu également, avec beaucoup d’intérêt, les explications que vous donnez, Christine, pour « justifier » l’absence de votre foi, ainsi que probablement de nombreux lecteurs de RR comme vous le précisez.
Vos arguments sont vrais, ils sont chocs. Cependant, l’attitude et les décisions d’un certain nombre d’individus peuvent-elles démontrer la non-existence de quelque chose, ou de quelqu’un ?
Tous les rapports officiels « démontrent » l’inefficacité du traitement de l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine du professeur Raout. Ceci est-il une preuve que ce traitement est inefficace ? Nous savons tous que non, puisque tous les rapports officiels ont été truqués, et que le traitement proposé par le professeur Raout ne doit, à aucun prix, être prescrit en France comme l’ont décidé les politiques actuellement en place. Ce traitement pourrait sauver des vies, ce qui est insupportable pour Macron.
Mais comme tout le monde le sait, cette question de la foi et simple et très compliquée en même temps. On pourrait en discuter des jours entiers.
Également je vous rejoins Christine concernant la passivité effroyable de l’individu qui subit une agression hors du commun de la part de cette femme. On ne se demande pas pourquoi les islamo-gauchistes imposent en permanence leurs idées destructives de notre société car ils sont mille fois plus agressifs que les autres.