Illustrations : encres de Xavier Coste
Troquer l’écologie de la peur contre celle de l’espoir.
En politique, l’amour de la nature devrait être une évidence !
Stop aux délires des écolos ! Comme les pastèques, ils sont verts dehors et rouge dedans.
Place à un “conservatisme vert” !
L’écologie est devenue une revendication politique qui nous a été confisquée. Mettons la Nature au cœur de la pensée conservatrice !
C’est le cri du coeur de Gregory Roose qui s’intéresse à la question de l’écologie dans un article de Valeurs actuelles.
Voici le début de son article :
La gauche progressiste détient le monopole idéologique de l’écologie politique
Dans ce nouvel article publié dans l’hebdomadaire Valeurs actuelles, je m’intéresse à l’écologie traitée d’un point de vue conservateur en rappelant que la gauche progressiste détient le monopole idéologique de l’écologie politique. J’avance que le “monde d’après” doit être l’occasion de faire émerger un “conservatisme vert” dans les sphères intellectuelles, médiatiques puis politiques.
Le président de la République préparerait un grand discours sur « le monde d’après ». Quelles que soient les annonces qui seront faites lundi prochain, les cartes seront à redistribuer dans tous les domaines, et dans ce monde à réinventer, la question de l’écologie tiendra une place importante. Chasse gardée de la pensée progressiste au même titre que l’éducation, la culture ou le monde des médias, l’écologie est pourtant un conservatisme : préserver son environnement, le modifier seulement quand c’est nécessaire, prélever sans dénaturer, sans défigurer…
Dans la pensée progressiste ancrée à gauche, l’objectif est d’imposer, désormais par la voix de son nouveau héraut Greta Thunberg, la supériorité absolue de la nature sur l’Homme. La doctrine conservatrice cherche au contraire à établir un rapport équilibré entre l’Homme et la nature.
L’écologie est un enjeu qui doit transcender les clivages politiques, ce qui est rigoureusement impossible dans cette situation de monopole idéologique tenu par la gauche progressiste.
Il est donc urgent de faire émerger un conservatisme vert dans les sphères intellectuelles, médiatiques puis politiques.
Le défi majeur du conservatisme vert est de construire un nouveau corpus idéologique tourné vers l’action, capable de convaincre et de rassembler en renonçant, dans sa posture, à la peur et à l’angoisse agitées en permanence par le progressisme pour répandre son écologie punitive.
Par-dessus tout, il doit œuvrer à l’épanouissement des individus et à l’émancipation des peuples, troquer l’écologie de la peur contre celle de l’espoir.
Voir aussi, parmi les nombreux articles de RR :
Les Allemands ont Naomi l’anti-Greta, qui a des sympathies pour l’AfD…
Ségolène Royal défend Greta mais refuse de soutenir Mila, menacée de mort…
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Dorylée
17 avril 2020 at 21 h 09 min
en effet!
mille merci Dorylée!
depuis plus de 35 ans !!
aux dernières nouvelles;
« » » » »Waechter est désigné par le conseil national du MEI de mars 2016 comme candidat à l’élection présidentielle de 201710,11,12 ; il obtient 11 parrainages sur les 500 requis pour pouvoir se présenter . Il figure en dernière position de la liste Urgence écologie de Génération écologie pour les élections européennes de 2019 « » » » » » » » » »
sic transit gloria !!
il avait obtenu 480 voix d’ élus au debut de ses ambitions
et 11 a la fin….y avait de quoi se faire des cheveux pourtant ………: 😆
L’écologie politique c’est les éoliennes, les centrales photovoltaïques, les voitures électriques, le réchauffement climatique anthropique et les pets de vaches » planèticide » et, moumoute sur la pastèque, Gréta thunberg, le phare de la pensée écolo, handicapée mentale. Comme disait l’autre : » plus il y a d’écolo sur le bord de la rivière, plus les poisons ont peur… «
Les « écolos », pour la plupart sont d’anciens communistes, qui ayant honte des massacres des bolcheviques,se sont coloriés en « vert »! mais ils restent des fascistes rouges sanguinaires sataniques comme le Troski
Question:
Est-ce que ramasser les bouteilles de bière et autres boissons fortes jetées par des envahisseurs qui ne boivent pas d’alcool, dans la rivière devant chez moi, depuis plus de trente ans( ce qui s’amplifie chaque jour un peu plus), est considéré comme aimer la nature?
Et encore, quand ils ne les cassent pas avant de les jeter à l’eau, pour que les chiens qui vont se mouiller les pattes aillent visiter les vétérinaires.
je prétends etre mille fois plus un vrai écolo et depuis des décennies
quand mes enfants etaient gosses, avec d’ autres parents d’ élèves du primaire nous organisions le samedi matin des « ateliers » avec les instits
lepapa mécano leur faisait demonter et remonter un moteur de 4L, le papa tailleur de pierre leur faisait faire une maquette de cheminée en tuf, et pour ma part avec une maman je leur offrais mes connaissances en ornithologie,et entomologie, la maman, -Renée Torcheux- leur inculquait la botanique comme les plantes comestibles
en automne nous faisions des dizaines de nichoirs, selon les plans de la Hulotte, ainsi que les pains de graisse pour placer toutes ces productions en forêt
les mômes ont du , avec mon aide et celle de deux autres adultes fabriquer une centaine de nichoirs ( mésanges charbonières, mésanges bleues, nonettes, sitelle torchepot)
voilà de la vraie écologie!
c’était a l’ époque ou un « écologiste » de mes deux , chauve comme un oeuf et porteur de moumoute s’ était fait pieger en confirmant que s’ il était élu il enlèverait sa moumoute
me souviens plus de son nom….
dejà! ces escrocs gauchistes de toujours se foutaient de la gueule desFrançais….
crapules vertes rouges
une pastèque éclatée
Antoine Waechter, un des phares de l’écologie politique…