Ben oui, c’était mieux avant, quand la société ne s’était pas déshumanisée…

Illustration des veillées d’antan (conte des Pyrénées).

Heureux temps des veillées d’autrefois que la vie actuelle et la télévision ont fait disparaître : notre société s’est déshumanisée et c’est bien dommage !

Autrefois, avant la télévision et le « communautarisme », la veillée de voisinage était un moment de parole et le  creuset de la mémoire villageoise.

Les veillées hivernales cessaient à cette époque de l’année avec l’arrivée des travaux de printemps de février-mars.

Et si elles  renfermaient un précieux secret ?

Aujourd’hui, les gens paieraient des fortunes pour le connaître.

Ce grand  secret ? C’est que pour vivre en harmonie, il faut se parler.

Le manque de lien et de dialogue entre les gens est une des plaies de notre société (problème : comment parler avec  des groupes hostiles à nos valeurs parce qu’ils ont amené le Coran avec eux…).

« Il y avait place pour tous autour de ce grand feu pétillant »…

(citation dans le dernier témoignage)

 

Quels changements depuis cette époque : la société contemporaine est tout l’inverse.

Communautarisme : emprise excessive des appartenances héritées, notamment ethniques et religieuses (islam), sur les individus.

Accroissement des tensions entre groupes, qu’ils soient constitués sur une base ethnique, religieuse (islam incompatible avec l’occident) ou culturelle.

Impossibilité à vivre avec des groupes qui haïssent l’Occident : « calcification » des rapports sociaux.

Processus d’individualisation : celui-ci se manifeste, entre autres, par un déplacement du centre de gravité du lien social, de plus en plus construit à partir de l’individu et de moins en moins hérité du passé ou imposé par le groupe.

Individualisation de l’enfant : phénomène tout à fait fondamental pour comprendre les difficultés que rencontrent la famille et l’école dans leur « fonction » de socialisation. Avec la diminution de la taille des fratries, les enfants disposent fréquemment d’une chambre individuelle, avec une privatisation de plus en plus précoce de l’équipement audiovisuel (TV, Internet).

Pour Marcel Gauchet (2002) la famille ne socialise plus : alors qu’elle était en charge de la production d’un « être pour la société », elle serait devenue un « refuge contre la société ».

Distance culturelle croissante entre les générations, touchant toutes les classes sociales : la transmission des valeurs et des normes se fait de plus en plus horizontalement, que ce soit par l’intermédiaire des médias ou des groupes de pairs.

Développement de l’insécurité au cours des trente dernières années qui alimente une méfiance plus générale vis-à-vis de l’espace public. La délinquance de plus en plus violente et les incivilités ont en commun de menacer les codes sociaux à l’aide desquels est évaluée l’innocuité du rapport à autrui. Elles contribuent de ce fait à détériorer la confiance interpersonnelle et engendrent le repli Le laxisme judiciaire sélectif  est interprété par les citoyens comme un manque d’intérêt de l’institution judiciaire pour les préjudices dont ils sont les victimes et il favorise un sentiment d’impunité chez les auteurs d’actes délictueux ou criminels.

Voici, à travers quelques textes, une évocation des veillées anciennes.

Le principe de la veillée, il y a très longtemps : « faire assemblée »…

S’il est un aspect de la culture paysanne dont nos contemporains gardent la nostalgie, c’est bien la veillée. Peut-être parce qu’elle exprime de manière particulièrement « parlante » le sentiment de l’originalité de la communauté et de l’entraide de voisinage.

Jusqu’au moment où l’école commence à laisser son empreinte (1880), écrire demeure un acte rare. La veillée est le moment par excellence où la parole va transmettre récits, recettes et ragots. C’est en quelque sorte le creuset de la mémoire villageoise.

C’est surtout en hiver, tant il est long et ennuyeux, qu’on se rend d’une maison l’autre « faire assemblée ». En général, les veillées débutent à la mi- automne, à partir de septembre en Vendée la Toussaint dans le Midi, le jour de la St-Martin (11 novembre) en Bourgogne. Les travaux de printemps de février, mars ou Pâques sonnent le glas des veillées…

D’après : La fin des veillées, Hervé Luxardo, Dans Rase campagne (1984)

…avant la Seconde Guerre mondiale.

C’est avec nostalgie que nos anciens évoquent les veillées d’autrefois.

En réunissant jeunes et vieux d’une même communauté, elles permettaient, au-delà du simple plaisir de se réunir, de tisser et d’entretenir des liens sociaux et surtout générationnels inestimables.

Léon Lhermitte clément Bellanger la veillée Paysanne

A la mauvaise saison, alors que les travaux des champs laissent du répit, le soir quand on s’est acquitté des obligations du jour, les veillées échappent à la stricte économie du quotidien ; elles s’ouvrent au temps privilégié du partage : partage des histoires et de la mémoire, partage de l’expérience et du travail, partage du vin et de la nourriture, partage des joies et des peines. Ces heures partagées sont celles de la nuit. Inquiétante et mystérieuse, elle plante à elle seule le décor.

La nuit de nos ancêtres n’est pas la même que la nôtre. L’électricité est rare dans les campagnes avant la Seconde Guerre Mondiale, on ne dispose pour s’éclairer que de lampes à pétrole, à huile ou à carbure. Cette clarté indigente creuse la pénombre alentour, visages et voix prennent du relief, le monde se trouble de présences fantastiques et, réuni dans cette oasis de lumière, le groupe se resserre. Parfois, par souci d’économie, on se contente de la seule lueur du feu, car la cheminée est sans conteste l’élément central de la veillée. Seul moyen de chauffage et de cuisson, elle est souvent si grande dans l’habitat rural traditionnel qu’on peut s’installer dedans !

Lorsque la veillée accueille beaucoup de monde, elle se tient dans la grange ou l’étable. Dans pareille atmosphère, les conteurs captivent leur auditoire. La veillée est en effet un moment privilégié pour raconter et écouter. La parole passe de proche en proche. Les plus anciens sont les plus experts. Ces histoires distraient, mais elles instruisent aussi et transmettent les savoirs, la culture et les valeurs de la communauté. Les légendes traditionnelles mettant en scène sorcières, diables et loups garous, sont autant de leçons de vie pour les enfants. On échange aussi des anecdotes, des nouvelles diverses… Celui qui a voyagé raconte ce qu’il a vu. Les hommes évoquent la chasse, le service militaire ou la guerre. Ces histoires créent un lien entre les générations. Chacun se reconnaît et reconnaît les autres dans ces récits entendus depuis l’enfance.

La veillée rassemble tour à tour autour du travail et du jeu. On casse les noix, on « échaille » le maïs, on trie les haricots, on fend les châtaignes.  En Provence, on prépare les amandes pour le nougat de Noël. Les femmes tricotent ou raccommodent tandis que les hommes entretiennent leurs outils. Mais les veillées sont aussi l’occasion de jeux. Les hommes sortent les cartes. On joue aux devinettes, à « cache ma bague « , etc… On chante aussi, on joue de la musique, parfois on danse. Le maître de maison offre de son vin ou de son cidre que chacun se doit d’apprécier alors que les femmes font griller les châtaignes ou font mijoter de la pâte de fruit. On échange alors recettes et savoir-faire.

http://www.passionprovence.org/archives/2018/04/03/36235483.html

Témoignage : dans le Lauragais d’autrefois (42), souvenirs des veillées hivernales

« A partir de mi-décembre, quand les emblavures et labours étaient terminés, commençait une tradition incontournable : faire des échanges de veillées.

Après le souper (repas du soir en Occitanie où l’on servait souvent la  soupe), nous partions bien couverts, équipés de lampes tempête ou à carbure et bien souvent au clair de lune en suivant les sentiers (carreirons) tracés d’une ferme à l’autre.

Nous étions attendus et bien accueillis. Souvent nous commencions la conversation en prenant des nouvelles des uns et des autres, des nouveaux événements, de l’avancée de certains petits travaux.

Les hommes prenaient ensuite place autour de la table pour jouer le plus souvent à la manille coinchée – si on gagnait la partie, les points était doublés – pendant que les femmes s’installaient autour du feu en tricotant ou reprisant les chaussettes.

Les enfants, eux, allaient jouer dans l’étable (l’estable). Au coin du feu, assis sur la caisse à sel, l’ancien de la maison racontait ses souvenirs d’autrefois : la guerre, les tranchée, les gaz, l’ennemi mais il évoquait aussi parfois les sorciers, les jeteurs de sorts.  Apres la première manche, les hommes allaient faire un tour dans l’étable, la conversation portait alors sur les animaux.

Dans notre secteur, les veillées avaient lieu le jeudi, jour de marché ou de foire à Caraman. Étaient relatés alors le prix des veaux, le cours du cochon. On évoquait aussi celui qui ne s’était pas décidé, et qui avait finalement repris le veau malgré le risque de diarrhées, de grippes transmissibles sur le champ de foire au risque même de mettre en danger les autres animaux de la ferme.

Parfois c’était simplement le régisseur qui n’avait pas accepté le prix.

La deuxième manche reprenait ensuite. Bien-sûr on servait un peu de vin pour les hommes, celui que chante Jean Ferrat. Pour les dames une tisane était servie avec l’eau qui avait chauffé sur la tôle en fonte du feu.

La dernière manche terminée, on repartait vers minuit. Avant de se séparer, on se rappelait le programme des veillées suivantes pour éviter les doublons ou les erreurs.

Pendant la guerre, c’était un jeu risqué que de circuler la nuit venue. Et si on était tombé sur une patrouille allemande ? »

http://www.lescarnetsdemile.fr/2020/01/souvenir-des-veillees.html

Témoignage des veillées d’autrefois dans les Cévennes

Merveilleuses étaient les veillées d’autrefois que j’évoque, avec le recul du temps, non sans une certaine émotion teintée de nostalgie. Notre quartier n’était pas bien grand. Dix ou douze habitants y vivaient en parfaite harmonie. Ces réunions avaient lieu le samedi soir, le lendemain étant jour de repos, il nous était permis, à nous les enfants, d’y participer à notre plus grande joie! Les soirées d’hiver se déroulaient souvent chez le voisin le plus âgé. Autour de la grande cheminée nous nous installions en demi-cercle. Il y avait place pour tous autour de ce grand feu pétillant. Le balancement des flammes, le crépitement du bois sec d’où jaillissaient des fusées d’étincelles montant en feu d’artifice dans le trou noir de la cheminée alimentaient mes rêves d’enfant.

Certains soirs, le contenu d’une grande marmite accrochée à la crémaillère bouillait au-dessus du feu : c’était la pairoulade » du cochon. Y cuisaient ensemble choux, pommes de terre, betteraves auxquels on ajoutait une bonne quantité de châtaignes. Souvent les hommes passaient la soirée à « peler » les châtaignes pour la prochaine préparation, les femmes ravaudaient ou tricotaient les chaussettes. Il fallait voir, malgré ses doigts noués par l’âge, mais aussi par les durs travaux de la terre, avec quelle dextérité le grand-père enlevait la première peau des châtaignes. Pour meubler la soirée, chacun racontait l’emploi de la journée, car il n’y avait pas de conteur attitré. A tour de rôle, ils étaient conteurs ou auditeurs. J’aimais par-dessus tout les histoires du grand-père ou de la « marné ». Une anecdote racontée par l’aïeul échauffait mon esprit d’enfant. La voici telle quelle : « Un certain jour un voyageur bien pauvre s’était arrêté pour se restaurer et avait reçu bon accueil. Tourné vers moi, il me dit tout à coup : « Monsieur, une fortune est cachée dans votre maison. — Pas possible ! répondis-je d’un air amusé. — Si fait, reprend-t-il, elle se trouve dans votre cave. Pour y accéder, il faut descendre quatre marches en pierre. Il y a là deux « empoutilladous » (sorte de construction de 60 cm environ en forme de banc adossé au mur où s’alignaient les fûts de vin). » « A l’intérieur de celui de droite vous trouverez cachée une jarre pleine de pièces d’or ». Le patron des lieux fut sur le moment stupéfait par la description réelle de sa cave que le visiteur n’avait jamais vue. Néanmoins il n’y ajouta pas foi car il ne voulut jamais vérifier le bien-fondé de la chose pas plus que ses descendants aussi sceptiques que lui. » Pour ma part, comme j’aurais couru vers la découverte de ce trésor ! Ce récit me  revient souvent en mémoire. Les anciens évoquaient les événements de leur jeunesse.(…)

Au cours des veillées, la chasse alimentait souvent les conversations ou quatre chasseurs passionnés n’arrêtaient pas de raconter leurs exploits. Telle partie de chasse fructueuse au lièvre ou au lapin sur le Causse. Lorsqu’il s’agissait de battue au sanglier, les esprits s’échauffaient, le ton de leur voie traduisait à la fois leur fierté et leur orgueil d’avoir ramené une grosse pièce. J’étais suspendue à leurs lèvres et, bien que sûrement un peu « arrangés », ces récits me passionnaient toujours. Je les trouvais fantastiques ! Vers la fin de l’année, après la récolte des olives, importante en ce temps-là, les moulins à huile du village ouvraient leurs portes. Le grand-père trouvait là matière à nouvelle anecdotes qu’il nous racontait en riant sous cape d’un air entendu. Il s’agissait parfois d’accrochages sérieux mais jamais haineux autour de l’huile des « enfers ». C’est que si le Cévenol n’est pas avare, il est tout de même près de « ses sous », et un litre ou même simplement un demi-litre d’huile parti dans ces fameux « enfers » au profit du patron du moulin était toujours regardé d’un mauvais œil. Le plaisir de la rencontre vespérale était encore accru quand nous avions la surprise, à notre arrivée, des préparatifs de la « brasucado ». Il fallait voir de quels soins était entourée la confection de cette grillée de châtaignes. (…)

Parfois, un petit vin de chez nous aidant, les convives y allaient de leur petite chansonnette. Un de nos voisins était sollicité pour «  La Paimpolaise », sa chanson favorite. Le refrain était repris en chœur par l’assistance. Les enfants tout fiers de participer à la fête récitaient une poésie apprise en classe, et même les tout-petits voulaient être à l’honneur. Tout ceci se passait dans une atmosphère de détente et de saine gaieté.

Ces veillées d’autrefois combien je les ai regrettées. Jamais plus je n’ai ressenti ce calme et cette sérénité qu’on y trouvait alors. On était heureux d’être réunis et c’était toujours avec un peu de regret qu’il fallait se quitter. On descendait alors la «  pairoulade » du feu, on goûtait souvent à quelques châtaignes bouillies et le maître des lieux écartait les tisons sur le bord de l’âtre. Puis on se souhaitait bonne nuit en pensant déjà à la veillée prochaine.

 Heureux temps où l’on vivait dans la simplicité de l’amitié la joie de telles réunions que les difficultés de la vie actuelle, la tyrannie de la télévision ont peu à peu fait disparaître. Notre société villageoise s’est déshumanisée et c’est bien dommage !

(Texte glané sur le web, merci à celle qui se rappelle les veillées quand elle était  petite fille).

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11 Commentaires

  1. La vie individuelle d’aujourd’hui nous fait perdre nos racines. Ma grand-mère née en 1862 avait beaucoup d’histoires familiales à raconter, cela remontait au temps des seigneurs avec leurs injustices et persécutions en tant que propriétaires des fermes. C’est ainsi qu’un ancêtre insoumis et pas assez flatteur avait été chassé des terres exploitées par la famille. Travailleur, il trouvait facilement du travail à proximité de sa famille. Mais à chaque fois, le nouveau seigneur propriétaire des lieux était informé et le chassais. Il décida alors d’aller faire sa vie loin de sa famille et remonta vers le nord à plus de soixante kilomètres. Il fut tranquille et c’est ainsi qu’il rencontra une de mes très lointaines grand’mères. Sans les persécutions du seigneur propriétaire de la ferme de ses parents, cette lignée généalogique n’aurait pas existé et je ne serais pas là aujourd’hui. Alors, dois-je maudire ce seigneur qui a persécuté mes ancêtres ou au contraire le remercier puisque je lui dois l’existence ?

    Les descendants d’esclaves feraient bien de se poser une question analogue …! (au lieu de nous enquiquiner avec leur victimisation)

  2. Il m’est arrivé d’être invité a diner chez des « amis » On nous sert un apéro puis le père part dans la chambre pour en fait donner un coup de téléphone , la fille avec sa tablette part dans sa chambre bientôt rejointe par la mère . Avec mon épouse nous avons renfilé nos manteaux et sommes partis manger au restaurant , voila les veillées d’aujourd’hui . Smartphone tablette et ordinateur qui auraient pu être de fabuleux outils sont malheureusement la plupart du temps une Fabrique d’ensuqués

  3. Il échappe aux occidentaux que la racine de tous nos maux vient uniquement de l’ISLAM.et j’insiste sur TOUS nos maux
    L’appauvrissement intellectuel, artistique de notre société, la décrépitude de nos valeurs, le mépris des femmes, la délinquance généralisée tout cela vient de la lente contamination par ce virus musulman.
    Heureusement comme tout virus il disparaitra de lui même quand on aura nettoyé les écuries.

  4. J’ai vécu ces veillées dans le courant des années 60. Il y avait encore de vrais hivers et quel souvenir de sentir nos pas crisser sur le verglas alors que l’on savait que nous nous réchaufferions à la faveur du feu de la cuisinière. Je ne dormais souvent que d’une oreille sur la caisse à bois, guettant les conversations qui finissaient bien souvent par les pêches miraculeuses de mon grand-oncle. La soirée se terminait par le jeu de carte intitulé « la bête » puis par la dégustation de chataîgnes. Mon meilleur souvenir fut l’anniversaire surprise des 60 ans de mon grand père ou l’on avait dansé sur des airs folkloriques au son du vieux phono qui à cette époque trônait souvent sur les postes radiophoniques. Nul besoin de restaurants couteux et snobs, de toute façon personne n’en avait les moyens. Ce qui a détruit tout cela fut l’arrivée dans TOUS les foyers de la télévision (au début celui qui possédait un poste se faisait une joie d’accueillir ses voisins). Je ne la considère pas comme un mal en soi, c’est juste sa rareté et ses programmes peu fournis qui faisaient sa qualité. Et le labeur primait sur l’amusement.

  5. Je n’ai pas connu ces veillées, dommage,mais c’est sur que c’était mieux avant ,et surtout quand nous n’avions pas les cpf .on nous force au « vivre ensemble »,mais ca ne marchera jamais ,trop de différence de culture ,de religion, de mode de vie , donc je le répète ca ne marchera jamais et oui c’était beaucoup mieux avant .

  6. c’était le temps de la poule au pot
    maintenant, ce sont les dindes au gouvernement

  7. Chouette article donnant envie de se réunir autour d’un cantou…

    Ha mais non, c’est vrai, la cheminée a été murée : trop polluante, elle participait au réchauffement climatique et a été interdite par le gouvernement (loi de 2025 sur la transition énergétique renforcée)

  8. J’ai encore connu cela à la campagne.
    Aujourd’hui, les réunions de famille ne sont plus que des réunions de smartphones.

  9. Hier, les membres de la famille et les voisins se rassemblaient de façon conviviale autour de la cheminée.
    Aujourd’hui, chacun est reclus dans sa chambre ou à un bout du salon, aussi loin que possible de son plus proche voisin, les yeux rivés sur son smartphone.

    Un tel isolement contre-nature explique en grande partie l’accroissement inquiétant des névroses, dépressions, actes agressifs, suicides etc.

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