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« Castaner a dit : c’est intolérable, les auteurs seront sévèrement punis… ».
Ben voyons !
Ils risquent les mêmes « sanctions » que ce collégien qui avait fracassé la mâchoire d’un surveillant.
Ils risquent :
1 – » Suite à l’agression au collège Alain-Fournier d’Orléans, un conseil des droits et devoirs des familles s’est réuni « .
2 – » on a demandé à la maman si elle avait conscience de la gravité de ce qu’a fait son enfant « .
3 – » On lui propose de l’accueillir ( le collégien ) dès lundi matin à la Maison de la réussite de La Source « .
4 – » On va travailler avec lui pour qu’il prenne conscience de ce qu’il a fait et de ce qu’il veut faire dans l’avenir. » !
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L’agression a fait grand bruit et si la justice a été saisie de l’affaire, la mairie d’Orléans dispose de son côté d’un outil pour tenter de redresser une situation compliquée : le CDDF.
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Grâce à la loi du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance, le conseil pour les droits et devoirs des familles a été créé : « C’est une instance présidée par le maire », explique Olivier Geffroy, maire-adjoint à la sécurité à Orléans. « Qui lui donne la légitimité pour réunir un certain nombre d’acteurs de l’État, de l’Éducation nationale, de la ville pour venir au chevet d’une situation individuelle compliquée. C’est exactement ce que nous avons fait ce matin (vendredi 24 janvier) où nous avons entendu la mère de ce jeune collégien de 16 ans. »
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Dans le CDDF, sont d’abord entendus les parents : « C’est très important », répond Olivier Geffroy. « Parce qu’il faut qu’ils aient une prise de conscience. On fait un point sur la situation de l’enfant sans lui. Ce matin (vendredi), on a demandé à la maman si elle avait conscience de la gravité de ce qu’a fait son enfant. En l’occurrence, le surveillant souffre d’une double fracture à la mâchoire et il a trois semaines d’incapacité totale de travail. Je suis allé voir dans le code pénal : pour un adulte, la peine serait de trois ans de prison et 45.000 euros d’amende… Nous sommes sur des violences volontaires aggravées. »
La mère, une femme qui élève seule ses quatre enfants, a avoué, ce vendredi, au CDDF, ne pas comprendre le parcours de son fils.
Un CDDF qui ne se substitue bien sûr pas à la justice.
Pourquoi en est-il arrivé là ?
« Après, ce que nous avons essayé de faire, c’est de comprendre pourquoi le jeune en est arrivé là. On a croisé les informations et vu que, depuis quelques mois, ce jeune avait un problème avec l’autorité (avec déjà un passage en conseil de discipline en fin d’année 2019). On voit bien qu’on est dans une trajectoire. »
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L’objectif maintenant, selon Olivier Geffroy, est de casser cette trajectoire. Avec la phase deux. « Là, on doit être articulé de façon serrée avec la protection judiciaire de la jeunesse. Par ailleurs, on a deux axes de travail : un premier avec le jeune. On lui propose de l’accueillir dès lundi matin à la Maison de la réussite de La Source avec un éducateur, dans le cadre du dispositif Passerelle, qui prend en charge les collégiens en situation d’exclusion. Sa mère nous a donné son accord oral donc nous allons le prendre en charge. Et on ne le lâchera pas ! On va travailler avec lui pour qu’il prenne conscience de ce qu’il a fait et de ce qu’il veut faire dans l’avenir. »
Deuxième axe de travail : avec la mère du jeune. « Elle a besoin de soutien psychologique et d’aide à la parentalité », conclut l’adjoint à la sécurité. « Tout cela se déroulera dans les jours qui viennent. Il faudrait que je sois en capacité de signer le plan d’accompagnement en début de semaine prochaine (à partir du lundi 27 janvier) . »
Parce qu’on l’a bien compris, le CDDF propose un suivi dans la durée et pas seulement une aide ponctuelle.
Si l’affaire du collège Alain-Fournier a été traitée en urgence, il faut rappeler que vingt à trente familles sont reçues chaque année dans le cadre du conseil des droits et devoirs des familles.
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Les racailles vont mourir de peur !
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Une parfaite illustration de la niaiserie contemporaine qui sévit dans les administrations et les institutions.
Des « autorités » qui se gargarisent de discours à l’eau tiède truffée de périphrases embrouillées infantilisantes, et qui refusent de voir les problèmes en face, tels qu’ils sont.
Derrière, une idéologie bêtifiante qui consiste à penser que pour soigner les pov’chéris il faut les faire materner par une nounou. Là dessus, je rejoins Zemmour, c’est une conséquence d’une certaine féminisation de la société, qui tombe dans ce que j’appelle la « nunucherie » : l’idée qu’il faut traiter les gens à problèmes comme s’ils étaient des enfants encore à la maternelle.
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Illustrations:
« Qui lui donne la légitimité pour venir au chevet d’une situation individuelle compliquée ». Au chevet… le pauvre, il a de la fièvre et un gros rhume? On va le guérir avec un suppositoire? « une situation individuelle compliquée » : traduire un individu asocial, violent et incontrôlable!
« Après, ce que nous avons essayé de faire, c’est de comprendre pourquoi le jeune en est arrivé là. On a croisé les informations et vu que, depuis quelques mois, ce jeune avait un problème avec l’autorité. On voit bien qu’on est dans une trajectoire. » Une trajectoire! Bon sang mais c’est bien sûr, voilà l’explication. Chef, c’est une trajectoire!
Un tel niveau stratosphérique de réflexion, ça me rappelle la blague du médecin qui ne trouvant pas ce qu’a son malade, lui demande s’il a déjà eu dans le passé les mêmes symptômes, et devant la réponse affirmative, s’exclame « j’ai trouvé, vous faites une rechute! ». Tu parles d’une pseudo explication…
Aurait-on recrutés les membres de ce conseil dans un institut pour attardés mentaux pour débiter de telles banalités et enfoncer ainsi des portes ouvertes ?
En fait de « trajectoire », on a simplement l’évolution classique d’un jeune violent, de la graine de voyou, probablement une personnalité psychopathe, qui devant l’absence de réaction et l’impunité laisse de plus en plus libre court à son tropisme pour la violence. Quand donc arrêtera-t-on l’angélisme, « l’humanisme » niais, et admettra-t-on qu’il y a des individus mauvais, asociaux?
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Dans un documentaire sur le cerveau que j’ai vu dernièrement, le narrateur (un spécialiste, neurologue) évoquait l’existence d’un gène (ou plutôt une combinaison génétique) de la violence, qui ferait que les porteurs sont 400 fois plus susceptibles de passer à l’acte que les non-porteurs. Plus de 90% des criminels violents en prison en seraient porteurs. Et manque de bol, il serait lié au chromosome Y, raison pour laquelle ce sont surtout les hommes qui sont en prison (97% en France).
Sur le fond, je trouve cette démarche très bien, très pertinente. Elle peut même être très efficace et donner des résultats dans le futur, qui sait ?
La question est :
En avons nous les moyens ?
Personnellement, je serai partant pour qu’on fasse des parcours indvidualisés pour les criminels qui, au lieu de croupir en prison, pourraient aller faire des stages de survie au Groenland, puis des missions humanitaires à Peshawar, et apprendre la musique chez les aborigènes. Tout cela couplé avec une formation à l’ébénisterie.
Je serais pour, tout à fait pour : transformer des éléments nuisibles en valeurs ajoutées pour la société.
La question est : en avons-nous les moyens ?
Dans nos échelles de priorité, sur quels objectifs faut-il concentrer les faibles moyens dont on dispose ? La protection et préservation des honnêtes gens ou la transformation de criminels en honnêtes gens ?
Les parents sont des démissionnaires, incapables d’aller dérouiller ces petites vermines,
ils vont aller voir la police dans le meilleur des cas,
ils attendront une justice qui ne sera jamais donnée au mieux,
et leur gosse grandira dans la peur des aliens et la soumission,
on voit le résultat de l’EN dans la transmission des valeurs de la civilisation occidentale, NADA, RIEN, QUEDAL
Il n’y a plus d’hommes capables de se défendre dans ce pays? On me fait rire quand on emploi l’expression « grands noirs », on est tous égaux il y a des « grands noirs » des « grands blancs » des « grands jaunes » etc, simplement le grand mâle blanc a été castré par 50 ans de « politiquement correct. » Cette bande de racaille ne s’en serait pas pris à des joueurs de rugby style pilier ou deuxième ligne!
tant qu’on ne leur fera pas subir ce qu’ils ont fait subir aux autres il n’y aura pas de solution au problème, il faut leur parler le même langage qu’eux!