Môche et méchant !
Venant d’un confetti ou règne l’argent sale,
il déplie maintenant ses aises commensales !
Veillant à notre destinée !
Celle de nous embobiner…
Le Juju, du Pouvoir, tient bien la succursale…
PACO. Traqueur de têtes à claques.
03/07/2018.
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Junker n’est qu’un débile moyen qui a appris à compter…
oui, appris à compter mais pour spolier les moins riches d’entre nous et s’enrichir à son profit et à ceux de sa caste !
Après les OVNI sous l’effet des brumes de l’alcool, que peut-on attendre de ces gens-là ?
Il vient de croiser béatrice dalle
Inspecteurs en formation , nouveaux fonctionnaires budgétivores et nuisibles, sanctions draconiennes, amendes, ruine des PME, dissuasion jusqu’à 20 millions d’euros,
Règlementations sur règlementations, bureaucratie poussée à l’extrême, l’UE se renforce, grossit, se « monstrifie »,
Espérons que comme la grenouille de la fable, le monstre finira par exploser
Foutons en l’air cette saloperie d’ U. E totalitaire, et l’ivrogne de junker et autres salopards non élus .
ATICLE : Réforme des retraites : les préconisations du Sénat
URL : https://www.lesechos.fr/economie-france/social/0301916290085-reforme-des-retraites-les-preconisations-du-senat-2189430.php#xtor=RSS37
AUTEUR : Solveig Godeluck
DATE : 03/07
Deux sénateurs ont voyagé en Europe pour tirer des enseignements des réformes systémiques. Ils plaident contre un mécanisme d’équilibre automatique et pour la retraite à 63 ans.
Ils ont voyagé, et veulent que leur expérience profite à la réforme des retraites. Les sénateurs Jean-Marie Vanlerenberghe (Modem) et René-Paul Savary (LR), respectivement rapporteur général et rapporteur assurance vieillesse de la commission des Affaires sociales, se sont rendus en Suède, en Italie et en Allemagne pour observer les « conditions de réussite » des réformes systémiques menées dans les années 1990. Ils ont également fait un crochet par le Danemark, qui a choisi des retraites par capitalisation. Ils en tirent dix enseignements, qui font l’objet d’une communication en commission, ce mercredi matin.
—-Relever d’un an l’âge de départ—-
En préambule, les parlementaires rappellent que le Sénat soutient l’idée d’une réforme de l’ensemble du système depuis 2001. C’est aussi la chambre haute qui a commandé le rapport du Conseil d’orientation des retraites de 2009, et organisé le colloque de lancement de la réforme { https://www.lesechos.fr/economie-france/social/0301562156510-reforme-des-retraites-les-grands-travaux-commencent-2169162.php } actuelle en avril.
S’ils sont constructifs, les deux sénateurs regrettent qu’Emmanuel Macron ait promis de ne pas toucher au niveau des pensions ou à l’âge de départ { https://www.lesechos.fr/economie-france/social/0301744867335-lage-minimum-de-depart-a-la-retraite-sera-maintenu-a-62-ans-2180272.php }. L’an dernier, le comité de suivi des retraites a recommandé de redresser la trajectoire financière du système. Puisque les déséquilibres perdurent, « il convient donc d’être lucide : la réforme de 2019 devra traiter inévitablement cette question ».
Prôné par le Sénat, le relèvement d’un an de l’âge de la retraite, à 63 ans, « demeure plus que jamais d’actualité ». Chez nos voisins, l’âge de départ tourne plutôt autour de 64-65 ans que 62 ans. En Suède, il est question de le relever de 61 à 64 ans car les femmes et les travailleurs moins qualifiés partent plus tôt que les autres, avec des pensions trop maigres. « Ne pas augmenter l’âge légal aurait pour conséquence de fabriquer des retraités plus pauvres », estiment-ils.
—-Créer des alertes—-
Mais faire des économies ne veut pas dire que le système doit fonctionner avec des mécanismes d’ajustement financier automatique. Cela donnerait « le sentiment d’un système autogéré qui échapperait au contrôle démocratique en dégageant de leurs responsabilités les dirigeants politiques ».
Les sénateurs préfèrent que l’on fasse confiance aux gestionnaires du système, après avoir mis en place des alertes. En Suède, elles se déclenchent quand les réserves financières augmentées des cotisations futures sont inférieures aux engagements futurs. En Allemagne, il y en a trois : au moins un mois de dépenses dans les réserves ; pas plus de 20 % de cotisations (pour ne pas peser sur la compétitivité) ; un taux de remplacement au moins égal à 46 % du dernier salaire.
Par ailleurs, les rapporteurs suggèrent de réfléchir à la création d’un étage de retraite par capitalisation. Ils sont contrits de voir que l’épargne-retraite va être réformée par le projet de loi Pacte avec pour objectif le financement de l’économie et non la diversification des retraites. Partout, ils ont vu de la capitalisation. En Suède, il y en a dans les trois étages du système de retraite, et 13 % des cotisations de base y sont consacrées. Elle offre « provisionnement » et « absence de sensibilité { https://www.lesechos.fr/finance-marches/vernimmen/definition_sensibilite.html#xtor=SEC-3168 } à la démographie », en complément de la « stabilité » et du « rendement garanti » promis par la répartition.