La dérive autoritaire au sein des instances de l’Union Européenne se confirme chaque jour un peu plus. Cette fois, c’est le parlement européen qui entend interdire de parole les députés qui pourraient tenir des propos jugés déviants.
L’Europe est en crise jusque dans le Parlement européen. De nombreux discours eurosceptiques y sont tenus. Mais bientôt, le président du Parlement pourra décider de couper le micro quand il jugera que les propos sont racistes ou haineux. Une forme de « censure » selon certains parlementaires.
« Racisme » et « haine », des accusations que l’on peut surtout adresser à des parlementaires dont la ligne politique heurte celle de l’UE et des forces qui la dirigent. Par ailleurs, un véritable travail de censure sera opéré sur tous les contenus enregistrés :
C’est sans précédent: le président du Parlement européen pourra débrancher le micro d’un interlocuteur en cas de discours racistes ou haineux, s’il est diffusé en direct. Il pourra aussi faire retirer tous les contenus vidéos et audios qui tiennent les mêmes propos. Le souci, c’est qu’il est difficile de différencier précisément un discours haineux d’un discours qui ne l’est pas. Si certains parlementaires craignent des manipulations, d’autres n’hésitent pas à parler de censure.
Encore mieux, les eurodéputés qui voudraient s’exprimer librement – sans tenir compte des interdits idéologiques édictés par l’UE – s’exposeront à d’énormes peines d’amendes s’ils sont jugés coupables d’infractions idéologiques :
Le souci, c’est que les populistes profitent des audiences parlementaires qui sont généralement diffusées en direct pour tenir des propos très durs. L’article 165 du règlement intérieur compte donc y remédier en infligeant des amendes allant jusqu’à 9.000 euros en cas de « langage ou d’un comportement diffamatoire, raciste ou xénophobe ».
Il s’agit bien sûr de terroriser les forces nationales ou populaires dont les représentants ont de plus en plus de poids sur le continent. Les libertés les plus élémentaires – comme celle de s’exprimer – sont désormais abolies au grand jour, de la manière la plus officielle qui soit.
Source:
http://fr.newsmonkey.be/article/16284
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excellent l’œuf sur la tête à macro
Vais peut-être aller m’installer en Corée du Nord, au moins là-bas c’est clair!
Ça devient de plus clair sur leurs intentions ! dans très peu de temps la liberté sera une rêverie du passé dans une vie devenue dangereuse dans tout nos actes . Nos enfants finirons par quitter ce continent et y laisseront leur place a d’autres , c’est peut être le but non avoué mais bien réel de ces gens , qui sait ?.
Il paraît que Micron s’est pris un œuf dans la tête au Salon de l’Agriculture.
https://twitter.com/jbmarteau/status/836966075141144576
Je sais pas pour vous mais j’hésite entre la consternation de voir gâché un bon œuf, et la satisfaction de savoir que quelqu’un a osé faire ça !
Les bienfaits des shampooings aux œufs ?
C’est tout simplement de la dictature. Vite il faut quitter ce parlement de UE. Ces enfoirés font la pluie et le beau temps dans le seul but d’islamiser l’Europe.
et il y a des gens qui continuent de croire en ce magma…cette DICTATURE!!
idem qu’à l’ONU d’ailleurs.
Pour des crapules non élues par le peuple Européens, c’est très fort !!!
Enfin le vent tourne et très bientôt ces parasites seront éliminés par le réveil de l’immense masse, composée de cette peuplade trahie et volée depuis plusieurs décennies.
Des kilomètres de corde seront très prochainement nécessaires.
Marine Le Pen fait face à une opération médiatique de grande ampleur
01/03/2017 (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
:: http://fr.novopress.info/203914/marine-le-pen-fait-face-a-une-operation-mediatique-de-grande-ampleur/
A un mois et demi des élections présidentielles, la charge politique et médiatique contre Marine Le Pen ne faiblit pas. Mise en cause de manière assez floue dans une affaire hautement médiatisée d’emplois fictifs au Parlement européen, cible de livres et d’articles sur la prétendue corruption du Front National qui sortent à point nommé et caricaturée dans un film sur un parti nationaliste, Marine Le Pen doit faire face à une opération d’une ampleur qui n’est pas sans rappeler celle menée contre Donald Trump.
Où en est cette campagne médiatique ?
Dernier rebondissement : le scandale orchestré autour d’une de ses déclarations lors de son meeting nantais de dimanche. En effet, lors de son discours elle a déclaré, je cite : « Je veux dire aux fonctionnaires, à qui un personnel politique aux abois demande d’utiliser les pouvoirs d’État pour surveiller les opposants, organiser à leur encontre des persécutions, des coups tordus, ou des cabales d’État, de se garder de participer à de telles dérives. Dans quelques semaines, ce pouvoir politique aura été balayé par l’élection. Mais ses fonctionnaires, eux, devront assumer le poids de ces méthodes illégales. Ils mettent en jeu leur propre responsabilité. L’Etat que nous voulons sera patriote ». Unanimement, les responsables politiques de gauche, les médias et les syndicats, dont le très militant Syndicat de la magistrature, se sont insurgés contre ce qu’ils qualifient de « menaces édifiantes ».
Quel est l’objectif de cette opération particulière ?
En réagissant publiquement et en tirant à boulets rouges sur Marine Le Pen par voie médiatique, les différents acteurs de l’opération menée contre elle espèrent bien créer une tempête dans un verre d’eau. Marine Le Pen a, à juste titre, déploré et mis en garde contre une instrumentalisation militante de la justice par certains fonctionnaires, révélant ainsi une inquiétude légitime par rapport à leur capacité à accomplir leur devoir en cas de victoire du parti qu’ils s’évertuent à abattre. Néanmoins, la polémique médiatique entretenue par des articles qui citent les communiqués syndicaux sans citer les propos de Marine Le Pen visent à dépeindre une version tronquée et parfois mensongère de la réalité. Une version ou Marine Le Pen, dictateur en puissance, aurait menacé d’envoyer de simples fonctionnaires faisant leur travail au goulag. Une technique médiatique qui n’est pas sans rappeler celles employées contre Donald Trump lors de la campagne étatsunienne. Il nous reste donc à espérer que les électeurs aillent consulter l’intégralité des propos de Marine Le Pen avant de se faire une idée.
Je me souviens de cette émission télé : mots croisé à laquelle participaient Florian Philippot ou Marine Le Pen et Mr Malik Boutih.
Monsieur Boutih ne s’est pas privé de dire que si le FN/RBM remportait les élections ils, soit lui et tous les siens, j’entends les gochos et maghrébins ne le permettraient pas qu’il y aurait une rébellion pour virer la présidence, le gouvernement la représentation à l’Assemblée.
Le deux poids deux mesures ! Lui continue d’être député tranquilou et les Marine ne peut même utiliser son droit de parole pour alerter la France et les français des abus du pouvoir.
Ce sera la guerre, ni plus ni moins, parce qu’ils nous mettent le couteau sous la gorge, nous acculent et ne nous laissent absolument aucune autre solution se permettant de nous voler notre droit à la démocratie et au droit d’expression.
La dictature c’est installée en France et elle s’affermit en Europe.
Monsieur Sarkhözy nous a poussés dans un piège, Hollande le referme avec un couvercle.
Deux êtres abjects. Et l’UMP/LR qui a tout voté, tout voulu sont complices ; des traitres qui veulent se donner des têtes d’ange.