Enseignant braqué par une arme, mais c’est très banal en banlieue ..

Comme notre site l’a écrit à plusieurs reprises, les médias, brutalement, découvrent l’eau chaude.

Nous savions  bien que cette « révélation » subite d’une enseignante agressée, dans la haine et le mépris le plus total de ce que nous sommes, n’était qu’une goutte d’eau dans un océan de violences.

Et voici que les médias, eux-même,  confirment.

De toute part des enseignants font état du même type d’agression :

A Amiens, au Havre, au Mans, à Pont-à-Mousson …

Sans compter les chefs d’établissements et les professeurs dhimmis qui restent muets devant ces agressions : pas de vague n’est ce pas ?

Les yeus s’ouvrent aussi au « Monde ».

Coup sur coup, des journalistes de ce quotidien qui crachaient sur la fachosphère, sur Zemmour, sur nous, découvrent, eux aussi, l’eau chaude.

Et sortent des livres  sur le sujet :

https://www.albin-michel.fr/ouvrages/la-communaute-9782226319104

https://www.fayard.fr/documents-temoignages/inchallah-lislamisation-visage-decouvert-9782213705897

Maintenant, ne nous faisons AUCUNE illusion.

Dans leur écrasante majorité, les enseignants  refuseront de prendre les mesures de salut public qui s’imposent, refuseront de demander la fin de l’immigration, refuseront de lutter contre l’islamisation.

Une preuve tirée  de:

https://twitter.com/hashtag/pasdevague

La réponse immédiate et cinglante à l’auteur du premier tweet, lui-même pourtant enseignant:

Un syndrome de Stockholm massif, jamais vu dans l’Histoire, frappe les enseignants de l’Education Nationale.

Ne comptons pas plus sur une évolution du « Monde » et de ses journalistes.

La contemplation gênée du désastre actuel, accompagnée d’un sourire un peu jaune, leur suffira.

Ils continueront à prêcher le vivre-ensemble, tout en vivant dans des quartiers protégés et à contourner la carte scolaire pour les enfants :Henri IV ou l’Ecole Alsacienne.

Mais pas le lycée des voyous de Créteil.

Pas de vagues, on vous dit !

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8 Commentaires

  1. Les pistolets en plastique ne font pas de vague. Quand les racailles vont l’avoir compris, ils viendront avec des vrais de vrai, trouvés dans les caves de la cité. Il sera alors trop tard pour faire des vagues…

  2. Je savais qu’on ne pouvait pas compter sur eux pour changer quelque chose dans les écoles,
    est-ce du masochisme pur jus ?
    des bornés, rien à en tirer !

  3. Après çà, de quel côté se trouve la vraie haine, pas des migrants au départ, mais de nos dirigeants de haine contre nos peuples européens autochtones. j’ai même des ex-immigrés du Maroc et d’Afrique en Belgique qui ne comprennent pas cet acharnement de le part de nos dirigeants contre nos peuples européens autochtones.
    La haine contre nos peuples européens autochtones continue, malgré les faits pourtant évident et vont même jusqu’à couvrir les crimes commis par certains migrants en Europe, pour vous dire la haine total qu’ils ont contre nos peuples européens autochtones!.
    Nos dirigeants, avec les attentats qu’ils laissent faire en Europe, ce sont des assassins!, des criminels!.
    Union européenne comme l’islam génocidaire, assassins!, criminels!, ils ont du sang sur les mains des victimes en Europe et dans le monde.
    Ce taire, est participer avec ces criminels aux pouvoirs.

  4. C’est une honte. Il nous faut agir avec la plus grande fermeté contre nos sauvageons.

  5. Cette Marie Laure semble à la FSU !
    Quelle crédibilité ?
    Cette fois c’est dans le sens de #pasdevague !
    La prochaine fois, #toutesexcusesociales (et donc sociétale, ethnique, cultu(r)elle.

  6. et si on leur coupait la main braqueuse ?

    j’ ai parfois comme ça des grosses jalousies envers l’ arabie sodomite, ou on ne s’ embête pas avec des doigts de l’ homme, on les coupe et basta!

    et ça marche !!!!

  7. L’école est foutue :

    Il n’y a pas que les racailles et les parents des racailles.

    Les parents bobos veulent aussi y faire leur loi, et c’est toléré, sans qu’il ne leur soit dit de fermer leur gueule .
    Evidemment !
    Ils sont généralement les grandes gueules des  » associations de parents d’élèves  » – ils y sont tous ! -, et, selon la législation :
     » Les parents d’élèves sont pleinement associés à la vie de l’école et de l’établissement scolaire notamment en participant, par leurs représentants, aux conseils d’école et aux différentes instances des établissements scolaires. Le décret permet aux représentants des parents d’élèves de mieux exercer leur mandat  »

    Voilà quelques unes des demandes des parents bobos :

    Un papa qui appelle à l’école : « Vous pouvez demander à ma fille où est la sauce tomate ? C’est pour faire des pâtes. »

    -« À la cantine, enlevez les pépins du raisin parce que mon enfant n’aime pas ça. »

    -« Il y a des arrêtes dans le poisson, c’est inadmissible. »

    -Le papa qui demande qu’on coupe tous les arbres de la cour pour éviter que sa fille se cogne.

    -Cette maman qui demande si son enfant peut entrer le premier à la cantine parce que c’est l’hiver et qu’il fait trop froid pour attendre dehors.

    Un parent qui demande : « Peut-on autoriser les absences en juin étant donné que les billets d’avion sont moins chers ? »

    -Le papa qui demande si on peut garder son fils une heure de plus après la classe parce qu’ils partent en vacances et doivent faire leurs valises.

    -Une maman toujours en retard : « Les horaires de ma série préférée ont changé, c’est comme ça, je ne peux pas arriver avant. »

    Et des qui demandent de la moquette dans la cour pour éviter les écorchures aux genoux !
    Et des qui demandent des coussins sur les chaises pour que ce soit plus confortable !

    Un livre vient d’être publié. Il s’appelle :  » parents casse couilles  » et c’est un recueil des demandes des parents bobos.

    https://positivr.fr/parents-casse-couilles-livre-perles-ecoles/

    Un coup de pied dans le cul à tout ça, dehors tout ça, sinon l’école est foutue !

    J’ai été instit, quelques années, il y a longtemps.
    Un parent se serait permis de me faire de telles demandes, je lui aurais dit :
     » tu veux mon poing dans la gueule ?  » .

    • Il nous faut des lois comme à Singapour où j’ai vécu en sécurité et adoré la discipline de ses habitants.
      Même le fait de ne pas tirer la chasse d’eau est punissable………Cracher une gomme à mâcher sur le trottoir vous attire de gros ennuis…

      Marine et RN ! AU BOULOT !!!

      A variety of activities ranging from smoking to carrying durians is banned on Singapore’s Mass Rapid Transit system.
      Although the legal system of Singapore is a common law system, the criminal law of Singapore is largely statutory in nature. The general principles of criminal law, as well as the elements and penalties of common criminal offences such as homicide, theft and cheating, are set out in the Penal Code.[1] Other important offences are created by statutes such as the Arms Offences Act,[2] Kidnapping Act,[3] Misuse of Drugs Act[4] and Vandalism Act.[5]

      In addition, there is a perception that Singapore society is highly regulated through the criminalization of many activities which are considered as fairly harmless in other countries. These include failing to flush toilets after use,[6] littering,[7] jaywalking,[8] the possession of pornography,[9] the sale of chewing gum,[10] and sexual activity; such as oral and anal sex between men.[11] It has been claimed that one of the results of such heavy regulation is that Singapore has one of the lowest incidences of violent crimes in the world.[12] A catchphrase recently used in a police anti-crime campaign was « Low crime does not mean no crime ».

      Singapore retains both corporal punishment (in the form of caning) and capital punishment (by hanging) as punishments for serious offences. For certain offences, the imposition of these penalties is mandatory. More than 400 people were executed in Singapore, mostly for drug trafficking, between 1991 and 2004. Statistically, Singapore has one of the highest execution rates in the world relative to its population, surpassing Saudi Arabia.[13] Science fiction writer William Gibson famously described Singapore as « Disneyland with the death penalty ».[14]

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