Rokhaya Diallo et Houria Bouteldja, LE modèle du nouveau féminisme qui exclut les Blanches

Illustration : Asso-Unil.ch

Le pire ennemi du féminisme occidental : l’islamo-afro-féminisme

Exit le féminisme de mamie : place au néo-féminisme !

Du numéro spécial des Inrocks consacré à la nouvelle « génération féministe », on retiendra surtout l’islamophilie et l’afrocentrisme enrobés de franglais et de références continuelles au monde anglo-saxon.

Il plaira sans doute à la jeunesse techno-branchée des beaux quartiers ou à l’électorat de la diversité votant Macron ou Mélenchon. Mais n’intéressa sans doute pas le lectorat féminin de la France périphérique.

 

Alors, le néo-féminisme, c’est quoi ?

C’est d’abord une nouvelle façon d’écrire :

« L’égalité pour les non-blanc.he.s, pout tou.te.s et chacun.e » ou « [la mixité] permet de réaliser que l’autre est un.e camarade de jeu, un.e égal.e ».

La lecture devient donc une corvée et l’usage d’un dictionnaire bilingue, plus que recommandé. Par exemple :

« Qui n’est jamais tombé sur ces silhouettes minces, musclées et bronzées en scrollant sa timeline Instagram nous jette le premier dislike »

« [la rappeuse] Young M.A nous défonçait le crâne à coup de beats respirant la tweed et de punchlines […] ».

Même les sommités s’y mettent :

« Le féminisme des millennials entraîne des backlashes ». « On discute du manspreading à l’heure du café ». « Les femmes ne sont présentes et légitimes que dans le care ».

Et c’est une docteure en science politique, chercheuse au CNRS-CEVIPOF, Réjane Sénac, qui le dit. Elle est par ailleurs présidente de la « commission parité du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes ».

Un machin de plus, nid d’ethno-masochistes (sur)payées par vos impôts dans un État soi-disant en faillite. Mais totalement schizophrène à multiplier les officines de déconstruction de l’identité nationale.

Leur grand combat, c’est la reconnaissance du féminisme intersectionnel c’est-à-dire racialisé. Mais aussi la liberté de porter le voile, vécu, ne riez pas, comme « une performance d’autonomie ».

C’est le fond de commerce d’une Rokhaya Diallo ou d’une Nacira Guénif-Souilamas qui, avec Houria Bouteldja, militent pour « défaire le caractère impérial, colonial et racial de l’État français » (principes généraux du Parti des Indigènes de la République).

 

Pour résumer, le féminisme de mamie, c’est celui de la bourgeoise blanche dominante, chrétienne ou juive. Pas assez inclusif, et son crime est d’ignorer les inégalités sexuées racialisées ou les « discriminations » faites aux femmes musulmanes.

Pour en revenir au féminisme intersectionnel, les « afropéennes » se cherchent à tout prix une Rosa Parks ou une Angela Davis, célèbres militantes américaines des droits civiques.

Mais la France n’est pas le Mississippi de 1964 et on ne trouve pas trace de KKK provençal et d’affaire Freedom Summer (meurtre de trois militants antiracistes par des suprémacistes blancs).

L’islamo-afro-féminisme français (appelé également féminisme décolonial) tente alors de délégitimer le féminisme occidental originel avec une grande violence.

Exit Olympe de Gouges ; dépassées les suffragettes anglaises ; ringardes les Simone Veil ou Elizabeth Badinter, coupables, selon Ketsia Mutombo (autre égérie des Inrocks) de ne pas être noires ou maghrébines, de ne pas être « racisées ».

Ketsia Mutombo écrit carrément : « Pendant longtemps, j’ai considéré que le féminisme n’était pas pour moi. Que c’était un truc de blanches, pas un truc de femmes » (!!!)

Soutenu par Françoise Vergès (ex-présidente d’un énième Machin nommé Comité pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage), le collectif Mwasi (moisi ?), combattant un « blantriarcat » fantasmé, organise des ateliers en non-mixité femmes noires (donc interdites aux blanches). La justice française n’y trouve rien à redire.

Pour Les AssiégéEs, revue intersectionnelle citée par les Inrocks, « le féminisme blanc est l’exemple type du faux allié mais vrai oppresseur ».

Les dindons (dindes ?) de la farce seraient donc bien les féministes blanches, lesbiennes, juives ou chrétiennes occidentales, de gauche comme de droite, totalement ostracisées par le militantisme islamique ou afro-féministe.

Il suffit d’écouter Houria Bouteldja (vidéo de l’article de Louise Langlois) clamer son objectif : « le challenge du féminisme islamique est d’échapper au féminisme blanc ».

Leurs prochaines victimes se nomment Caroline De Haas, Clémentine Autain, Marlène Schiappa et autres féministes à la sauce gauchiste, fausses naïves et duplices du cauchemar multiculturel.

Dans le projet « bouteldjien », elles sont vouées à disparaître, comme le mâle hétérosexuel blanc.

Second avatar du néo-féminisme, c’est sa propension à défendre le voile ou tout autre accoutrement islamique.

Les Inrocks osent le parallèle entre la « répression » des seins nus (années 60) et celle du voile.

Par exemple, regrette le magazine, l’affaire du burkini de Sisco (Haute-Corse) est le symptôme même de la « judiciarisation du fait religieux », car, voyez-vous, le burkini visait au départ « à favoriser l’intégration tout en conciliant les différentes cultures ».

Le sociologue Jean-Claude Kaufmann estimant même que « cette tenue balnéaire représente en réalité une profonde démarche d’émancipation ». Plus c’est gros, mieux ça passe.

En fait, nous explique Les Inrocks, la femme musulmane en hidjab (pudeur modérée) ou en burqa (pudeur maladive) est une féministe comme une autre.

Ce sont les mêmes qui dénient à Marine Le Pen la qualification de féministe. Pour Réjane Séjac, « il ne faut pas tomber dans la ruse qui consiste pour les ennemi.e.s de l’égalité à se réapproprier ce terme pour paralyser le débat ».

En gros, celles qui ne sont pas noires ou maghrébines, musulmanes ou d’extrême-gauche ne peuvent être féministes.

Illustration : ChEEk Magazine

 

On bassine les Français depuis 30 ans avec l’antiracisme (« les races n’existent pas ») ou le vivre-ensemble et la nouvelle génération féministe issue de la diversité ne jure que par sa race, sa religion, sa communauté, unie dans la même haine de la République, de l’histoire et du peuple français.

Veulent-elles alors une « guerre des races » en plus d’une guerre de civilisation ?

En attendant, l’Europe qui accueille la vague migratoire africaine, orientale et musulmane, s’inocule les germes de son autodestruction.

Troisième avatar du néo-féminisme en particulier et de l’antiracisme en général : le déni du racisme antiblanc.

Patronnées par l’Éducation nationale, les « Semaines Nationales d’éducation contre le racisme et les discriminations » donnent le LA avec la promotion de ce documentaire intitulé « Pourquoi nous détestent-ils » et consacré « aux relations qu’entretient la France avec trois tranches de sa population : les musulmans, les Juifs et les Noirs ». Ceux qui ne le sont pas apprécieront la bande-annonce :

Pendant ce temps, les véritables violences faites à TOUTES les femmes se multiplient (insultes si en jupes, menaces si pas voilées, harcèlement de rue, mutilations génitales, viols, tournantes…) dans l’indifférence générale.

Alors, doit-on rire ou pleurer de l’initiative de l’association « Osez le féminisme » contre le manspreading ou « Syndrome des Couilles de Cristal » (!!!).

Cette grande cause nationale mobilise en effet les néo-féministes contre « ce comportement masculin qui consiste à écarter les jambes dans les transports en commun, occupant ainsi le maximum de place, au détriment des autres voyageuses ».

Car « cet agissement est symptomatique d’un système patriarcal dans lequel les hommes font à chaque instant preuve de leur domination ».

Mais de quel système patriarcal parlons-nous ? De la part de quels hommes ? Où ? De quelle race, de quelle religion, de quelle ethnie ?

Néo-féministes, pour une fois, osez affronter les réalités !

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16 Comments

  1. Faut qu’elles singent les États-Unis avec afropéennes. Ça va finir comme les pays d’Afrique en m…..

  2. Rokya Diallo envahi les écrans de T V ; on la voit partout et come est très bonne elle n’en est que plus dangereuse

  3. Je suggère à ces grosses p**es de retourner dans leurs pays d’enturbannées et de se faire lapider

    Les dégénérées retournent dans leur moyen-âge

    • Salut le Résistant !

      Tout à fait d’accord, d’autant plus qu’il serait, en principe, plus facile de retourner chez soi, au milieu des siens, parmi les autres esclaves sexuelles du harem de l’être aimé, plutôt que le chemin inverse.
      Mais réussir, là-bas, une aussi belle carrière que chez les kouffars…cela m’étonnerait beaucoup !!!
      Je ne peux résister : quelles sales c.nnes !!…
      Et, je suis poli !

  4. Dans la série : les ravages des pseudo-féministes, on a ça aussi : http://www.fdesouche.com/885611-suedoise-sinsurge-contre-patriarcat-canin

    Quand les féministes, au tout début, ont combattu pour avoir le droit de vote, le droit d’avoir un compte en banque sans demander l’accord de son mari (ou père), que l’on reconnaisse qu’une femme est tout aussi capable qu’un homme, c’était essentiel. Mais quand le féminisme est devenue le genre de chose que cette demoiselle dénonce : https://www.youtube.com/watch?v=n8xpn7ObssA

  5. Et la bande annonce abominable du documentaire… Je voudrais faire la même chose! pourquoi nous détestent-ils, tous ces gens qui sont venus profiter en France? Ils ne savent pas dire merci, ça leur écorcherait la bouche d’être polis?
    C’est quoi ces paranos? Quand le « blanc » croise un être humain, vu son état de civilisation, il voit un autre être humain, pas un noir, un arabe, un juif, un je ne sais pas quoi.
    Ces racisés deviennent très inquiétants, la justice devrait les attaquer pour incitation à la haine raciale, vu qu’ils ne parlent que de race et stigmatisent le « blanc ». (colons, exploiteurs, racistes, esclavagistes etc.)
    Pourquoi ne leur dit-on pas de fermer leur g…..

    • Bonjour,

      Surtout que c’est vraiment ignoble de mêler les Juifs à leur saloperie alors qu’ils sont les premières victimes de cette immigration musulmane.

      • Exact, le déni du racisme anti-blanc, c’est aussi le déni de l’antisémitisme des quartiers.
        Je cherche toujours en France un pogrom ayant eu lieu à l’époque contemporaine, je ne trouve pas. Des Ilan et Sarah Halimi tués à La Mothe-Beuvron ou à Ploudalmézeau, je n’en vois pas.

        Et le chinois victime du racisme des racailles, il est où ?

  6. Le feminisme (si ça existe ,car faut pas oublier que c’est un truc anglais au départ) c’est d’abord la solidarité entre femmes.
    Moi ,les nanas qui font de la performance (et d’autonomie en plus ,et avec un torchon en plus) ça ne me parle pas de solidarité.
    Alors les femmes qui veulent avoir une paire de c…..à la place des hommes ,je leur conseille de se faire répertorier comme travelos.
    Tout ça c’est du marketing autour de la diversité .Toujours le même,celui qui peut rapporter gros (et couter cher au contribuable).
    Foutaises.
    On est sur la bonne voie de l’égalité hommes femmes ,ok ça prendra du temps et c’est pour cette raison qu’on a pas de temps à perdre avec ces imposteuses qui singent une civilisation dont elles ignorent tout.
    Qu’elles relisent l’histoire des suffragettes anglaises qui se jetaient sous les sabots d’un cheval au galop pour faire connaitre leur combat au monde entier.
    ILne restait pas grand chose d’elles mais les lingères ont obtenu des horaires de travail décent et le droit de ne pas se faire violer par leur contremaître.
    Qu’elles relisent le combat des procès pour avortement y compris la peine de mort pour l’avorteuse.
    Elles se battent pour le féminisme ,sans blague ,tout ça sur fond bien confortable de pilule et de méthode Karman . Elles se prennent pour les jeanne d’arc du feminisme ,tout ça en arrivant après la bataille ,et quelle bataille! .Comme c’est facile.
    Leur combat, les femmes des années trente à 80 ,l’ont mené TOUTES ensemble ,pas chacune de leur côté pour se donner un genre (à défaut d’une vraie identité.)
    Tout cela pue la vergogne,l’ignorance et la morbidité .A dégager.Des connasses (et je mesure mes mots) qui finiront par nous faire retourner en arrière.

  7. le néo-féminisme c’est comme les néo-communistes, les néo-anarchistes , néo-ruraux ….. c’est de la merde en boite , ce sont des gens qui dénature les origines des causes et des mouvement et qui en font un truc petits bourgeois gauchiiiiiiiste , on pourrais dire de cette merde bourgeoise d’alain soral que c’est du néo  » patriotisme  » c’est a dire que sa ce drape dans des habits qui ne sont pas les leurs . ils jouent sur la sémantique , la gestuelles des choses et de causes qu’ils dénaturent et détournent de leurs origines .
    le dessin qui illustre l’article par exemple est tiré d’une affiche du npa des dernières élections , il y’avait le slogan suivant :  » contre le racisme et l’islamophobie , votez npa  » (sic) . on est loin de la lutte des classes .
    marre de toutes ces ordures islamophiles , qui par exemple dans ma ville m’insulte de facho parce que je suis islamophobe . je suis islamophobe parce que je suis anti fasciste , je suis nationaliste parce que je suis anti fasciste et contre l’anti sémitisme ….
    se que je vois en tout cas, c’est que les inrock , l’université populaire (qui n’est pas pas populaire du tout en réalité ) ………… sont a genoux devant l’islam comme les collabos qu’ils sont , et en 1940 ils auraient fait de même avec les allemands et le pire c’est que ce genre de cons vont nous insulter nous de fachos , alors qu’ils défendent l’idéologie la plus fasciste que l’humanité est connus avec le nazisme , l’islam !

  8. « porter le voile, « une performance d’autonomie « !
    Comment on peut être autonome en portant un « drap » sur la tête qui enveloppe tout le corps ?
    Ce sont des vêtements discriminatoire et très très moche, un carcan
    une » performance d’autonomie » qui n’autorise aucune autonomie.
    Bref, ces femmes font du blabla pour dire n’importe quoi

  9. Je pense qu’il ne faut pas trop s’inquiéter sur les propos de ces pauvres décérébrées. Elles se retrouveront très vite dans les poubelles de l’histoire. Elles ne sont ni cultivées, ni intelligentes, ni philosophe, elles ne savent réfléchir qu’avec leur pieds. Le reste suivra.

    • A force de ne pas s’inquiéter, nous nous retrouverons minoritaires dans ce pays. Repentances, reculs constants des libertés d’expression, sauf de la pensée uniq ennoblie par les bobos gauchistes. Pour eux tout ce qui est bronzé à plus de droits et de valeur que le pauvre blanc dans SON propre pays. Au contraire, il faut des réactions, à cette mouvance adoubée par Macron . Cela participe au déclin du pays.

  10. A propos de la burqa, lorsque la loi de 2010 qui l’interdit indirectement a été votée, ils en ont aussi profité pour modifier le Code pénal.
    Ils ont mis sur le même plan les prohibitions des discriminations, de l’esclavage moderne et de la « dissimulation forcée du visage » !
    La prohibition des discriminations étant absolue, même si dans certains cas, on pourrait se demander si le principe de précaution ne justifierait pas qu’on discrimine et s’il n’y a pas une atteinte excessive à la liberté de conscience…
    Cela s’articule ainsi :
    Chapitre V : Des atteintes à la dignité de la personne
    Section 1 : Des discriminations (Articles 225-1 à 225-4)
    Section 1 bis : De la traite des êtres humains (Articles 225-4-1 à 225-4-9)
    Section 1 ter : De la dissimulation forcée du visage (Article 225-4-10)
    Or, le seul article de cette dernière section est rédigé de manière à éviter toute référence à l’islam, fût-il dit « radical » :
    « Article 225-4-10
    Créé par LOI n°2010-1192 du 11 octobre 2010 – art. 4
    Le fait pour toute personne d’imposer à une ou plusieurs autres personnes de dissimuler leur visage par menace, violence, contrainte, abus d’autorité ou abus de pouvoir, en raison de leur sexe, est puni d’un an d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende.
    Lorsque le fait est commis au préjudice d’un mineur, les peines sont portées à deux ans d’emprisonnement et à 60 000 € d’amende ».
    Cela montre bien le relativisme total qui imprègne une certaine bien-pensance et ses oeuvres législatives, de même que la crainte perpétuelle de stigmatiser l’islam.
    La précision « en raison de leur sexe » notamment est hypocrite, car elle laisse accroire, par sa généralité, qu’un homme pourrait être éventuellement forcé de dissimuler son visage !
    Bref, ils n’ont pas voulu dire dans la loi que le voile pourrait être un instrument d’oppression discriminatoire vis-à-vis des femmes. Un martien qui débarquerait en France se demanderait bien de quoi il peut s’agir en lisant le texte…

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