Pakistan : la police refuse d’arrêter le violeur musulman d’une  jeune chrétienne

Imaan Khurrum raconte son calvaire à un média chrétien sur YouTube.

Pourquoi cette revue de presse ? 

Pour montrer à travers l’actualité la menace que l’islam représente réellement pour la dignité et la liberté humaines.

►Pakistan : la police refuse d’arrêter le violeur musulman d’une  jeune chrétienne…

Une jeune chrétienne demande justice après un viol au Pakistan
La police refuse d’arrêter l’auteur, selon la famille.

Morning Star News

Une jeune femme catholique de 18 ans au Pakistan a déclaré que la police avait refusé d’arrêter un musulman qui l’avait enlevée et violée sous la menace d’une arme la semaine dernière.

Imaan Khurrum, de la région de Kot Ranjeet Singh dans le district de Sheikhupura, province du Pendjab, a déclaré à une chaîne d’information chrétienne sur YouTube qu’Ansar Shah l’avait enlevée le 7 novembre alors qu’elle rentrait chez elle après avoir travaillé dans une usine de chaussures. Shah l’a emmenée dans une briqueterie abandonnée, fermée en raison des niveaux dangereux de smog observés récemment dans la province, et l’a torturée et violée, a-t-elle déclaré à National News Nama.

Khurrum, qui a révélé son nom au média, a déclaré que Shah l’avait saisie dans une rue déserte et l’avait forcée à monter sur sa moto, et que lorsqu’elle avait résisté, il avait sorti un pistolet et l’avait menacée, ainsi que ses deux jeunes frères.
« Il a menacé de tuer mes frères et m’a forcée à m’asseoir sur sa moto », a-t-elle déclaré, la voix tremblante et le visage voilé dans la vidéo.

« Après avoir atteint le four, il m’a entraînée dans une pièce, a déchiré mes vêtements et m’a violée. Pendant ce temps, il m’a giflée et battue à plusieurs reprises ».

Pendant plus de quatre mois, Shah l’a harcelée alors qu’elle se rendait à son travail pour subvenir aux besoins de sa famille ; ses proches se sont plaints à la famille de Shah, mais le harcèlement s’est poursuivi, a déclaré Khurrum.

Sa mère, Sana Khurrum :
« Ma fille a été prise pour cible parce que nous sommes des chrétiens pauvres et faibles », a-t-elle déclaré dans la vidéo.

Imaan Khurrum et sa mère ont déclaré qu’en dépit de leurs appels répétés à la police, les agents n’ont pas arrêté le suspect. L’oncle d’Imaan Khurrum, Morris Nazir, a déclaré que le suspect se promenait librement sans craindre d’être arrêté.

« Une semaine s’est écoulée depuis le viol, mais la police n’a pas arrêté Shah », a déclaré Morris Nazir au Christian Daily International-Morning Star News. « Ils ont brièvement placé ses deux parents en garde à vue, mais les ont relâchés après avoir reçu un pot-de-vin ».
Nazir a déclaré que les proches de Shah utilisaient diverses tactiques pour faire pression sur sa famille afin qu’elle retire la plainte, et que l’inaction de la police indiquait que la famille de Shah avait influencé les officiers.
« Nous demandons une action en justice immédiate contre Shah et la protection de notre famille », a-t-il déclaré. « Nous sommes pauvres et n’avons pas les moyens d’engager un bon avocat. Il est de la responsabilité du gouvernement de rendre justice à notre jeune fille ».

►Royaume-Uni : la recruteuse de nouveaux djihadistes félicitée par Daesh ! 

Daesh rend hommage à un professeur britannique qui a fait la promotion du djihad auprès des enfants…

Après l’arrestation d’une musulmane au Royaume-Uni pour avoir distribué un manuel scolaire promouvant l’idéologie salafiste et djihadiste, une chaîne Telegram pro-Daesh appelle à « insulter les mécréants » en continuant à le diffuser.

Le 13 novembre, une chaîne de télévision de Daesh  en anglais, consacrée à la publication d’informations sur les prisonniers arrêtés pour avoir soutenu Daesh et d’autres groupes djihadistes, a rendu compte du cas de Dzhamilya Timaeva.

• La chaîne demande à Allah de protéger Dzhamilya Timaeva.
• La chaîne demande à ses sympathisants de ne pas partager d’articles la concernant, car ils la montrent à visage découvert.
• La chaîne ajoute que les partisans doivent contrarier les kouffars en diffusant davantage le livre.

Le 12 novembre 2024, les médias britanniques ont rapporté qu’une enseignante de 19 ans dans une école islamique du dimanche, Dzhamilya Timaeva, originaire de Windsor, dans la banlieue de Londres, avait été jugée pour diffusion de publications terroristes et possession d’un document à des fins terroristes, après avoir imprimé un manuel pour enfants intitulé « Little Muwahideen »  et prévu de l’enseigner à des enfants.

Principes défendus dans le manuel : 

• Exemple d’acte d’adoration du djihad :  les musulmans devraient « renverser » des idéologies comme la démocratie et le capitalisme
• Les musulmans doivent haïr les incroyants
• Les dirigeants doivent être désavoués et l’incroyance combattue pour faire respecter la charia
• Le djihad est un moyen obligatoire de propager l’islam
• Le djihad peut être offensif ou défensif, le livre précise que « dans le djihad offensif, les mécréants sont invités à l’islam ou contraints de payer la jizyah [un tribut que le Coran impose aux juifs et aux chrétiens de payer à leurs suzerains musulmans

Les procureurs ont également noté que Dzhamilya Timaeva avait été trouvée en possession d’une vidéo de Daesh incitant à commettre des attentats, ainsi que de notes concernant l’ « Autorisation des opérations suicides », et qu’elle avait écrit qu’elle aspirait à être « la mère des soldats d’Allah … celle qui les élevait et les incitait au djihad ».

Memri

Voir ici article précédent sur RR

►Des LGBT agressés sexuellement dans les prisons des talibans…

Des personnes LGBT agressées sexuellement dans les prisons talibanes

Afghanistan International

Rainbow Afghanistan a publié un rapport indiquant que les personnes LGBT sont torturées et agressées sexuellement dans les prisons talibanes.

Le rapport montre qu’au cours des trois dernières années, au moins 98 personnes LGBTQIA+ ont été malmenées en prison.

Les talibans imposent des sanctions sévères pour l’homosexualité en Afghanistan.

Le rapport d’enquête  souligne qu’un certain nombre de personnes LGBT en Afghanistan ont été menacées de mort pour avoir rejeté les « désirs sexuels » des membres des Talibans, et que certaines d’entre elles ont disparu des centres de détention des talibans.

Dans ce rapport, Rainbow Afghanistan a interrogé 12 personnes LGBTQIA+ qui ont été victimes de la violence des talibans.

Jannat Gul (pseudonyme), qui a passé huit mois dans une prison talibane, a déclaré à l’organisation : « Les talibans voulaient que nous soyons avec eux et que nous établissions une relation, en échange de quoi ils nous promettaient de l’argent et un soutien en prison. Cependant, après avoir rejeté ces demandes, ils nous ont agressés sexuellement. Je me souviens que quatre personnes m’ont agressée sexuellement en une seule nuit.

« Les talibans ont décidé de faire de nous une leçon pour les jeunes d’Herat », a-t-il ajouté. Ils nous ont noirci le visage et ont déclaré que nous devions être punis. Ils nous ont  exhibés dans la ville de 11 heures à 18 heures ». L’organisation s’est également entretenue avec plusieurs hommes et femmes des provinces de Jalalabad, Herat, Baghlan, Kaboul, Balkh et Logar, qui ont raconté les mauvais traitements infligés par les talibans aux personnes LGBT.

Une vidéo montre des enfants « occidentaux » apprenant à haïr les « kouffars »…

Apprendre à ses enfants à haïr les kouffars (terme péjoratif désignant les non-musulmans), tout en vivant sur une terre de kouffars…

C’est de la maltraitance d’enfants !

Teaching your children to hate the kuffar (pejorative term for non-Muslims), while living on kuffar land.

Child abuse! pic.twitter.com/lC6qMZvV5S

— Dr. Maalouf ‏ (@realMaalouf) November 14, 2024

Réactions d’Internautes : 

-S’agit-il de ses filles ou de ses enfants-épouses ?
-Je méprise vraiment tous ceux qui enseignent aux enfants à avoir de la haine envers les autres. C’est une erreur.
-Personne ne sait ce que « Mahomet » a dit. Il n’y a même pas de preuve contemporaine de son existence.
-Ses filles ne devraient-elles pas être mariées à l’heure qu’il est ?

►Des élèves  juifs harcelés à Auschwitz…

Des élèves ont été  félicités pour leur réaction à la provocation « Palestine libre, libre » à Auschwitz

Des élèves de terminale ont été confrontés à un groupe d’une école suédoise au mémorial du camp de concentration.

Photo : Immanuel College

Jewish News Daily

Les élèves de l’Immanuel College ont été félicités pour leur résilience à la suite d’un incident anti-israélien survenu lors d’une visite à Auschwitz.

Un groupe de terminale de l’école de Bushey a été confronté à des chants « Free, free Palestine » de la part d’élèves suédois alors qu’ils visitaient le site commémoratif. Selon le responsable de l’excursion et directeur adjoint de l’école, le rabbin Yoni Golker, les remarques visaient les élèves arborant des symboles israéliens.

Un petit nombre d’élèves suédois a fait des commentaires tels que « Pourquoi portez-vous ces drapeaux dégoûtants ? Des agents de sécurité sont intervenus, adressant un avertissement verbal au groupe et les enseignants suédois se sont excusés par la suite.

M. Golker a salué la maturité des étudiants de l’Immanuel College, déclarant qu’ils avaient géré la situation avec fierté et résilience, choisissant de ne pas s’engager. Il a également noté que l’incident a renforcé la valeur éducative du voyage, soulignant la nécessité permanente de lutter contre l’antisémitisme.

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