Et elle ajoute : à court terme, la mondialisation est mieux sur le long terme.
Bref, elle ne peut que constater la réalité et la justesse du point de vue de Trump et de son économie. Mais comme elle ne peut renier toute une existence consacrée à abolir les frontières et les règles nationales elle n’a pas d’autre solution que d’affirmer, comme d’autres le font pour l’Europe « ça ne marche pas parce qu’il faut encore plus d’Europe« , « ça ne marchera pas plus tard si on n’établit pas la mondialisation »….
Donald Trump est une bonne chose pour l’économie américaine selon Christine Lagarde
La patronne du FMI a déclaré que la politique protectionniste de Donald Trump serait bénéfique pour son pays à court terme. Elle s’est cependant empressée de préciser que la mondialisation était, à long terme, la solution aux problèmes économiques.
Lors de son discours prononcé au Sommet du gouvernement mondial à Dubai, la patronne du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde a estimé que la politique économique de Donald Trump, et son plan d’investissement massif dans les infrastructures, ainsi que ses réformes fiscales, allaient stimuler l’économie américaine à court terme.
«Nous avons des raisons d’être optimistes sur la croissance aux Etats-Unis», a-t-elle affirmé sans pour autant se départir des grands principes libéraux défendu par le Fonds monétaire international (FMI). Elle a en effet tout de suite précisé que l’embellie de l’économie américaine ne serait pas durable, défendant la mondialisation et le commerce international qui, pour elle, sont plus efficaces pour générer de la croissance à long terme que le protectionnisme, aux Etats-Unis et ailleurs dans le monde.
A ce propos, l’ancienne ministre française de l’Economie en a profité pour glisser un mot sur la situation politique en Europe et les élections qui s’y profilent : «Je suis inquiète, comme nous le sommes tous, à propos de ces élections», a-t-elle déclaré sobrement.
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cette conne, qu’elle rembourse d’abord les 420 millions offerts à Tapie le gros muffle
Bonjour,
Le principal problème du libre échange c’est qu’il empêche le développement d’industries naissantes qui ont besoin d’être protégées. Prenons l’exemple de la transition énergétique : Les panneaux solaires ne peuvent p^lus être fabriqués qu’en chine. Sans protections douanières nos industries naissantes ne seront jamais compétitives ! En outre dans la structure des prix la part sociale est plus importante dans les sociétés développées qui nécessairement ne peuvent lutter face à des sociétés socialement moins disantes.La conséquence est la destruction de nos entreprises avec une cohorte de chômeurs, nourris grâce aux esclaves du tiers monde, un endettement faramineux des états pour financer le social devenu trop C’est ce qu’exprime le déséquilibre de la balance des paiements…. En plus, nous avons ajouté pour lester notre économie l’Euro !
Je reste partisan ,de rendre responsable nos politiciens sur leurs deniers personnels des dettes qu’ils votens…Tous les élus ayant voté une dette devraient la garantir sur leur patrimoine !!!
Nous peuples européens nous n’avons pas besoin de sa mondialisation, ni de l’union européenne de Fascistes, qu’elle s’occupe de ses fesses, qu’elle garde son sale fric de l’FMI, elle n’a rien à dire, dehors!.
La solution, c’est de quitter cette saloperie d’union européenne d’escrocs Fascistes et de retrouver la souveraineté de tous les pays européens dans tous les domaines.
Nous devons plus dépendre de cette dictature Fasciste et vive la liberté!.
Le commerce international est nécessaire, il a existé de tous temps. Ce qui ne devrait pas être acceptable, c’est l’ouverture, large, irraisonnée, des frontières à des populations faisant concurrence aux autochtones, notamment salariés ou petits entrepreneurs. Il faut une certaine mondialisation, mais permettre l’immigration massive vers les pays développés est irresponsable.
Les petites entreprises souffrent du RSI mais aussi de réformes plus discrètes comme celle de l’intérêt qui a réalisé une rupture injustifiée au regard de l’égalité. Les mondialistes n’en ont cure.