Les lecteurs de Résistance républicaine connaissent bien l’épouvantail Barroso auquel nous avons régulièrement taillé un short.
Nous avions notamment rappelé la très longue liste de ses méfaits dans le dernier article que nous lui avions consacré en juillet dernier, à l’annonce de son recrutement par la très controversée banque Godman Sachs.
Les ordures de Goldman Sachs recrutent l’ordure Barroso : sortez les boucliers !
Article de Challenge en fin de celui-ci, dans l’encadré.
Entre canailles on s’entre’aide, quant on pense que ce Barroso avant d’être l’hyper libéral que l’on connaît a été maoïste dans les années 68 ! C’est vrai que Goldman Sachs ça rapporte plus !
Mais cela n’a rien d’étonnant. C’est l’alliance des coquins.
Goldman Sachs ? Du profit, du profit, et l’esclavage de tous les sans-dents qui ne travaillent pas assez. Leurs souhaits ? Un monde sans règles, sans frontières, où la retraite tombe à 70 ans, avec une immigration aidée et encouragée et, cerise sur le gâteau, la banque rêve d’une baisse générale des salaires de 30% en France.
Barroso ? Grand maître de la dictature européenne, libéral et mondialiste, obnubilé par l’intérêt des banques, prêt à toutes les magouilles pour les préserver, complice et aide de Goldman sachs pour faire la peau aux Grecs, grand copain de Hollande qui l’a décoré de la légion d’honneur en catimini, et qui plus est puant comme le racontait Philippe Bescond-Garrec qui avait travaillé dans le palace où le quidam descendait régulièrement à Paris.
http://resistancerepublicaine.com/2016/06/29/1951-2010-chronologie-de-la-dictature-union-europeenne/
http://resistancerepublicaine.com/2016/06/23/accueil-des-refugies-un-proche-de-barroso-veut-nous-faire-croire-que-cest-la-panacee/
Lire aussi l’analyse de la Tribune et notamment cet extrait :
Évidemment, ce « transfert » pose une question centrale : celle de l’indépendance. Les liens entre Goldman Sachs et d’autres grandes banques et de nombreux fonctionnaires européens ou nationaux posent de véritables problèmes, notamment dans la gestion de la crise financière. Le cas le plus souvent cité est celui de Mario Draghi. L’actuel président de la BCE depuis 2011 a été vice-président de la branche européenne de Goldman Sachs de 2002 à 2005. Or, Goldman Sachs n’est pas une banque comme les autres. C’est elle qui a aidé le gouvernement grec a détourné la méthode de calcul du déficit public par des produits de « swaps » qui permettaient de reporter à plus tard une partie de ce déficit. Grâce à ce tour de passe-passe, la Grèce était entrée dans la zone euro en 2002. Ce mécanisme avait été utilisé, du reste, par l’Italie, en 1997 pour rejoindre l’union monétaire à une époque où le directeur général du trésor transalpin était un certain… Mario Draghi.
Le comportement de José Manuel Barroso durant la crise
Et pour José Manuel Barroso ? Cette nomination n’est pas neutre. En tant que président de la Commission, cet homme a été un des responsables des erreurs de gestion des années 2010-2013. Partisan d’une austérité forte et d’un ajustement féroce, il a participé à la troïka dans tous les pays touchés par la crise, de la Grèce à l’Irlande. Or, le principe de ces « sauvetages » a été de sauvegarder les intérêts des créanciers des États, principalement les banques. José Manuel Barroso a notamment participé aux pressions contre l’Irlande pour empêcher le gouvernement de ce pays de réduire le fardeau porté par sa populations en faisant participer les créanciers des banques irlandaises. L’ancien président de la Commission, qui n’a jamais vraiment eu à répondre de ces choix devant le parlement européen, a donc géré au mieux les intérêts du secteur financier dans une crise causée à l’origine par des produits vendus à la Grèce par Goldman Sachs qu’il rejoint à présent.
Un combattant contre la « mauvaise finance » ?
Certes, dans son interview au Financial Times, l’ancien premier ministre portugais, chef de file lors de la Révolution des œillets en 1974 du Mouvement révolutionnaire du prolétariat portugais (MRPP, maoïste) avant de rejoindre en 1980 le parti social-démocrate (PSD) de centre-droit, se présente comme celui qui a entamé un « effort global de régulation et de supervision » de la finance. Mais son bilan, de ce point de vue, reste contestable. Le projet Barnier de séparation bancaire, assez timide, a été abandonné. L’union bancaire n’a pas été conclue sous la direction de José Manuel Barroso et montre déjà ses limites en Italie ces derniers jours. Surtout, les lendemains du Brexit montrent clairement que le risque d’une crise financière n’est pas écarté. Qu’une banque aussi fragile que Deutsche Bank puisse continuer à menacer comme une épée de Damoclès sur l’Europe prouve aussi que les efforts de l’ancien président de la Commission ont été pour le moins insuffisant.
Effet désastreux pour l’UE
En réalité, les déclarations de José Manuel Barroso, qui se dit « très impressionné par l’engagement de Goldman Sachs pour les niveaux les plus élevés en termes d’éthique » et par la « culture d’intégrité et de responsabilité » de l’entreprise, sonnent comme les reflets un cynisme parfait. De tels engagements ne peuvent manquer de soulever des questions quant à l’action présente des dirigeants européens. Voir un ancien chef de l’exécutif de l’Union européenne chercher à aider une banque à gérer au mieux le Brexit ne peut manquer de soulever des questions sur l’engagement quant à l’intérêt général européen des dirigeants de l’UE. A l’heure où le successeur de José Manuel Barroso, Jean-Claude Juncker est très contesté et où l’UE peine à tirer les leçons du vote britannique, cette nomination est particulièrement mal venue et pourrait avoir un effet désastreux.
http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/barroso-rejoint-goldman-sachs-encore-une-mauvaise-nouvelle-pour-l-europe-585472.html
http://resistancerepublicaine.com/2016/07/09/les-ordures-de-goldman-sachs-recrutent-lordure-barroso-sortez-les-boucliers/
Et voici que, enfin, la presse officielle (voir ci-dessous l’article de ce jour du Huffingtonpost) pose les mêmes questions que nous… Et relaie, sans moufter, les prétendus états d’âme du menteur Hollande. Il sait, il savait très bien qui est Barroso et s’il lui a remis la légion d’honneur ( en catimini, quand même, comme pour l’émir saoudien) c’est bien pour le remercier d’avoir mené sa catastrophique politique au service des élites mondialisées et aux dépens des peuples et notamment du peuple de France. Tout le monde sait et a toujours su les liens entre Goldman Sachs et les élites mondialisées et notamment Barroso… seulement le vent tourne, les Sans-dents montrent leurs chicots…
Je rêve de voir Barroso aux côtés de Hollande, pendus à la Lanterne.
José Manuel Barroso était déjà en contact avec Goldman Sachs pendant son mandat à la Commission européenne
POLITIQUE – C’est une embauche qui pose encore question. José Manuel Barroso, au centre d’une polémique sur son entrée chez Goldman Sachs, a entretenu des contacts étroits pendant son mandat à la tête de la Commission européenne (2004 à 2014) avec la banque américaine, selon des documents révélés samedi 24 septembre par le journal portugais Publico.
Les dirigeants de Goldman Sachs « faisaient parvenir au cabinet de Barroso de manière confidentielle des propositions sur des changements à apporter aux politiques de l’Union européenne », rapporte le journal qui publie des extraits de lettres et mails obtenus auprès de la Commission européenne.
Une missive du 30 septembre 2013 signée par le patron de Goldman Sachs, Lloyd Blankfein, fait ainsi état d’une visite discrète de José Manuel Barroso au siège de la banque à New York qui, selon le journal, ne figurait ni à son agenda officiel, ni dans les archives de la Commission.
« J’ai beaucoup apprécié notre discussion productive sur les perspectives économiques mondiales », écrit Lloyd Blankfein qui a fini par embaucher José Manuel Barroso comme président non-exécutif de Goldman Sachs International.
Des contacts « transparents » selon Barroso
Sollicité par le journal, José Manuel Barroso a « démenti catégoriquement » avoir eu une « relation spéciale avec une entité financière » durant l’exercice de ses deux mandats à Bruxelles.
« J’ai naturellement maintenu des contacts institutionnels – transparents et dûment enregistrés dans les archives de la Commission – avec de nombreuses entités politiques, patronales, syndicales et financières », a-t-il fait valoir. Parmi elles figuraient « les principales banques qui opèrent sur le marché européen », dans un contexte de « crise financière », a-t-il poursuivi.
Le journal cite entre autres une lettre d’une lobbyiste de Goldman Sachs faisant des propositions sur la législation des marchés financiers et une réponse d’un membre du cabinet de José Manuel Barroso qui a promis de les lire « avec grand intérêt ».
Le recrutement de José Manuel Barroso par Goldman Sachs a soulevé une vague d’indignation en Europe et notamment en France, où le président François Hollande l’a qualifié de « moralement inacceptable ».
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Pardon Chère et délicate Christine …pour ces deux là, j’aurais plutôt utilisé le verbe conchier…
Tu connais la grossièreté des gens du sud ! ..
Bisous des ajacciens !
tu as entièrement raison Chris, j’aurais dû y penser… Bisous à tous
Chère Christine,
je commande 250 tracts NON A L INVASION MIGRATOIRE pour distribuer dans mon pays rochefortais ( 17 430 ).
A propos de BARROSO, je me souviens , il y a quelques mois, d’une émission du « grand journal » où il faisait sans complexe du « rentre-dedans » à la miss météo qui avait l’air prête à tout, sans aucune nuance.
La veulerie, la lourdeur, l’obscénité n’ont plus de limites aujourd’hui.. et ça n’est sans doute pas fini.
Amitiés à toute la belle équipe de RR
Très peu d’articles sur la Légion d’Honneur que notre président François O (zéro) a remis à ce Barroso. Tout acte contraire à l’honneur commis par un décoré est susceptible d’entraîner des peines disciplinaires : blâme, suspension dont la durée varie, exclusion définitive.
Pour les étrangers, la sanction consiste en une mesure de retrait de la décoration, prise par décret.
Et maintenant qu’elle suite?
http://www.dreuz.info/2016/09/25/le-patrimoine-du-qatar-a-paris/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29
Mais qui peut croire encore à l’UE ?
Mais qui peut croire encore aux représentants de l’UE ?
Mais qui peut croire encore à la social démocratie ?
Mais qui peut croire encore à l’intégrité de nos politiciens ?
Tous pourris ! Toutes pourries ! C’est une évidence.
quel enflure ce flamby !
Entre traîtres de la Nation Française ont ce comprend !
ils ce passe une Retraite aisée sur le dos du peuple Français ces salopards !
il faut qu’ils soient tous juger un Nuremberg Bis et pendu haut et court voilà ce qu’il faut faire avec ces pourritures et vendu de la secte sanguinaire islam !!!
Grand officier…..un si « petit individu »
a ma connaissance , on ne peut pas etre direct Grand Officier »
il faut commencer petitement
d’ abord chevalier, ensuite officier,aprés grand officier, aprés commandeur
ainsi il aurait d’ abord été officier??
les progressions de grade ont lieu en moyenne tous les 8 ans…
sauf décision régalienne du président de la raie publique
sont t y pas mignons sur la photo les deux compères ??
asinus asinum fricat…
Que de légions d’honneur à retirer…
De Tarek Oubrou à Barroso (En plus grand officier !)…