Pourquoi le Mrap et mediapart ne disent-ils pas pourquoi Sékouba Marega doit être expulsé vers Bamako

Illustration : un Sékouba Marega, est-ce celui évoqué dans l’article ci-dessous ? 
Il faut admirer l’art de la takkiya utilisée par les amis des nos ennemis les illégaux. J’ai nommé Le Mrap, entre autres, l’article ci-dessous figurant également sur Mediapart, ce qui n’étonnera personne.

Le MRAP dénonce l’horreur des expulsionsMercredi 7 septembre, à 13h30, des policiers viennent chercher Sékouba MAREGA au Centre de Rétention Administrative de Vincennes pour le conduire à l’aéroport et le mettre contre son gré dans un avion à destination de Bamako sur le vol AF386 !

Sékouba est arraché à sa compagne Aminata et leur fils Abdoulaye âgé de 3 mois, qu’il ne reverra plus. Dans le local d’éloignement de la PAF à l’aéroport de Roissy, les policiers le menacent de prison s’il s’oppose à son expulsion.

Sur les marches qui le mènent à la porte de l’avion, Sékouba résiste, les policiers le jettent à terre, l’un d’eux pose son pied sur sa poitrine en pressant fortement, tandis qu’un autre lui met un casque de boxe. Entièrement entravé, il ne peut plus bouger et pourtant un des policiers porte un coup de pied à la poitrine de Sékouba avant de le monter dans l’avion. Ils le font asseoir à l’arrière de l’appareil. Dès que les passagers commencent à monter, un policier lui presse les parties génitales afin de le dissuader de toute résistance mais Sékouba parvient à crier jusqu’à ce que des passagers remarquent sa présence.

Sékouba parvient à expliquer sa situation. Les passagers dans leur quasi-totalité se lèvent et s’opposent à son expulsion. Alerté par les cris des passagers, le commandant constate le désordre à bord de l’avion et demande aux policiers de débarquer Sékouba.

Le MRAP dénonce avec force les violences et les violations de plusieurs principes en matière de droits humains dont a été victime Sébouka. Ce cas, après bien d’autres, est une nouvelle illustration de la politique migratoire scandaleuse de la France. Le MRAP salue la réaction des passagers qui ont permis d’éviter l’expulsion de Sébouka et espère que de très nombreux citoyen(ne)s se lèveront à l’exemple des passagers de l’avion Paris -Bamako.

La fin légale de la rétention pour Sékouba MAREGA est prévue ce samedi (45ème jour de rétention), le MRAP demande sa libération immédiate et la régularisation de ce père de famille.

Paris, le 8 septembre 2016

Note de Christine Tasin

On a beau chercher sur le net, on ne trouve rien sur le ressortissant de Bamako. A part des photos comme celle qui illustre l’article.

Mais tout de même, s’il est sous le coup d’une décision judiciaire (ou administrative), c’est qu’il doit y avoir de bonnes raisons. Nous déplorons suffisamment souvent que la plupart des clandestins demeurent chez nous, même fichés S, pour comprendre que le dit Sékouba MAREGA ne doit pas être un perdreau de l’année.

Le clandestin (radicalisé, comme on dit ? Fiché S ? délinquant ? Peut-être, qui sait ? ) a une compagne, dont le prénom n’est pas français et un bébé de 3 mois ? La belle affaire. Ils n’ont qu’à le suivre. La France n’a pas encore inventé le regroupement familial pour les indésirables susceptibles de ne pas respecter la loi française et plus si affinités.

Par ailleurs, combien de nos compatriotes, qui se lèvent tôt, sont amenés à quitter la France parce qu’ils ont trouvé un emploi à l’étranger ? Et que dire des militaires qui n’ont pas le choix et doivent partir avec leur famille sous le bras au Sénégal pour ne pas parler de contrées encore moins riantes…

C’est que, chez nous, quand on a une famille, on ne la laisse pas, on l’emmène et quand on est expulsé on part avec elle.

Or le quidam s’en garde bien, bien conseillé sans doute par les assoc de traîtres à la nation, afin de revenir et de tenter, une ou des nouvelles fois de passer entre les mailles du filet, sous prétexte de retrouver bébé… dont il doit se moquer comme de sa première chaussette, sinon il serait parti avec. Point barre.

Quant aux imbéciles heureux qui se sont opposés à son expulsion dans l’avion, on se prend à rêver qu’ils rencontrent au coin d’une route déserte un terroriste déguisé en migrant…

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12 Comments

  1. Fallait prendre les noms des passager et leurs signifier l’obligation dans l’état d’accepter l’entretien du gugusse en question le temps de son procès en France, voir, risquer de devoir l’héberger par rotation le temps de la procédure!!! RADICALE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  2. Qui sont ces passagers abrutis qui prennent parti pour l’ expulsé: Des gauchistes, des FDS, des aveugles, habitants de quartiers préservés?
    Tant de bêtise ça me dépasse!

  3. Comme dit Christine, j’ai lu l’article d’un oeil dubitatif vu la source de l’info.
    Secundo, je suis curieux de connaître le nombre de FDS présents dans l’avion.

    • Entièrement d’accord avec vous. La vaste majorité des passagers de l’avion sont certainement des maliens avec la citoyenneté française ou pas. Ces personnes ne sont pas en France par amour du peuple français ou de la culture française mais par intérêt économique. Leur priorité est de faire venir la famille, le village ….. Entrer/rester illégalement en France est normal, expulser les illégaux est raciste

  4. Ce que l’on peut regretter, malgré tout, ce sont les violences policières. En effet, telles que décrites par le MRAP : « le policier porte un coup de pied à la poitrine » du clandestin, elles ne peuvent que susciter l’indignation de ceux qui assistent à la tentative d’expulsion…
    On peut penser que si, au préalable, on donnait un sédatif au récalcitrant au départ forcé et que les policiers aient un comportement plus respectueux, les expulsions ne feraient pas l’objet d’objections dans le public, de la part des passagers et du personnel de vol.
    Il faut savoir être malin, plus malin que nos adversaires et les clandestins. Or, c’est tout le contraire : en faisant de chaque candidat à l’expulsion un martyre la chance est de leur côté et non l’inverse !
    Le travail de la police n’est certes pas facile dans ce contexte mais un minimum de préparation devrait les aider si, en amont, on souhaitait réellement expulser !

    • jene crois pas un seul instant aux violences policières quand ce sont des gauchistes qiu les affirment.. Et face à un expulsé violent pas le choix

      • En tous cas c’est chaque fois le même discours qui est servi : devant les violences policières les « spectateurs » ont réagi… Je ne doute pas de la violence de l’expulsé : provocations ; c’est pourquoi je préconiserais, si j’étais le responsable du centre de rétention, de « calmer » le clandestin avant le départ pour éviter à la police de devoir faire usage de la force.
        Mais, il semble que dans ce pays les responsables soient tous anesthésiés.

    • Bonjour,
      Il y a peut-être eu un bug.
      Sinon, c’est que votre commentaire était un peu trop « hard ».
      Christine subit régulièrement les foudres de la justice, alors nous nous devons d’être très prudents.
      Merci de votre compréhension.
      (Le modérateur).

  5. Tout est fait pour que l’on ne puissent pas expulser les ordures. Les racailles se foutent bien de notre gueule et ils ont raison.

  6. Ce n ‘est pas 1 karcher qu ‘il faut
    mais 1 lance flamme
    essayez de faire cela dans certains pays IRAN CHINE , etc …
    le pays du sourire >>> la Thailande direct prison , amende , expulsion , black list
    et les prisons ne sont pas des sanatoriums

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