Trump-Gaza-Groenland : Trump cherche-t-il à déplacer les Gazaouis au Groenland ?

Trump-Gaza-Groenland

Le président Trump qui, d’un côté, revendique le Groenland, et de l’autre, veut nettoyer la bande de Gaza en envoyant ses habitants en Jordanie et en Égypte, a peut-être une bien maligne idée derrière la tête.

Envoyer les Gazaouis, Hamas compris, en Jordanie et en Egypte ne sert à rien. Ce sont deux pays limitrophes d’Israël. Rien ne pourrait empêcher les Gazaouis de rentrer chez eux et de continuer à harceler Israël. Ils se sont spécialisés dans le creusement de tunnels. Ils creusent mieux et plus vite que les taupes, les champions en la matière.

Et qu’est-ce qui attire Trump dans le Groenland, une île immense de plus de 2 millions de km² avec une petite population d’à peine 60.000 âmes ? Il faut faire des centaines, voire des milliers de kilomètres, avant de trouver quelqu’un à qui dire bonjour.

Apparemment, ni le Groenland ni Gaza ne présentent vraiment un intérêt pour le président Trump. À moins qu’il y ait un lien entre les deux territoires, un lien ténu visible seulement pour Trump. Mais qu’il ne tardera pas à rendre grandement visible pour tous.

Beaucoup pensent que la paix au Proche-Orient ne peut se réaliser que par l’instauration de deux États, l’israélien et le palestinien. Ils ont raison. Le problème est que tout le monde sait qu’il est impossible de faire cohabiter ces deux États côte à côte.

Et si on éloignait l’État palestinien pour éviter toute friction avec l’Israélien ? Le plus loin possible. Dans l’Arctique, par exemple ?

Et c’est ici que le Groenland, devenu propriété américaine gérée par Trump, se proposerait en toute liberté d’accueillir cet État palestinien.

Où est le problème si les Palestiniens de Gaza vont côtoyer les pacifiques Inuits du Groenland ?

Mahmoud Abbas et le Hamas pourraient faire partie du voyage.

Trump est capable de déplacer toute la Jordanie en Groenland. Et, s’il le faut, l’Égypte aussi. La Jordanie et l’Égypte ne tiennent que par l’aide américaine. Les deux pays ne peuvent rien refuser au brave et généreux président des États-Unis.

Le problème israélo-palestinien est donc résolu. Deux États éloignés par des blocs de glace. En lieu et place de sable.

Les États arabes du Proche-Orient et du Golfe ne pourraient qu’applaudir. Le monde arabo-musulman, dans sa totalité, à l’exception de l’Iran, serait soulagé de se débarrasser de la vermine palestinienne.

Alors, on dira d’une seule voix : « Il était temps. »

Et on priera en chœur : « Qu’Allah te bénisse, président Trump ».

Messin’Issa

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6 Commentaires

  1. Mais quelle bonne idée, ils pourraient tout simplement mourir de froid.
    Naturel, écologique, pas cher et effet garanti.