Je suis choquée par ceux qui se permettent de critiquer la lettre du père de Matisse

D’aucuns ont même eu le culot de fustiger la photo choisie par le papa, photo ci-dessus qui illustre si bien le rire, la complicité, le jeu, les bons souvenirs des moments partagés

Je vais sans doute choquer certains de nos lecteurs, mais j’ai beau tourner les choses dans ma tête depuis quelques jours, je ne peux accepter certains propos que je lis ici ou là sur la fameuse lettre du père de Matisse. J’ai honte pour ceux qui, se disant du clan patriote, se comportent comme les nervis de Mélenchon et autres décérébrés du bulbe. Quand la haine de l’ennemi politique rend fou et fait de vous un animal partial et partisan qui oublie la raison et l’humanité et ressemble à vos pires ennemis il y a péril en la demeure.

Il suffit de errer sur twitter, de lire certains articles et leurs commentaires sur le net pour sentir un froid glacial vous envahir.

Tous ces beaux donneurs de leçon ne comprennent pas que le père de Matisse ne soit pas un Patrick Jardin. Bien sûr. Chacun, en effet, éprouve, doit éprouver, devrait éprouver la haine, la combativité, l’envie de tuer l’assassin de son enfant et je suis à 100% d’accord avec Patrick. C’est normal, c’est humain, et nous avons suffisamment, ici, dénoncé le livre d’un veuf du Bataclan, Vous n’aurez pas ma haine pour comprendre.

Sauf que, on peut le déplorer, combien y a-t-il de Patrick Jardin dans  la population française ? Peu, parce que cela exige une force de caractère peu commune. Et il me semble que ce n’est pas juste après la mort de l’enfant qu’il faut, en plus, accabler le père pour ce qu’il serait ou ne serait pas. Pas au moment où il a besoin, pour contenir son abominable douleur, d’écrire une ultime lettre d’amour à son fils. Cette lettre n’a pas à être politique, engagée. Le père de Matou veut crier son amour à Matou et il le fait dans une superbe lettre, juste après sa mort. Qui sommes-nous, nous,  pour critiquer le contenu ?

 

Parce que, il y a, me semble-t-il, une énorme différence entre un livre militant, politique, destiné à faire la leçon à ceux qui ne pardonnent pas aux assassins de l’un des leurs et une lettre d’adieu à son fils assassiné quelques jours avant. Une lettre pour dire tout son amour à cet enfant. Une lettre pour essayer d’apaiser l’épouvantable douleur de la perte, de l’absence en criant, en écrivant, en disant tout ce qui tourne sans cesse dans la tête : j’ai aimé cet enfant, j’ai adoré nos partages, il a ensoleillé ma vie, est-ce que je le lui ai assez dit, assez montré ? Cette lettre est le besoin de dire, de faire… face à la plus atroce des douleurs. Le papa évoque pudiquement en quelques mots les « mauvaises fréquentations » que son fils avait pu avoir à un moment donné. Rien de plus, rien de moins, il est trop tard pour fustiger. A quoi bon, au moment d’écrire une lettre qui n’est qu’une lettre d’amour ?

Qui êtes-vous, messieurs et mesdames les donneurs de leçons, pour dire à ce moment terrible à ce père éploré qu’il serait un gauchiste, un immigrationniste, un de ceux qui aurait approuvé l’arrivée des assassins de son enfant ? Certes, je comprends que ce soit notre tentation à nous qui luttons contre l’immigration, contre l’islamisation de la France.  Mais il me semble que  ce n’est ni le lieu ni le l’heure d’accabler le père en deuil. Un peu de tenue, bordel !

Sur Résistance républicaine le sujet a été évoqué, et avec quelle tenue, avec quel respect, sans pour autant faire de cadeaux aux gauchos dégénérés ni aux immigrationnistes  par Maxime et Jacques Martinez, 2 patriotes à qui l’on ne peut rien reprocher, et nos lecteurs ont été remarquables dans leurs commentaires. Je tiens à les remercier tous vivement et publiquement ici, ils font honneur à notre site, à notre association. Maxime a dit ce qu’il ressentait avec pudeur mais avec force : Enfin il me semble que si je perdais un enfant, j’aurais la rage. Pas la peine d’en faire plus, pas la peine de fustiger, ici et maintenant, cet homme dont nous savons si peu de choses. Jacques, lui, a éclairé la belle lettre d’adieu du père de Matisse en mettant en avant sa douleur, son amour pour cet enfant. Cette lettre était destinée à son enfant mort,  pour lui dire une dernière fois à quel point il avait compté dans sa vie, ce n’était ni le moment ni le lieu de régler des comptes politiques.

Et si le père de Matisse est/était un immigrationniste fou, il souffre par où il a péché, on pourra le lui dire, mais plus tard. Pour le moment il faut respecter sa douleur, son deuil, sans se comporter comme des chiens. Notre ami Cachou, défenseur des animaux engagés,  me dira que cette expression fait outrage aux chiens. Certes, mais c’est la langue française, le charme des expressions imagées qui font tout comprendre, simplement. Je refuse de me priver du plaisir d’user de comparaisons, métaphores, allégories… sous prétexte que certaines seraient infamantes pour  des animaux ou des personnages. A ce jeu, je soupçonne certains tarés de vouloir faire des autodafés des Fables de La Fontaine 😉 et Cachou ne ressemble en rien à ces hystéro-dingues.

Plus que jamais nous devons suivre les leçons de l’antiquité. Sur le temple d’Apollon à Delphes, là où la Pythie de Delphes officiait étaient gravés 147 aphorismes chers à ceux des  Anciens gréco-romains qui avaient du bon sens, comme Μηδὲν ἄγαν
Ne fais aucun excès.  L’essentiel revient à dire qu’il faut se méfier de l’hybris (hubris ou ubris -en grec ancien : ὕϐρις / húbris-) qui se traduit le plus souvent par « démesure ».  

Je crois que, dans la vie, il y a un temps pour tout. Un temps pour la bataille. Un temps pour la vengeance (quand la justice d’un pays ne la rend pas  il est évident que la tentation de faire justice soi-même se fait impérieuse). Mais aussi un temps pour le recueillement, les mots d’amour et de regret, en oubliant pour un moment, pour un moment seulement, le politique et les règlements de compte. C’est ainsi que j’ai compris la lettre destinée à Matou, que j’ai trouvée très émouvante. Il sera temps plus tard d’interroger la vie de ses parents, de leur faire des procès d’intention. Pour le moment, place au recueillement. Place à l’amour sans procès.

Nous ne faisons pas de trève, nous, dans notre combat contre l’immigration, contre l’islamisation, contre les agressions, assassinats… tous plus horribles les uns que les autres dus pour une bonne partie à l’immigration. Plus que jamais, la mort de Philippe, de Matisse et de tant des nôtres, chaque jour, doivent nous rappeler qu’il y a urgence. Oui, ce sont les nôtres qu’ils assassinent. Oui nous devons nous lever. Mais laissons un père touché à mort crier son amour à son fils sans lui faire la leçon. Pas maintenant.

 

 

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45 Comments

  1. Ce père tue son fils une deuxième fois et tout va bien, et rien ne vous choque, vous êtes mûr pour la conversion à la religion d’amour et de tolérance !

  2. Je comprends le besoin d’écrire cette lettre pour son fils et je ne juge certainement pas sa façon de faire son deuil. Mais ne pas vouloir dire que c’est l’immigration qui a tué son fils, ne pas souligner que c’est un Afghan le meurtrier, alors même que ces Afghans ont été imposés à Châteauroux, c’est laisser la porte ouverte à un prochain francocide qui, malheureusement, ne sera pas long à venir.

  3. Je suis très étonné de votre article . En effet , vous fustigez ceux qui dénigre le comportement de ce père qui n en est pas un . Être père c est protéger ses enfants et cela en premier en votant pour des politiques qui agiront pour protéger sa population et par retour, nos enfants . NON , que cela vous plaise ou pas , ce type est une merde et surtout un lache au cerveau malade . Il fait parti des traîtres à notre pays et pour moi , il fait parti des gens qui me dégoûte . Vous avez sensiblement oubliez, que c est le comportement de toutes ces gauchiasses , que d autres personnes se sont fait tués , violés et agressés . Des Patrick jardin , il y en a et de plus en plus …….

  4. Il justifie tous les meurtres passés, et encourage tous ceux à venir.
    C’est un croyant fanatique qui ne veut pas abandonner sa foi face à la réalité, même au prix de la vie de son fils. Il sacrifie son fils sur l’autel de sa foi. Ce mécanisme psychologique est hélas bien connu … Le réel ne compte alors plus.

  5. Je n’ai pas lu la lettre du père de Matisse. Il y a fort à parier, que Matisse, ne sera pas dernier, tué par les islamistes, délinquants enfin les « chances pour la France », quoi.
    La situation est très difficile pour le père, il a un commerce à faire tourner. Au deuil, il ne faudrait pas que s’ajoute, de nouveaux malheurs.

  6. Les 31 % pour Macron sont plus nombreux que l’on pourrait le croire et que montrent les sondages. Français laissez-vous vous massacrer et vous serez un bon Républicain récompensé par une gentille Marche Blanche

  7. Cette lettre a , probablement , été suggérée par Attal, qui a appelé le père après le décès, sans doute pour le briffer.
    A la lecture de la lettre, j’aurais pu deviner que le père faisait partie de ces cucu-gauchistes, un tenant du vivre-ensemble et de l’invasion.
    Une lettre mièvre où je n’ai ressenti qu’une faible émotion.
    Une lettre dictée idéologiquement, pour faire taire les anti-immigrationnistes.
    De toutes façons, quand j’ai entendu le père déclarer  » je suis content… », j’avais tout compris.
    Son devoir d’idéologue est passé avant son amour pour son fils.
    C’est ça, être un dégénéré soumis.
    Une lettre qui prépare à la marche blanche, nounours roses et fleurs.

    • Bonjour , oui je pense aussi que quelqu’un a parlé a l’oreille de ce monsieur afin d’éviter ce qu’ils appellent la « récupération  » , cette chose horrible qui consiste a dire la vérité . Je compatis néanmoins totalement a la douleur des parents , Encore une marche blanche des poèmes et des bougies ne les éteigniez pas il va y en avoir besoin sous peu …hélas .

  8. …. Quand va-t-il se battre ? Quand ?
    Puisque ce n’est pas « maintenant » … quand ?

  9. Ca veut dire quoi exactement ce fameux  » délai de décence  » dont la gauchiasserie nous rebat les oreilles pour empêcher que nous disions ce que nous pensons .non messieurs dames de la prétendue bien-pensante, j’affirme en tant qu’homme libre que toute critique argumentée est bienvenue quel que soit le jour et l’heure. Meme si tout le monde n’a pas la résistance de Patrick Jardin , il est notre exemple à suivre . Sinon « le pardon peut-être, apres la punition et l’expiation ».

  10. Ce qui me surprend, c’est ce père qui ne veut pas de la récupération par qui que ce soit et surtout par des politiques – ce que je peux tout-à-fait comprendre – puisse rendre public cette lettre, provoquant ainsi une polémique, la preuve, ce qui n’est pas, à mon humble avis, la meilleure attitude pour honorer la mémoire de son fils.

  11. Avis tres personnel. Cette lettre du père parle ..
    .du père et de son affection, de sa cajolerie
    L’hommage aux qualités de son fils n y est pas, à part  » gentil ». A quinze ans, quand on devient une personne, on a envie d’entendre autre chose de son père en guise de bllan d une courte vie et surtout pas qu il révèle à la France entière un sobriquet ridicule dont il vous a affublé et qui fait de vous, devant des étrangers et devant vos copains, un éternel bébé. Si mon père m avait rendu un tel « hommage », je serais venue lui tirer les pieds : « Dis Papa, tu n avais rien trouvé de plus remarquable chez moi ? Ça m aurait plu que tu en parles c etait le moment ou jamais. »

    • Il ne s’agit pas d’un sobriquet, ça semble davantage être un diminutif personnalisé. Matisse/ Matou. Mon petit chat en somme. C’est affectueux, pas ridicule s’il utilisait en famille uniquement. Il ne devait pas être que gentil mais gentil est le plus beau compliment au monde car la gentillesse est la beauté d’une âme. Oui il aurait pu lui trouver d’autres qualités et il devait en avoir pour avoir un papa si… « gentil ».

      • Ok. L’exhibition PUBLIQUE de la douleur et de l’ affection justifierait tout ? « Ma grosse loutre », hors de l intimité
        c’est moche. Ou alors dites que vous auriez aimé que votre père votre fils, votre femme, votre frère, en guise d oraison funèbre ait pu vous appeler ainsi publiquement, ou bien « ma gentille otarie obèse » . Vous trouvez cela touchant et digne ? C est un détail dans ce drame, me direz-vous. OUI.

      • Ce qu on appelle aujourd’hui gentillesse est à la bonté ce que la margarine est au beurre ou ce que la vaseline est à l huile d’olive.

  12. On a le droit de critiquer ce qui est rendu public. Sinon à quoi rime cette lettre ouverte ?
    L’auteur prend une position et même une posture publique. Il tient manifestement à nous les faire connaître.
    On ne s’est pas gêné pour ouvrir un debat et même un réquisitoire lorsque Patrick Jardin a fait connaître les siennes.
    Le lien donné par Hagdik est intéressant.

  13. La critique peut-être positive ou négative mais tant qu’elle existe, c’est le principal !
    D’errer…non (  » Il suffit de errer  » ) ???

  14. Je ne sais pas si il y a beaucoup de gens qui me ressemblent et si il y en a beaucoup qui comme moi seraient révoltés suite à l’amputation qu’on leur a fait de leur enfant mais une chose est certaine ne jugeons pas à chaud ce papa dans la peine si il est un fervent de l’immigrationisme il vient d’en payer le prix maximum et je parle en connaissance de cause…..sinon dans quelques mois il se rendra compte de son erreur croyez moi lorsque cet hiver tout le monde s ‘apprête a fêter Noël et qu’il y a une chaise vide à coté de vous……vous ne pouvez pas rester insensible

  15. Merci Christine pour ce point de vue inspiré de l’Ecclésiaste. Mais, à partir du moment où le père rend publique ses émotions, il doit s’attendre à attirer des commentaires. D’autant plus qu’à la fois la forme et le fond interrogent. La question que se posent les lecteurs : la victime (qui, dit-on avait de mauvaises fréquentations) connaissait-elle son bourreau et si oui, dans quelles circonstances l’a-t-elle rencontré ? On aimerait tout simplement en savoir plus sur les tenants et les aboutissants de cette affaire.

    • Ma foi mon cher Hector l’Ecclésiaste n’y pour rien, je ne suis que mes Humanités mais tout cela est proche, c’est vrai. Bien sûr que le partage de la lettre amène, forcément, des réactions mais ce partage est aussi nécessaire pour que chacun soit témoin de sa douleur, pour qu’elle se dise, se sache, c’est normal ; je ne crois pas que ce soit une provocation, juste un essai de dire pour moins souffrir (cf Freud). Certes on aimerait en savoir plus mais est-ce maintenant qu’il faut exiger tout cela, au moment de l’épouvantable deuil qui commence ?

    • La vérité c’est que c’est bien un gauchiste immigrationniste qui crachait (crache) sur le RN Zemmour et Marine le Pen des captures d’écrans ont été diffusée, c’est limite un antifa évitant les repas de famille ou tu penses « mal »
      j’ai lu un témoignage, il est connu comme une grande gueule mais bien pensante, ça n’enleve pas que la mort de son fils est un drame, mais je n’ai pas une larme pour le père

    • Puisque Anti Islam et Christine aussi semble-t-il m’y autorisent, merci Hagdik pour ce lien vers un site que je ne connaissais pas. J’ai particulièrement apprécié le commentaire de Obstinate944 qui énonce sans haine aucune mais avec bon sens ce qui ne va pas, ce qui ne va plus dans certaines réactions. Face à la barbarie sans limite, totalement décomplexée, certains Français, même agressés dans leur chair (leurs enfants) semblent avoir perdu tout instinct de conservation, allant jusqu’à soutenir au pire moment, celui du meurtre, ce qui a tué et tuera encore nos propres enfants et nous si rien ne change, surtout si NOUS ne changeons pas.

    • ça y est, le site est inaccessible.
      Ils ont vite fait d’agir.
      Ah ! s’ils pouvaient faire aussi vite pour les sites de haine muslim !

  16. Je suis bien d’accord avec vous. Je ressens un très grand malaise à lire ces agressions verbales envers ce père. Je suis même étonnée, moi qui pourtant déverse ma haine et ma colère envers ces assassins, ici et là sur les forums, que les gens puissent à ce point se tromper de cible ! Cet homme, ce père, S’ADRESSE A SON ENFANT : est-ce que dans nos civilisations nous mettons dés le berceau la haine dans le coeur et la tête de nos enfants ? Non, nous en protégeons leur esprit et leur coeur. La colère et la haine c’est pour les adultes ! Que ceux qui l’ont vu se souviennent du film  » La vie est belle « , où un père voue sa vie à protéger son petit garçon de toute idée de mal ! Que disent les mères et les pères qui connaissent l’horreur ? Ils disent « Dors mon enfant, tout va bien ». On voit bien dans la lettre de monsieur Marchais qu’il s’adresse à son fils vivant autant qu’à son fils mort. Et pour ceux qui l’agressent, prenez le temps de lire entre les lignes : les coupables, il les désigne. Mais on ne dit pas à son fils de 15 ans « Tues ! » Ce sont les sauvages qui le font.

  17. -« Et il me semble que ce n’est pas juste après la mort de l’enfant qu’il faut, en plus, accabler le père pour ce qu’il serait ou ne serait pas. Pas au moment où il a besoin, pour contenir son abominable douleur, d’écrire une ultime lettre d’amour à son fils. Cette lettre n’a pas à être politique, engagée. « –

    … oui ! c’est avant tout une ultime lettre d’amour à son fils contenir sa douleur ; c’est son urgence paternelle ; celle ‘un père amputé de son enfant, de son fils ; de l’amour de son fils, de l’amour pour son fils. Amputé de la vie qu’ils venaient de commencer ensemble.
    C’est une lettre d’amour, une précieuse lettre d’amour, ; des mots d’amour à son fils ; des mots qu’il ne pourra plus dire à son fils. Des mots d’amour pour étouffer la douleur sous laquelle, est contenu quelque chose qui pour lui n’est pas encore la priorité ; celle de la révolte et ce que cette révolte peut engendrer.

    Chacun dans l’extrême douleur encore très vive, a son refuge personnel et particulier d’affronter la tragédie. Pour ce père, est encore le moment de crier, pleurer son amour à son fils parti tragiquement et trop tôt.

    • D’après de que je sais, n’attendez aucune révolte. Je ne peux vous en dire plus. Comme tous les autres. Seul Patrick Jardin ne baisse pas les bras.

      • Bonjour @Argo ;

        Je comprends ce que vous voulez dire. Je pense que dans ces cas, l’erreur et de faire d’une affaire privée une affaire nationale. Ces tragédies telle celle-ci sont montagnes et c’est de ça que les Français doivent prendre conscience ; c’est çà qui doit les bouger. Il ne faut pas compter sur la douleur de parents et proches de victimes. On ne doit pas attendre d’eux qu’ils soient nos champions ; ils sont dans leur expérience et souffrance personnelle qu’ils gèrent comme ils le peuvent avec leur forces et leurs faiblesses, piégés par la médiatisation.

        La révolte si elle doit se faire, sera collective ; ce sera celle de la majorité d’un peuple, de la NATION CONSCIENTE des blessures mortelles que lui inflige gouvernement et parlementaires.

        Ce n’est pas le cas particulier qui doit motiver note révolte mais la répétitions des coups portés dans tous les domaines par les responsables de ces trahisons à Notre Nation.

      • La suite française va être celle décrite par un certain Sanglier (sur Réseau libre, lien communiqué par Hagdik) soit la phase terminale comme la grenouille dans sa marmite mortelle. Je suppose que tout le monde connaît cette allégorie de la grenouille dans l’eau qui chauffe peu à peu jusqu’à cuire et tuer la grenouille.
        Il écrit : « La mort de son fils aurait du être un électrochoc. Eh bien non. ///. Il est en phase terminale comme la grenouille dans sa marmite mortelle, puisque son idéologie humaniste et sa réputation lui importent plus que son propre sang ».

      • Il est vrai que j’aurais aimé que nous soyons plusieurs à réagir comme moi…..mais la vie est ainsi faite…..

  18. Ce qui me gêne dans cette affaire, c’est que ce père tombe dans les mêmes travers habituels : Ils n’auront pas ma haine, suivront les bougies, les nounours, les fleurs, les marches blanches, et puis plus rien. Tout le monde sait d’où vient le problème mais personne n’ose le dénoncer. Par peur d’être traité de raciste. J’ai envie de dire : Au suivant. Ce qui ne tardera pas. Je crois que c’est même déjà fait.

    • je n’ai pas la meme vision que vous , ce père est touché au plus profond , il doit avoir de la haine mais que doit il faire appeler a la vengeance et la ce sera l’engrenage avec d’autres victimes et il se sentira responsable , coupable d’avoir fait tuer d’autres personnes .Les responsables sont connus cette europe qui nous tue

      • l’UE ne pousse pas les migrants à tuer, il me semble. L’accuser de l’invasion, soit, mais de meurtre, c’est un peu osé. Avec quelqu’un comme vous, l’invasion a de beaux jours devant elle. On me tue quelqu’un de ma famille, je me charge de punir le coupable, vu qu’il n’y a rien à attendre de cette Justice pourrie

        • c’est ce que l’on appelle résultat de cause a effet , je vous rassure on touche a un de mes proches ou mes animaux la justice je l’applique moi meme , je n’ai jamais tendue l’autre joue

  19. Suite à l’article de Maxime, je me « suis permise » – je croyais en avoir le droit – de dire que j’étais choquée par ceux « ceux qui n’ont pas la haine » et qui dans des conditions aussi terribles étaient encore capables de soutenir ce qui a conduit à la mort de leurs proches, surtout s’agissant d’un enfant. Je ne comprends absolument pas cette réaction, c’est le moins que je puisse dire.
    Mais comme je ne veux pas choquer Christine, qui est la patronne je vais dorénavant m’abstenir de faire des commentaires sur RR de peur qu’ils ne soient mal accueillis.

    • Bonjour,

      Vos commentaires seront toujours les bienvenus sur RR, Carole.

      (Le modérateur).

    • Ma foi Carole vous avez pu vous exprimer librement, j’en fais autant, chacun sa partition. Chacun a le droit d’être choqué par autre chose que son voisin.

        • @Carole, restez avec nous.
          J’apprécie chaque fois vos commentaires pleins de justesse.
          D’ailleurs, le forum est fait pour débattre.

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