Les fous furieux de la NUPES sont chez eux à Poitiers, qui n’a plus rien à voir avec ce pauvre Charles Martel qui se retournerait dans sa tombe, s’il savait…
Mélenchon est chez lui quand il rend visite à Moncond’huy, la jeune verte qui a remporté les municipales en 2020.
Le Clain, rivière qui traverse la ville, serait à sec, la situation serait préoccupante depuis longtemps… Pour avoir vécu dans la ville plusieurs années et y avoir encore des intérêts, je dois dire que je n’ai jamais eu l’occasion de me dispenser de circuler sur les ponts pour accéder au centre-ville enclavé par la rivière ! Dès à présent, soulignons qu’il s’agit d’une simple opération de communication, les intéressés ayant choisi un emplacement particulier où, du fait du relief, la rivière est toujours assez basse, mais si l’on va du côté du Pont-neuf, pour ceux qui connaissent la ville, le Clain est toujours à flot !
Mélenchon et ses amis ont donc choisi de tirer profit d’un hasard de la géologie pour promouvoir de façon plus ou moins honnête leur « règle verte », vous savez, l’une de mesures inconstitutionnelles du programme de la NUPES…
Règle selon laquelle on ne devrait jamais prendre à la Nature davantage que ce qu’elle peut rendre…
A ce compte, nous serions encore des hommes du début du Moyen-âge, si nous nous étions interdits de prendre aux carrières ce qui, par définition, ne se reconstituera pas ; si nous nous étions interdits de déboiser la vaste forêt que la France constituait alors.
Les personnages des romans de chevalerie médiévaux passent leur temps à traverser des forêts ; ce n’est pas un hasard, la quasi totalité du territoire était boisé.
Si on s’était mis en tête de respecter une « règle verte », nous vivrions encore comme des hommes préhistoriques. On n’aurait jamais bâti des maisons en dur, des églises, des cathédrales, des hôpitaux et tant de choses.
Les mêmes désirant profondément la tiers-mondisation de la France, l’ensauvagement social, finalement leur programme présente une certaine cohérence.
Alors dans cette affaire, il faudrait empêcher les agriculteurs d’arroser leurs cultures pour préserver le sacro-saint Clain !
On n’y fait pourtant plus de baptême depuis l’érection du baptistère Saint-Jean au IVème siècle
https://fr.wikipedia.org/wiki/Baptist%C3%A8re_Saint-Jean_de_Poitiers
Ce petit édifice très émouvant, parce qu’il a été construit à la naissance de la France, n’est pas très éloigné du Clain où les baptêmes se faisaient avant sa construction. Il est situé à côté de la cathédrale, elle-même construite à l’emplacement de l’ancienne cathédrale où Aliénor d’Aquitaine s’était mariée avec Louis VII en 1137.
Et ce sont finalement ces lieux que Mélenchon est venu souiller de sa présence, le grand-gourou des je-sais-tout qui font n’importe quoi…
Se prenant pour Jésus, il a souhaité marcher sur l’eau…
Le chef de file de la Nupes s’est rendu à Poitiers à moins de dix jours du 1er tour des législatives. Avec le secrétaire d’EELV Julien Bayou, il a alerté sur la problématique de la gestion de l’eau en France en traversant à gué le Clain alors que le débit de la rivière est au plus bas.
Ils ont même trouvé l’occasion de « s’engueuler » dans la rivière, leur union électorale n’étant qu’affichage…
Fraîche union oblige, il y a bien eu quelques crispations dans la rivière. « Ce n’est pas important, les méga-bassines ? », s’étouffe un militant du collectif « Bassines Non Merci », à la remarque d’un LFI sur la place occupée par son affiche.
Au cœur de l’essentiel des attentions, Jean-Luc Mélenchon veille à ne pas fâcher les fins connaisseurs de ce dossier. « Bayou (Ndlr. Julien Bayou, le secrétaire général d’EELV) m’a dit : il faut qu’on aille à Poitiers parce qu’ici, il y a la crise de l’eau. Je ne le savais pas ! » Et s’excuse de « ne pas avoir installé le sujet de l’eau dans la présidentielle ». Avant de cibler l’agriculture intensive. « 80 % de l’eau qui est prélevée va dans l’agriculture donc on est en droit de se demander si elle est bien utilisée là où il faut », grogne l’Insoumis. Applaudissements. https://www.charentelibre.fr/vienne/poitiers/secheresse-la-nupes-se-jette-a-l-eau-a-poitiers-11159461.php
Qu’importe la couleur, le problème est de savoir quelles conséquences il faut en tirer.
Faudra-t-il subir des restrictions alimentaires pour respecter cette « règle », à l’heure où la France a besoin, plus que jamais, de l’autonomie alimentaire, de la production de céréales par nos propres agriculteurs ?
Faudra-t-il pallier aux manques en important ce qui nous fait défaut à cause de « la règle verte » ?
Comment les magiciens de la NUPES comptent-ils alors résoudre la quadrature du cercle, car si l’on importe ce qu’on se prive de produire chez nous, il faudra bien transporter cette marchandise, avec la pollution qui va avec et qui les rend aussi dingos que la baisse du cours d’eau ?
Et puis comme toujours avec Mélenchon, la marchandise électorale est frelatée. Car si le cours du Clain est bas en été, on en craint toujours les crues.
https://www.lanouvellerepublique.fr/poitiers/poitiers-se-prepare-a-affronter-une-crue-du-clain
Régulièrement, le Clain déborde, ce qui montre sa capacité à se reconstituer rapidement.
Poitiers se prépare à affronter une crue du Clain
Publié le 01/02/2021 à 18:16 | Mis à jour le 01/02/2021 à 21:35
La passerelle de Tison est fermée et les jardins des bords de Clain sont inondés ce lundi 1er février 2021, à Poitiers. Des passerelles sont installées pour les maisons du bas de la rue du Bas-des-Sables.
À 17 h, ce lundi 1er février 2021, la cote du Clain atteignait 2,55 m au Pont-Neuf, à Poitiers. Ce qui veut dire que les potagers qui longent les rives sont déjà inondés.
L’accès à l’îlot Tison depuis la promenade des Cours n’est plus possible, la rampe d’accès à la passerelle étant déjà inondée, sur la rive droite. Des barrières ont d’ailleurs été installées pour interdire l’accès à ladite passerelle.
Les services de la mairie de Poitiers ont également mis en place deux passerelles pour permettre aux riverains du bas de la rue du Bas-des-Sables, côté pont Saint-Cyprien, d’accéder à leur maison par les fenêtres du premier étage. Une troisième passerelle doit être installée ce mardi.
Comme l’an dernier
« A partir de 2,30 m, on commence à se poser la question ; à 2,50, on passe à l’installation », explique Patrice Filstroff, directeur des risques et de l’accessibilité.
La crue du Clain est attendue dans la journée de ce mardi 2 février. « La fourchette annoncée par Vigicrue se situe entre 2,90 m et 3,20 m », ajoute le représentant de la Ville. « Le niveau pourrait même atteindre 3,22 m à 22 h. »
Une crue comparable à celle du 7 mars 2020. À l’époque, la cote du Clain avait atteint 3,23 m
D’ailleurs, malgré ses bottes, Méluche a bien dû mouiller son costume en traversant le Clain à l’endroit où il est de toute façon toujours le plus bas, du fait tout simplement du relief de la rivière…
Finalement, belle opération de communication pour « surfer » sur les peurs, comme le savent si bien faire les écolo pastèques…
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Sur la photo, j’ai cru que Mélenchon allait se faire baptiser. Comme jadis dans le Jourdain.
comme ils ne savent pas comment exister : une fois défendu leurs islamistes bien aimés, les voilà hystérisant le moindre fait climatique qui a toujours existé : qu’il pleuve, neige, vente, ou qu’il fasse soleil, tout est prétexte pour servir l’imposture climatique : bien naïf celui qui s’y laisse prendre
Cette espece de raclure de millionnaire rouge dit merluchon , l’ancien originaire je crois du GERS dans les années 70 qui emmenait a Paris son equipe de rugby en jet privé , par contre merluche lui ne le fait pas , il accumule chauchats car quand on ait empereur gauchiste et que sa personne est sacrée on ne se melange point avec le bon peuple francois , par contre on se mixe avec les momos , sacré MERLUCHE , si ta personne est sacrée , TU NOUS FAIS QUAND MEME UN SACRE CON , A TOI LE POMPOM EMULE D’ADOLPH…