Depuis deux ans Résistance Républicaine et nombre de médias alternatifs patriotes nous ont appris à découvrir le nouveau « grand architecte de l’Univers », Klaus Schwab, patron du Forum Économique Mondial (FEM) et ses « anges » jeunes et moins jeunes tels Macron, Trudeau, Merkel, Draghi, Boris Johnson, Kurz, Jacinda Ardern, Bill Gates, Soros et bien plus si affinités …
Aujourd’hui, je propose de découvrir ensemble le principal collaborateur de Klaus Schwab, inspirateur et maître à penser de cette nouvelle religion à vocation universelle, le serpent de la tentation pour le transhumanisme, Yuval Noah Harari : https://fr.wikipedia.org/wiki/Yuval_Noah_Harari
Cette créature se propose, rien de moins, que d’en finir avec l’homo sapiens décadent pour lui faire accéder au statut de dieu. Cette douce perspective lui vaut un nouveau fan club prestigieux avec des noms connus et d’autres moins connus.
Ses travaux ont suscité l’intérêt des universitaires aussi bien que celui du grand public et ont rapidement fait d’Harari une célébrité, sa recommandation par Mark Zuckerberg dans son club de lecture y ayant contribué, tout comme Barack Obama qui a « adoré cette histoire de l’humanité vue du ciel » et Bill Gates qui a chaudement recommandé ce livre « vivifiant ».
Parmi les personnalités secondaires de cette secte, il convient de rappeler Jean-Luc Mélenchon ou encore Emmanuel Macron que vous pouvez admirer côte à côte avec Yuval Noah Harari dans une photo de cet article suivant la formule « Qui se ressemble s’assemble » :
https://blogs.mediapart.fr/yamine-boudemagh/blog/080919/sapiens-une-breve-histoire-du-macronisme
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Méfions-nous toutefois, car la morsure de ce reptile d’un nouveau genre est mortelle pour ceux qui se font piquer selon cette redoutable mise en garde dont je recommande vivement la vision :
Yuval Noah Harari est un transhumaniste israélien, conseiller #1 de Klaus Schwab (fondateur du Forum Économique Mondial). Il est l’auteur du best-seller international « Sapiens: Une brève histoire de l’humanité » et de sa suite « Homo Deus: Une brève histoire de l’avenir. » Vous voyez le genre… Pour lui, la sélection naturelle, c’est de l’histoire ancienne. Il rêve de concevoir un nouveau genre d’humain, plus évolué… aka plus débile et dépendant de la technologie.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Yuval_Noah_Harari
https://rumble.com/vwvw0d-le-bras-droit-de-klaus-schwab-est-badtripant.html
Faites de beau rêves …
Note de Christine Tasin
Je n’ai pas lu Harari que je ne connais pas. Je n’ai donc pas d’avis sur son livre ni sur l’homme, je serais peut-être en désaccord avec Gigobleu si je l’avais lu mais qu’il soit loué par Schwab me laisse penser que ce n’est pas sûr du tout ;-). Certains commentaires sur Amazon sur ses 2 derniers livres peuvent utilement compléter l’article de notre contributeur.
Quelques extraits ci-dessous
Mr Harari a une opinion très claire sur qui nous sommes – les sapiens.
Sa conclusion étant posé dès le début, l’auteur remonte l’histoire, en prenant ce qui l’arrange dans tous les domaines (théologie, psychologie, sociologie, science politique…) afin de créer une histoire de l’humanité selon ses convictions.
Pour faire simple, son œuvre ressemble à une énorme équation mathématique, sauf à l’envers. On part du résultat et on arrange toute l’histoire pour que les calculs fassent du sens.
Le démarche en soit est passionnante : découvrir le paradigme de l’homme moderne en étudiant nos origines et nos grandes étapes évolutives par une approche multidisciplinaire. Et certaines réflexions méritent de s’y attarder.
Mais ce livre n’a rien de scientifique, qu’on se le dise. On y trouve une quantité pharamineuse d’affirmations sur des sujets sur lesquels ont est très loin d’avoir un consensus. Mr Harari impose sa vérité, généralise à outrance, traces des raccourci qui l’arrangent dans son sens, simplifie même à en devenir caricatural. Pire, on y trouve même un série d’anachronisme, un comble pour un historien…
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Le livre commence comme un recueil d’anecdotes. Les références bibliographiques prennent une part importante, ce qui donne d’emblée du crédit à l’auteur. Au fil de la lecture, ces références sont moins nombreuses et on sent que l’auteur distille plus volontiers son point de vue que ce qu’il en est vraiment. Ce sentiment devient de plus en plus réel au point qu’à partir du deuxième tiers du livre, l’auteur ne fait qu’exposer ses idées, sans même prendre la peine de se justifier.
Cela devient flagrant dès qu’il parle d’économie – domaine auquel il est évident qu’il ne connaît rien – avec dans le meilleur des cas des grosses approximations (son paragraphe sur la monnaie est comique) et malheureusement des grosses erreurs (comme le libéralisme). Cela décrédibilise totalement ce que je croyais avoir appris au début du livre.
Le pompon est son long chapitre sur la recherche du bonheur, qui tombe au niveau d’un monologue de comptoir.
Au final, ce livre, sous couvert historique n’est qu’un déversement peu subtil de haine de l’homme qui vraisemblablement n’a que ce qu’il mérite.
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Harari a une compétence reconnue en Histoire du Moyen-Âge, ce qui ne lui donne aucune compétence en Préhistoire au Paléolithique et au Néolithique. Il ne suit pas une méthodologie d’historiens en travaillant sur des sources, son livre ne relève donc pas de l’Histoire : il s’agit seulement d’une histoire avec un petit h (p.493), un simple discours. Son vocabulaire est distordu dès les premières lignes au sujet du Big Bang, « L’histoire de ces traits fondamentaux de notre univers est ce qu’on appelle la physique » (p.13) : faux, cela s’appelle la Cosmologie. Distorsion qui se poursuit quelques lignes plus bas, « L’histoire des atomes, des molécules et de leurs interactions est ce qu’on appelle la chimie » (p.13) : faux, la Chimie n’a rien à faire avec l’Histoire. On est dans la manipulation des concepts, avec des phrases assénées qui ne relèvent pas d’un exposé du savoir, le bien et le mal se glissant partout dans les interstices.
Le bien : les chasseurs-cueilleurs du Paléolithique, leur respect de la nature. Ils seraient principalement végétariens (p.65) : faux, il est prouvé, à l’exception des Natoufiens, qu’ils se sont nourris très majoritairement de leurs chasses, d’autant plus massivement qu’ils devaient affronter le froid, ou localement de leurs pêches. Ils auraient vécu vieux (p.68) : série de chiffres faux sur leur espérance de vie, qui était en réalité courte. Le mal : l’invention de l’agriculture, qui aurait introduit la malbouffe, obligeant chacun à travailler énormément sans parvenir à nourrir une population en forte croissance.
On est ainsi prié de croire que la population des chasseurs-cueilleurs s’éteint parce qu’ils sont bien nourris et vivent longtemps, alors que celle des agriculteurs explose parce qu’ils sont mal nourris et meurent jeunes. Le savoir scientifique dit autre chose : l’invention de l’agriculture permet une très forte croissance de la production alimentaire, qui permet un accroissement très important de la population, lequel aurait été impossible dans un mode de vie de chasseurs-cueilleurs. Les agriculteurs seraient, selon l’auteur, toujours inquiets du lendemain (p.128) alors que les chasseurs-cueilleurs, qui travailleraient parait-il très peu, seraient libres de toute angoisse (p.128)
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Ce qui est étonnant n’est pas qu’un tel galimatias ait pu être publié: les bouquinistes regorgent de nanards du même tonneau. Non, ce qui est stupéfiant, et très préoccupant, c’est qu’une telle bouillie de lieux communs, d’affirmations gratuites, de références déformées, d’anathèmes sournois, ait pu trouver des éditeurs assez puissants pour l’imposer comme un best seller mondial.
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Chez Harari, les lieux communs, les affirmations gratuites et les références déformées restituent fidèlement cet écueil puisqu’elles illustrent et décortiquent l’itinéraire de la pensée qui mène au transhumanisme .
L’article de Gigobleu me fait penser aux articles assassins visant Didier Raoult et Luc Montagnier. Du bashing facile avec des raccourcis, des extraits hors contexte. Cela porte un nom barbare et c’est la seule épidémie qui menace l’humanité numérisée et cultivée par des bribes de connaissances dénaturées : L’ultracrépidarianisme.
Rassurez-vous, gigobleu sait parfaitement de quoi il parle et le domaine spirituel fait précisément partie de sa formation, son métier et son expérience. La plupart des gens ne réalisent pas que nous sommes aussi engagés dans un combat spirituel sans merci. Ceci dit, c’est vrai que le plus grand nombre sont sous l’influence de l’ultracrépidarianisme. Intéressant le rapport avec l’arianisme… Bien cordialement,
Juan Branco (de par son entourage de jeunesse) est le mieux placé pour comprendre l’oligarchie, comme Harari est le mieux placé pour parler de trans-humanisme.
Ce dernier se fait le témoin objectif de la genèse du prisme transhumaniste , pensée qui stagne depuis des millénaires et qui arrive à son paroxysme depuis le siècle des lumières. Ce qui amène la providence d’une transformation brutale dans le corps politique (théorie du gentil virus), processus systémique qui consiste à prendre pouvoir sur les corps et les populations pour protéger la vie biologique: définition stricte du bio-pouvoir.
Harari est un historien qui propose une analyse du passé et présente une possible perspective d’avenir avec pour objectif (écrit clairement) qu’il espère que ça permettra qu’il ne se produise pas… (À croire que personne ne l’a lu en entier dans le contexte, même pas les oligarques mondialistes).
s’il est reçu par le pourri c’est qu’il est pourri ; la pourriture est à jeter avant la contamination totale
quand l’article parle de « serpent » cela me fait penser à une parole de Jésus dans les Évangiles ou il dit aux pharisiens , dont le talmud est leur oeuvre, ceci : » vous venez vous , non de Dieu mais de votre père le diable (Satan ) hors Satan est appelé aussi le serpent originel. Il dit aussi; » prenez bien garde car Satan se transforme continuellement en ange de lumière » cela ne vous interpelle pas ? Observez le comportement des politiques en général , ils se présentent toujours en celui, ou celle, qui vas vous apporter le Paradis , le nirvana, des gens de paix etc…. Alors qu’ils sont exactement le contraire, car les problèmes humains sont leur raisons d’être aux yeux des peuples. Il faut donc impérativement que les humains aient des problèmes et qu’ils ne prennent jamais conscience qu’ils peuvent les régler eux-même.
Ah ils sont beaux les « êtres supérieurs » ayant besoin d’être « augmentés » pour survivre, dépendants de machines… Il est vrai que si tu débarques le maigrelet Harari ou le paltoquet même dans un verger fertile, ils seront incapables de se débrouiller pour se nourrir.
Macron a de ces choix littéraires, faut voir ! Je suis sûr qu’il pense qu’Alexandre Jardin et Marc Levy sont de grands auteurs !
Sa pensée comme tout son être est superficielle. Il pose avec des bouquins qu’il n’a sûrement jamais lus pour sa photo officielle (tiens, pas de bouquin de Jean Genet ?) et se jette sur tout ce qu’on lance comme produit à la mode, dont cet usurpateur d’Harari, binoclard boutonneux qui rêve de transhumanisme pour compenser ses complexes. La macronnie c’est la vanité (au sens de ce qui est vain). Comme le dit Louis fouché, le godelureau finira dans les poubelles de l’histoire. Et l’eugéniste Harari avec.
Si Harari est cité par Laurent Alexandre, l’urologue haineux et covidiste à l’intelligence artificielle, qui cite ce pseudo-historien dans son fameux discours où il distingue l’humanité entre « dieu » et « inutiles » alors ce type ne vaut pas la peine qu’on prête la moindre attention à ses délires.
Au cours de l’Humanité, par le passé, ont été créées, par des visionnaires, des hommes talentueux, des architectes, des peintres, des auteurs… des oeuvres extraordinaires : cathédrales, livres, peintures,poésies, inventions qui ont rendu service à l’humanité…Et tout cela sans intelligence artificielle, sans ordinateurs, sans Harari et sans Alexandre. Ils sont non essentiels, et l’humanité continuera sans eux, et la terre tournera sans eux, comme elle l’a toujours fait.
le problème c’est que les peules croient qu’ils sont indispensables et vont voter pour ça ….
dans les montagnes turques les enfants turcs écrasent les serpents avec des pierres sur la tête. ce sont des jeux sauvages qui forment le jeune au passage à l’age adulte. mais ce n’est pas de leur faute ils n’ont pas toujours accès aux bienfaits d’ internet.
Mon commentaire à ce sujet, en sera des plus simple face à cet adorateur de la secte Schwab et à tous ceux la composant, pour me présenter comme homo erectus ( à considérer dans sa signification littérale) pour ne pas accepter ma soumission à cette idéologie satanique.
Que son bouquin l’accompagne aux chiottes. Compte pour moi, de demeurer français tel qu’en signifie ce mot et que l’humanité l’adopte aussi pour sa sauvegarde.
Une interview en anglais avec un spécialiste des origines du Great Reset et de ses acteurs occultes.
https://www.redvoicemedia.com/2022/03/33rd-degree-freemason-whistleblower-exposes-illuminati-and-new-world-order-ukraine-agenda-maria-zeee-video/?utm_medium=ppt&utm_source=pushnotification
On comprend mieux pourquoi Israël fut le 1er pays à vacciner massivement sa population, la vaccination étant un des moyens d’établir le transhumanisme.
c’est de même tonneau que la clique d’hitler, mais version 21ème siècle et avançant sans bruit, à pas feutrés
Bonjour , bien dit ,je n’aurai pas dis mieux .
Merci Gigobleu pour cette vidéo qui nous fait découvrir les fondamentaux de cette « élite » mondiale qui rêve d’asservir l’être humain quitte à le robotiser.
Je n’ai jamais lu Harari, mais maintenant je me méfie des nouvelles idoles. Tout est orienté, et tordu.
EXCELLENT. Merci Gigobleu … Harari, le maître à penser de ceux qui se croient « mieux finis », les maîtres du monde ….
A nous d’en finir avec ces « mieux finis » car s’il « finissent » leur travail nous sommes finis …
Mon kiné, un jeune homme fort sympathique, très compétent, avec lequel nous avons une relation très ouverte, même si j’évite d’ouvrir certains sujets avec lui, m’a proposé précisément la lecture de deux ouvrages tome 1 et 2 de ce Harari. Sapiens. En « bande dessinée. J’ai très rapidement eu des…soupçons et me suis arrêté dans ma lecture, vers le milieu du premier tome…Car sans vraiment chercher, j’ai découvert en zonant sur le web l’accointance entre ce personnage et schwab, dont je découvre à la lecture de ce sujet qu’il en est un conseiller… Ce qui a eu pour effet de renforcer mon envie de ne pas aller plus loin. Bref ! Sapiens, sapiens toi même !