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Voici un article stupéfiant du Parisien décrivant une sorte de couvre-feu pour des juifs de Sarcelles quelque peu religieux.
Pourquoi stupéfiant ?
Parce que nulle part, le journaliste ne précise QUI en veut à ces juifs, QUI les cible s’ils portent kippa ou tsitsit et QUI pourrait les agresser, peut-être mortellement.
Seul indice : « une manifestation pro-palestinienne qui dérape en émeute antisémite »… Merveilleuse novlangue (de bois) anti-amalgame anti-stigmatisation !
Si les journalistes deviennent très prolixes, comme d’ailleurs le pape, sur l’antisémitisme supposé des « populistes » ou de l’extrême droite, ils semblent paralysés ou muets concernant celui d’une certaine religion.
Nous avons donc là, au Parisien, un exercice ardu de journalisme contemporain tentant de dénoncer l’antisémitisme à Sarcelles sans stigmatiser les antisémites.
Imagine-t-on un article de même teneur s’agissant de ratonnade ou d’une chasse au juifs par une bande de néo-nazis de Sarcelles (si tant est qu’il en existe encore) ? Sans doute pas : nous aurions, à coup sûr, les fins limiers du Parisien (comme Anissa Hamadi) ainsi que pléthore de condés sur les dents et d’avocaillons antiracistes pour rechercher et diffuser l’identité exacte de ceux qui exhument, à nouveau, les heures les plus sombres de l’histoire de l’humanité…
Mais là, non.
D’où l’impression, toutes proportions gardées, d’un avant-goût de Kichinev ou d’une nuit berlinoise de Cristal sans savoir vraiment qui sont les nouveaux pogromistes du tsar ou du Führer.
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Antisémitisme : « Après 18 heures, quand la nuit tombe, on ne met plus la kippa »
A «La Petite Jérusalem », à Sarcelles (Val-d’Oise), beaucoup d’habitants de confession juive retirent tous les signes extérieurs quand ils sortent de leur quartier.
Par Victor Tassel
Dans le quartier surnommé la Petite-Jérusalem à Sarcelles (Val-d’Oise), la communauté juive, l’une des plus importantes d’Ile-de-France, est visible, décomplexée, assumée. Il y a des boucheries cacher, une librairie hébraïque, deux synagogues, des écoles privées juives…
« Mais dès que vous passez de l’autre côté de la rue, il n’y a plus rien. Nous devenons invisibles », relève Yoann, 46 ans. Les kippas sont rangées dans la poche ou camouflées par une casquette.
Une sorte de réflexe nourrit par un « climat nauséabond et une appréhension », pense Jonathan. Et un traumatisme, aussi.
En juillet 2014, une manifestation « pro-palestinienne », interdite, avait dérapé en émeute antisémite. Des dizaines de jeunes avaient attaqué la grande synagogue en balançant des cocktails Molotov et fumigènes en direction du lieu de culte.
Depuis, la communauté juive se replie sur elle-même, envahie par une sorte de psychose. Sans qu’il n’y ait une recrudescence d’actes antisémites dans la commune, louée pour son « vivre-ensemble ».
Jonathan, 40 ans, entrepreneur dans le BTP, ne porte quasiment plus jamais sa kippa, par prévention. « Je ne la mets que pour aller à la synagogue. À mes enfants, je demande de n’avoir aucun signe extérieur religieux. J’ai trop peur qu’ils se fassent agresser, c’est une vraie angoisse. Vivons bien, vivons casher comme on dit ! »
Son fils de 14 ans aurait été traité de « sale juif » en pleine rue il y a une semaine.
Le chef d’entreprise, d’origine séfarade, est exaspéré par la « bunkerisation » des lieux de cultes. Pointant du doigt l’immense palissade grise de la synagogue de Sarcelles, les caméras installées au coin de la rue…
« On dirait une caserne, il y a un sas pour entrer. Devant les écoles juives, vous avez des militaires maintenant, se désole Jonathan. On se sent en danger, on a l’impression que l’on veut nous effacer. Donc il y a une réaction en chaîne et on se cache nous-mêmes. »
Aaron, Eykan, Elliron et Samuel, âgés de 16 ans et tous inscrits dans le lycée privé juif Ozar Hatorah, n’affichent aucun signe d’appartenance à la communauté une fois les pieds en dehors du quartier. En bas de leur immeuble, voisin de la synagogue, ils s’en vont jouer au football, sur un terrain à quelques centaines de mètres. « On va enlever la kippa sur le chemin », prévient Eykan.
Ils se conforment à des « règles » imposées par leurs parents. Et par eux-mêmes.
« Après 18 heures, quand la nuit tombe, on ne met plus la kippa. Dans le tram, le RER ou le métro, pareil, confie Aaron. Ce sont des réflexes. Sinon, c’est trop dangereux. »
« Moi, parfois, je mets une casquette pour camoufler, nuance Samuel. Il n’y a que dans ce quartier qu’on peut être tranquille, sans avoir peur de se faire insulter ou agresser. »
La Petite-Jérusalem, où la majorité des habitants de confession juive sont réunis, traduit un repli sur soi.
« C’est un regroupement naturel. Ce n’est pas une envie d’exclure les autres ou de créer un ghetto. C’est par commodités, justifie Florence, 51 ans, professeur dans une école privée juive. La communauté se rétrécit. Avant, vous aviez des juifs dans tous les quartiers. C’est dramatique que les jeunes n’aillent plus n’importe où avec leur kippa… »
Mickaël, 46 ans, dit n’avoir « jamais été embêté ». Il refuse d’adapter sa tenue ou son comportement en fonction d’où il met les pieds.
« Sauf quand je sens que c’est trop chaud, indique-t-il. Mais je considère que j’ai ma place dans la rue, comme tout le monde. Je ne veux pas me laisser intimider ou envahir par la peur. Je ne suis pas du genre à faire profil bas. »
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Cet étrange journalisme ne touche pas que le Parisien mais le Monde, Libération, le JDD et l’ensemble de la presse subventionnée. Même Macron semble tétanisé face au nouvel antisémitisme.
Mais plutôt que de visiter le cimetière de Westhoffen ou Israël en faisant semblant de combattre l’antisémitisme, il suffirait pourtant à Macron et aux journaleux de gauche de porter la kippa au Mirail ou à la Grande Borne pour sentir instantanément d’où vient le problème.
Georges Perec avait écrit « La Disparition », un roman sans « e ». Macron et les journalistes décrivent la disparition des juifs de France sans mots commençant par « is » ou « mus »…
Mais pas besoin de génie ni de longues études : tout le monde aura compris.
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En visite officielle en Israël, Macron devra compter avec la défiance des Français juifs
Le président de la République a prévu plusieurs séquences symboliques pour rassurer la communauté juive alors que la France connaît une recrudescence des actes antisémites.
Rassurer et convaincre. Du mercredi 22 au jeudi 23 janvier, Emmanuel Macron doit effectuer son premier déplacement en Israël et dans les Territoires palestiniens en tant que président de la République française, avec pour point d’orgue la commémoration du 75e anniversaire de la libération du camp de concentration d’Auschwitz-Birkenau, jeudi au mémorial de Yad Vashem.
Il devra faire face à la défiance des Français de confession juive, alimentée par la recrudescence des actes antisémites dans l’Hexagone.
Selon une étude de l’institut de sondage IFOP […] publiée le 20 janvier, plus d’un tiers (34 %) des Français de confession ou de culture juive disent aujourd’hui se sentir menacés au quotidien en raison de leur appartenance religieuse.
Pis, sept sur dix déclarent avoir été victimes d’au moins un acte antisémite au cours de leur vie, principalement des agressions verbales (64 %) et des insultes (48 %), mais aussi des violences physiques (23 %).
« L’antisémitisme en France ne saurait être réduit à quelques faits divers sordides », souligne l’étude.
De fait, la France est confrontée depuis plusieurs années à une forte montée de l’antisémitisme. En 2018, dernière statistique disponible, 541 actes antisémites ont été recensés en France, ce qui représente un bond de 73 % par rapport à l’année précédente…
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Les commémorations, dont l’intitulé officiel est « Se souvenir de l’Holocauste, combattre l’antisémitisme », entendent aussi mobiliser la communauté internationale face à la recrudescence des actes anti-juifs en Europe et aux États-Unis.
Pour marquer cette double préoccupation, Macron sera flanqué du ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, et du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner.
Ce dernier doit se recueillir sur les tombes des victimes de Mohamed Merah et de l’attentat de l’Hyper Cacher, ainsi que sur celles d’Ilan Halimi victime du « gang des barbares » et de Sarah Halimi assassinée à Paris…
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Macron en Israël pour lutter contre l’antisémitisme
Emmanuel Macron arrive mardi soir en Israël pour une visite de deux jours centrés sur la mémoire de la Shoah, en marge du 75e anniversaire de la libération des camps d’extermination nazis.
« C’est un sujet qui est d’autant plus urgent et important que la question de la lutte contre l’antisémitisme se pose avec une actualité qui est intense », dit-on à l’Élysée…
A Roglit, au sud de Jérusalem, se trouve, au milieu de 80.000 arbres symbolisant les 80.000 français juifs déportés, le chef de l’État s’entretiendra avec les enfants de déportés et « des Français qui portent la mémoire de la Shoah », comme la famille Klarsfeld, les fils de Simone Veil ou l’historienne Annette Wieviorka.
https://www.lejdd.fr/International/macron-en-israel-pour-lutter-contre-lantisemitisme-3944613
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Sarcelles c’est comme NEW YORK c’est peut être la ville la plu occupée par ISRAEL de FRANCE. Pour N.Y c’est ce que dit .Georges TABORI
Enfin est ce qu’il est nécessaire de mettre une calotte sur la tête pour montrer ostensiblement sa confession. Ce n’est ni plus ni moins le même comportement que le vêtement des musulmans.
Sacré narcisse.
Le leader président aurait du se mettre des téfilines
LES SIGNES OSTENTATOIRES SONT ILS INTERDITS OU PAS ?
Brigitte n’ a pas voulu l’ accompagner, elle savait que le coup de gueule était « programmé »
je crois que c’est Reiser qui disait
« une femme aura beau etre conne, elle le sera toujours moins qu un homme »
bon! demain il ira faire des bisous a l’ immonde Abbas
et les cités, les territoires volés (voilés ?) dela république lui offriront leurs voix avec la même passion qui lui fait ecarter les fesses
Une vidéo du jeune homme :
https://www.youtube.com/watch?v=OhIoYUh6cIk
Il est mignon dans cette vidéo, mignon tout plein, il fait la leçon comme un pion dans une cour de récré, mais le gentil pion, un peu efféminé. Trop fort notre président, trop fort, il a sûrement pensé que c’était le Grand Débat qui se poursuivait à l’étranger ou quelque chose de ce genre. Il déclame à son auditoire. Formidable cet homme, vraiment formidable.
J’admets que les mahométans soient foncièrement antisémites, alors qu’une bonne partie d’entre eux est elle-même sémite,toutefois les juifs ont trop tendance à se complaire dans le rôle d’éternelles victimes.
La communauté juive n’est jamais aux cotés des chrétiens lorsqu’ils sont persécutés,qu’une église ou des sépultures soient profanées aucun rabbin ne
dénoncera ce crime christianophobe!
Si une synagogue ou des sépultures israélites sont visées chacun se manifeste,y compris le clergé catholique.
désolé Karr, votre message ne veut rien dire.
D’abord, le terme antisémite est un terme forgé au XIXème pour désigner le racisme spécifique anti-juif. A l’époque, personne ne pensait aux arabes et ce n’est que depuis 50 ans que la France et l’Europe font l’objet d’une conquête en douceur par les Arabes que l’on entend : « arabe = sémite ».
Secundo, vous vous trompez largement. Les évènements antichrétiens sont relayés dans les médias juifs. et de plus, la volonté de faire profil bas et d’en dire le moins possible sur la christianophobie semble être un choix délibéré, une stratégie clairement adoptée par l’Eglise française. Elle pense qu’en faisant le dos rond, l’averse passera peut-être.
Donc Karr, ne mélangez pas votre ressenti, vos impressions, ou peut-être même vos fantasmes, avec la réalité telle qu’elle est.
Comprenez bien enfin une chose, les Juifs et les Chrétiens ne sont pas à pieds d’égalité : en terme de racisme venant des musulmans, nous avons « une longueur d’avance ». Ce que vivent les chrétiens, nous l’avons vécus dès le début des années 2000, les synagogues brûlaient en nombre et on expliquait alors que ce n’était que des accidents. Choix de la gauche et de Daniel Vaillant, alors minisitre de l’intérieur.
Maintenant, vous commencez à connaître le goût de la persécution, ce qui vous met profondément mal à l’aise (je le comprends parfaitement), mais ne venez pas vous en prendre aux Juifs. Nous avons bien compris qu’il fallait être solidaires, parce que nous en savons justement un peu plus sur la question, que vous, chrétiens occidentaux, persécutés de fraîche date.
Pour info, lisez Goldnadel, par exemple, il écrit très fréquemment sur la christianophobie. Elisabeth Lévy (« Causeur ») de même.
Bref, je vous renvoie votre propre critique : montrez de la solidarité envers les Juifs, vous venez de monter à bord de ce bâteau d’infortune. Calmez-vous et soyez solidaire.
La pêche aux voix avant les municipales.
Il a annoncé son plan de lutte contre l’islamisme, il va maintenant annoncer qu’il va lutter contre l’antisémitisme (qui n’est qu’une des facettes de l’insécurité qui mine globalement la France et qui est bien entendu, le bienfait principal que nous ont apporté les populations immigrées de culture musulmanes).
Bref, de la comm, toujours de la comm et rien que de la comm.
Oui mais, ça marche…
Les veauxtants ont déjà les bulletins.
1er scénario : macron va en Israël et revient dans une boite. Toute la France et d’autres pays exultent, justice est faite. 2ème scénario : les juifs (qui n’agressent personne) sortent de leur silance et dénoncent les musulmans. Toute la France se réjouit de savoir que les musulmans vont disparaître où devront quitter le pays, vite avant qu’il ne soit trop tard pour eux. Il ne resterait plus qu’à traquer les traîtres qui ont bafoué la France et le République.
Bonjour,
Son de cloche identique au journal de France 2 : il n’y a pas de sujets à ces agressions.
Le journaliste parle, dans le vague, d’un « retour » (sic) de l’antisémitisme.
Les mots « islamistes », « musulmans », « islamo-gauchistes » ne sont JAMAIS prononcés.
Mais tout le monde sait de quoi il retourne dans les faits.
A commencer la Gauche et l’extrême-Gauche.
Très promptes à manifester, et en masse, il y a encore 20 ans, (les crimes étaient mis sur le dos des « fachos »).
Mais maintenant que la Gauche sait que les auteurs sont, systématiquement, ses protégés (pro-palestiniens, islamistes, musulmans divers etc) elle s’abstient de toute manifestation.
Quelle belle escroquerie avons-nous vécue et continuons-nous de vivre de la part de cette Gauche
Pour combien de temps encore ?
Moi, j’aurais plutôt pensé que c’était encore un coup de l’extrêmes drouate…
Il n’y a pas que les juifs qui se font agresser.Hier après midi j’étais dans le centre de Villeneuve avec ma cousine de 75 ans qui a une prothèse au genoux gauche et qui à du mal à marché, et du coup c’est moi qui lui sert de chauffeur. Quand à une vingtaine de mètres de nous une femme d’une quarantaine d’années blanche est passée devant deux black, jeune grand la vingtaine, et l’un deux lui a envoyé un coup de poing. Mais miracle, elle a réussi à parer le coup de poing avec ses deux bras et a poussée le parasite qui c’est trouvé en déséquilibre et elle en a profité pour partir en courant. J’étais prêt a lui venir en aide, mais ma cousine m’a attrapé le bras et m’a dit, « attention ils sont deux et tu as 66 ans » et surtout ils s’en seraient pris à ma cousine. Je me suis senti impuissant, j’avais la haine.
Bien sûr qu’il n’y a pas que les juifs et nous en parlons suffisamment à RR.
Mais je voulais mettre l’accent, dans cet article, sur la méthode journalistique consistant à s’auto-censurer, à informer de biais ou à anonymiser les agresseurs.
Haaaa, j’apprend qu’il y a eu une altercation entre services de sécurité français et israélien… Macron à Jérusalem va-t-il nous faire du Chirac ?
https://www.lci.fr/international/video-jerusalem-altercation-entre-services-de-securite-francais-et-israelien-aux-portes-de-la-basilique-sainte-anne-emmanuel-macron-2143421.html
Non, j’ai plutôt l’impression que ça doit être le mignon de Macron.
En effet, il s’agit d’un éphèbe noir, et on a remarqué que Macron avait un faible pour les jeunes hommes noirs.
Les services de sécurité israéliens n’ont pas dû être briefés là dessus.
J’y avais pensé au vu des énergumènes de sa sécurité. Mais je ne voulais pas aggraver mon cas…
En même temps, le Makao jouant à la Playmachinbidule avec Jawad Benjaoud, c’était déjà inquiétant.
https://www.liberation.fr/checknews/2018/06/07/est-ce-bien-makao-ex-garde-du-corps-d-emmanuel-macron-que-l-on-voit-dans-une-video-en-compagnie-de-j_1657350
Monsieur Macron;lorsqu’on refuse toute forme d’antisémitisme,on ne fait pas entrer d’antisémites,par millions,dans un pays que l’on dirige soi-même..!
Moi la kippa ne me dérange absolument pas. Ce qui me dérange c’est la burqa, le foulard, le Hijab etc… et le manque d’élégance de certains musulmans. Le spectacle de ces femmes énormes entourées de marmaille et habillées de sacs poubelles, me consternent.
Je suis comme vous ! mais quand vous parlez de » manque d’élégance de certains musulmans » vous pensez à leurs belles robes blanches ou foncées, assorties du melon en crochet sur la toiture ? En Arabie, ils ne font pas mieux, outre la grande robe, ils se mettent sur la tête un torchon de cuisine, maintenu par un double anti-vol de bicyclette. La grande classe, quoi !… En outre ces oripeaux ne permettent pas de travailler, d’où leur assiduité à la CAF, et à la Française des jeux… Quant à leurs grosse dondons au cul d’éléphant, enceintes tous les ans, je préfère ne rien en dire et éviter la nausée…
Moi ça me répugne de voir une impactée.J ‘ ai une rage fole au fond de mon ventre quand je vois ces poufiasses voilées se promener librement dont beaucoup reflètent l ‘ arrogance de la pieuse parfaite et pure musulmane .Ils veulent nous imposer leur immonde hijab et torche c.. , de foulard mais ne supportent pas les petites croix,les kippas qui les révulsent et les poussent aux pires injures et agressions physiques. Un jour un jeune ado musulman se promenait avec une jeune fille musulmane aussi dans la rue quand ils virent un prêtre en soutane .Le garçon disait à cette jeune fille de ne pas regarder le prêtre car ça portait malheur .J’ai une immense haine et dégoût de voir ces poufiasses voilées qui ne risquent absolument rien .Je déteste l ‘ islam ,il me donne la nausée .
Dans son discours en Israel, Macron n’a pas dit quelle population était antisémite. En fait, il n’a visé personne, même pas l’extrême droite. Il serait temps que le président, soi-disant garant de l’unité de la nation, nomme le problème et y remédie. Mais le costume est trop grand pour lui, sans qu’il cherche à investir sa mission.
Le pire est qu’il va se représenter bien que ce soit un incapable.