Europol présente la nigériane Jessica Edosomwan comme une esclavagiste majeure de ce siècle
Caca-tastrophe pour Schiappa et Taubira…
Oui, sans doute auraient-elles rêvé que ce fût un homme blanc, Français de souche forcément descendant d’esclavagistes du commerce triangulaire. Pas d’bol, de une, c’est une femme, de deux, c’est une immigrée nigériane noire.
Et voilà qui périclite tout le fonds de commerce de Dame Schiappa, terrée au fond de sa boutique comme une Césarienne Birotteau pourchassée par ses créanciers.
Merdouille, pas de « féminicide » en vue et l’écriture inclusive n’a qu’à bien se tenir : même Europol l’écrit, « le crime n’a pas de genre », qu’il s’agisse des victimes comme des coupables…
Quant à Taubira, sans doute espère-t-elle que la justice finira par blanchir Jessica Edosomwan ! Car Dame Taubi n’avait pas prévu le coup en faisant voter sa loi mémorielle en 2001, loi qui déterrait un passé plus que lointain…
A moins que Dame Taubi voulût ainsi mieux faire oublier que de nos jours, l’esclavage dit « moderne » se pratique surtout entre gens de la même origine, immigrés africains, dans un cercle familial élargi dans bien des cas, ou constitue un privilège halal entre les mains de quelque princesse pétrolière argentée…
Bref, ces deux-là ont pris un sacré coup de vieux tout d’un coup : Taubi a quelques 400 ans de retard à force de regarder dans le rétroviseur, et le costume vintage de Schiappa revêtue du look de la féministe des années 1960 dans une société qui a profondément changé a pris la poussière.
Si nous sommes semble-t-il débarrassés politiquement de Dame Taubi, mais pas de ses avatars et épigones, ça sent de plus en plus la porte de sortie pour Schiappa. Laquelle se fait d’ailleurs assez discrète ces derniers temps ; peut-être cherche-t-elle à se mettre à l’abri, comme ça sent le roussi ? Son pseudo-néoféminisme commence à battre de l’aile…
https://www.ladepeche.fr/2019/10/18/qui-est-jessica-edosomwan-la-fugitive-la-plus-recherchee-de-france,8488831.php
La femme la plus recherchée en France, l’un des 18 visages des « Most wanted criminals » d’Europol, c’est elle. Jessica Edosomwan est une Nigériane mise en cause dans une affaire de traite des êtres humains et proxénétisme aggravé. Âgée de 26 ans, Jessica Edosomwan est la seule personne manquante dans cette tentaculaire affaire jugée à Lyon le mois prochain.
L’agence européenne de police criminelle lance un appel ces jours-ci pour la retrouver. En tout, 26 personnes ont été arrêtées et mises en examen dans le démantèlement d’un énorme réseau de prostitution contrôlé par un pasteur nigérian vivant à Montpellier, qui exploitait une soixantaine de femmes en France. Elles ont depuis été prises en charge par des associations.
Jessica Edosomwan était une « mama » de ce réseau, explique Jacques Croly Labourdette, patron de la brigade nationale de recherche des fugitifs (BNRF). La « mama », « s’occupait des filles » mais avait aussi pour mission de prospecter au Nigéria pour trouver de nouvelles recrues. Celles-ci étaient acheminées en France clandestinement, via la Libye.
Des prostituées soumises à un « rite vaudou »
Arrivées en France, elles se voyaient assigner une dette de 50 000 à 60 000 euros et devaient se prostituer à Lyon, Nîmes ou Montpellier dans des camionnettes. Pour assurer leur emprise, les proxénètes menaçaient les prostituées de représailles sur leurs familles au pays.
Elles étaient également soumises à un « rite vaudou », le « juju », qui était « terrible pour elles, bien plus que les menaces », selon le patron de la BNRF. Jessica Edosomwan s’occupait aussi du transfert et du blanchiment d’argent au Nigéria. En lançant cet appel à témoins via les « Most wanted » d’Europol, les enquêteurs français espèrent obtenir de nouveaux renseignements. La jeune femme pourrait en effet se trouver au Bénélux, en Italie ou en Allemagne où existent des réseaux similaires.
Une filière nigériane implantée durablement
Lors du premier coup de filet des enquêteurs de l’Office central pour la répression de la traite des êtres humains (OCRTEH) en septembre 2017, 16 premières personnes avaient été arrêtées à Lyon, au Havre, à Nîmes mais aussi au Portugal et en Italie.
Après 15 mois d’enquête, les policiers avaient estimé que l’argent récolté par le réseau, entre 100 000 et 150 000 euros par mois, repartait très rapidement vers le Nigeria. La « tête de réseau », le pasteur, possédait également plusieurs biens immobiliers à Lyon et au Nigeria, selon une source policière.
Dans son rapport annuel présenté en juillet, le service de renseignement criminel de la police nationale constatait « l’implantation durable des filières étrangères: Nigeria, Roumanie, Chine et Brésil » dans la prostitution en France.
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Pas certain que les « médias » vont en parler….
De toute façon, la vérité apodictique est que quand les Européens sont descendus sur les côtes Africaines, leur projet principal était de cartographier le monde tout en trouvant de nouvelles voies maritimes et si possible, trouver de nouveaux partenaires commerciaux. Ils n’avaient pas prévu de faire du commerce d’esclaves, d’une part leur chrétienté l’interdisait à priori ; d’autre part, leurs bateaux n’étaient pas prévus pour ce type de marchandises. Les Européens n’ont participé au commerce d’esclaves que parce que cela était la principale ressource les Africains, et que Rome, intéressé par le profit, a laissé en suspend la question de savoir si un homme noir avait une âme. D’ailleurs, très peu d’esclaves sont remontés jusqu’en Europe, celle-ci n’en avait pas besoin, l’autochtone corvéable étant tout à fait suffisant aux besoins locaux.
acheminés par la Libye, certaines ont dû passer sur le bateau de carola Rackete, cette négrière reçue par micron à l’Elysée
cela existe depuis longtemps les réseaux de prostitution de noirs exploités par des noirs leur magrélles sont des être immondes bien souvent d’anciennes victimes de ces réseaux . Avez vous entendu parler aussi des hommes zombies a la réunion un ami originaire de la bas m’avait expliquer ça il y a plus de 40 ans une drogue qui rendais les gens pratiquement a l’état de mort vivant et que l’on exploitaient a notre bon vouloir ils étaient obéissant au doigt et a l’œil de parfait esclaves tout sauf une invention des méchants blancs .
Faites savoir, concrètement, à Marlène Schiappa que vous partagez pleinement l’opinion exprimée dans cet article :
Imprimer l’article et l’envoyer par la poste à l’ADRESSE POSTALE de la m·s·inistre Schiappa que vous trouverez sur la page
https://www.gouvernement.fr/ministre/marlene-schiappa
au paragraphe « CABINET DU MINISTRE »
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Eventuellement, la dernière page étant totalement vierge, vous pouvez y rajouter un commentaire personnel si vous en avez un, ou alors vous pouvez recopier un commentaire de l’article parmi ceux qui vous semblent les plus percutants.
Voilà, participer à la résistance contre le Grand Remplacement, ça commence en investissant un timbre.
C’est sans doute une erreur !!! Ils sont tous bons et gentils ces pauvres africains, victimes des vilains blancs que nous sommes !
Les filières musulmanes d’ALBANIE à nos portes ouvertes ne sont pas en reste
Peut-être une descendante de ces marchands occultés par taubira et dont les blancs n’étaient que clients.
C’est ballot, hein !