Déguisé en gilet jaune, pauvre rappeur Ramous essaie de porter plainte contre Christine Tasin et Luc Ferry

Illustration : capture d’écran de la video, ah ! Ce doigt autoritaire de Ramous, frappant le comptoir du poste de police, pour exiger que l’on prenne ses plaintes...

Ne manquez pas la video, aussi loufoque – et scandaleuse pour son rapport aux policiers – que Ramous est ridicule et nuisible-.

En voici le lien.

Je ne la mets pas sur notre site, car le quidam a la fâcheuse habitude de faire des videos qu’il incite à partager… pour, ensuite, faire fermer les pages facebook de ceux qui ne lui plaisent pas en portant plainte auprès de youtube pour « atteinte au droit d’auteur » comme nous l’expliquions dans notre article d’hier qui a mis le pauvre rappeur hors de lui.

http://resistancerepublicaine.com/2019/01/13/que-fait-eric-drouet-avec-le-rappeur-islamo-ramous-qui-ferait-fermer-les-comptes-facebook-des-gj/

Cet article a été beaucoup vu… et son succès a dû faire étrangler de rage le dit Ramous.

Certains de ses amis, pour faire disparaître cet article, auraient-ils tenté de faire sauter notre serveur hier soir ? On peut se poser la question, après une telle coïncidence. Je n’accuse pas Ramous, évidemment, mais il a une certaine popularité et on peut supposer que nombre de hackeurs sont fans de lui et ont pu

Quant à la video…

D’abord le quidam, pauvre narcissique se croyant tous les droits parce que rappeur et parce que gagnant de l’argent, fait ce qui est interdit. Il filme des policiers, mettant ainsi en danger leur vie. J’espère que le Procureur de la République poursuivra cette incitation à la haine et à la violence. En effet, il filme même au tout début de sa video la présentation du commissariat où il se rend.

Je viens porter plainte contre Madame Christine Tassin.

Cet inculte chante en français, paraît-il, mais il ne sait toujours pas que le s entre deux voyelles se prononce z et non s…

Le policier lui explique gentiment qu’on est le week-end, qu’il y a un service minimum « police secours » mais qu’il n’y a personne dans les bureaux pour prendre sa plainte, qu’il devra revenir en semaine.

Ah! Crime de lèse-Ramous ! Comment, un simple policier n’obéit pas au doigt et à l’oeil à un rappeur connu, mais c’est inacceptable !

Et là commence un dialogue de quelques minutes montrant toute la perversité de Ramous.

Il feint de se rendre aux raisons du policier… pour immédiatement dire « bon, vous ne pouvez pas enregistrer cette plainte, mais j’ai ai une autre, vous allez pouvoir, cette fois, c’est pour incitation à la haine, c’est celle d’un monsieur que vous connaissez peut-être, Luc Ferry« .

On sent que le policier commence à prendre Ramous pour un fou, un de ces emmerdeurs pas bien clairs dans la tête que les policiers reçoivent, à leur grand dam, une bonne partie de la journée. Un de ses collègues arrive, ayant sans doute compris qu’il fallait un témoin, voire du renfort.

Luc Ferry, j’en connais un, oui.

Et un dialogue surréaliste suit, entre un Ramous qui fait la bête et un policier bien embêté qui n’a qu’une envie, de débarrasser d’un personnage pas bien net apparemment.

Le policier reste néanmoins poli  » ça va être compliqué ».

Il a pourtant déjà expliqué qu’il n’est pas là pour ça, qu’on est dimanche, que les policiers chargés de recevoir les plaintes ne sont pas là, mais Ramous s’en fout. Il veut pouvoir faire sa video du jour en claironnant qu’il a porté plainte contre  » ses ennemis ». Et le policier lui fiche la cabane en l’air en lui conseillant de faire directement un courrier au Procureur de la République qui décidera ou pas de poursuivre.

Alors Ramous est furieux, il  insiste, se répète, tourne le bâton dans tous les sens… Enquiquine clairement le policier, le pousse à bout finalement avec son « vous vous en foutez, hein, c’est ça ». Et le policier excédé d’opiner en soufflant de lassitude. » Oui, ça doit être ça« .

Je dois avouer que ce passage est jubilatoire, Ramous va mettre longtemps à s’en remettre. Et cet imbécile a filmé la scène de la porte qu’il se prend dans le nez !

et l’autre insiste « pourquoi vous voulez pas la prendre, ma plainte »

Et là, succulente réponse du policier : «  parce qu’elle me paraît un peu bizarre« …

Et le policier finit par exploser :  » vous croyez qu’on a que ça à faire, prendre des plaintes pour tous les gens qui racontent des conneries sur les réseaux sociaux ? « . Et il prend le mors aux dents, il ouvre la porte pour mettre dehors l’emmerdeur.

Succulent là encore. Ramous jeté dehors….

Il va néanmoins continuer de discuter, de contester… Le reste est à l’avenant.

Mais l’important est que Ramous, à peine sorti du commissariat, va pleurnicher, se présenter comme une victime et… déformer totalement les faits qu’il vient pourtant de montrer.

Les policiers à qui il vient de dire qu’il était avec eux, « font les malins« , et il ment comme un arracheur de dents, affirmant que le policier l’aurait envoyé promener « il m’a dit je m’en fous »dès que Ramous a ouvert la bouche. et il ose un « vous êtes tous témoins« .

Quel menteur, quel fourbe, quel as dans la victimisation !

Au passage, il traité Résistance républicaine de « media de merde, neonazi, raciste… » ( minute 6’48)… Bon, je m’en vais devoir moi aussi porter plainte !

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