Oui, les Biolabs ukrainiens existaient… Les USA les ont bombardés pour faire disparaître les preuves

Ce rappel des implications du gouvernement américain dans ces biolabs en Ukraine est important, surtout que c’est ces mêmes labos qui ont été bombardés par les Américains pour détruire les preuves

https://x.com/RWMaloneMD/status/1919401343719981420

Les 9 et 10 mars 2022, Malone.news a publié deux articles de source primaire portant sur les laboratoires biologiques ukrainiens. Ces articles apportaient des preuves directes du financement par le gouvernement américain de laboratoires de recherche biologique en Ukraine. Le premier soulevait la question de la justification d’une action militaire de la Fédération de Russie visant à détruire ces installations, en faisant une analogie avec la réaction probable de l’armée américaine si des laboratoires de recherche biologique analogues, financés par un concurrent mondial (comme la Chine), étaient découverts dans le nord du Mexique.

Après la publication de ces articles, j’ai été contacté par un officier de l’armée de l’air en activité, de grade de lieutenant-colonel, qui avait une visibilité directe sur les premiers événements du conflit ukrainien et disposait de renseignements sur ces événements. Il m’a affirmé que le bombardement et la destruction par voie aérienne de ces laboratoires, attribués par les médias américains à l’action de l’armée de l’air russe, avaient été perpétrés par l’armée de l’air américaine. Il en résulte que le gouvernement américain a activement détruit des preuves ou a agi pour empêcher les forces armées de la Fédération de Russie d’acquérir des informations et des ressources (y compris potentiellement des échantillons biologiques) auprès de ces laboratoires.

Il est indéniable qu’une campagne active de propagande de guerre psychologique a été déployée pour occulter intentionnellement les premiers événements liés à la guerre en Ukraine. Cette propagande visait à délégitimer les justifications avancées par la Fédération de Russie pour l’invasion de l’Ukraine. Tous ceux qui, dans les pays de l’OTAN, remettaient en question cette campagne de propagande étaient qualifiés d’agents russes et activement ciblés pour délégitimation et censure.

Robert F. Kennedy Jr., alors candidat démocrate à l’élection présidentielle de 2024, a évoqué l’existence de laboratoires biologiques américains en Ukraine et leur lien avec la recherche sur les armes biologiques. Il a déclaré que ces laboratoires développent des armes biologiques grâce à des techniques avancées de génie génétique comme CRISPR, inaccessibles aux générations précédentes.

Kennedy a également mentionné que les États-Unis ont fabriqué des armes biologiques dans des endroits comme Wuhan, en Chine et en Ukraine, et qu’une partie des recherches a été transférée au laboratoire de Wuhan, soupçonné d’être le point d’origine de la pandémie de COVID-19 .

Les États-Unis ont longtemps rejeté les allégations concernant les laboratoires de recherche biologique en Ukraine, les qualifiant de « propagande russe », jusqu’à ce que Victoria Nuland, haut fonctionnaire du Département d’État, confirme de manière inattendue leur existence lors d’une audition au Sénat en 2022, interrogée par le sénateur Marco Rubio. Cependant, le Pentagone persiste à affirmer que ces recherches ne sont ni illégales ni destinées à des fins militaires.

Voici le commentaire d’un scientifique impliqué dans la planification et les opérations du Département de la Défense en matière de « contre-mesures biologiques ». L’administration Trump a récemment nommé cette personne à un poste d’agent spécial du gouvernement, où elle apportera apparemment son soutien au Bureau de la préparation aux pandémies de la Maison-Blanche . Il serait également affecté à la BARDA (Biodefense Advanced Research and Development Administration). Ce commentaire a été initialement publié dans l’article de Malone.News du 10 mars 2022 intitulé « Ukraine Biolab Watchtower ».

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Dans des commentaires récents de Tulsi Gabbard, actuelle directrice du renseignement national américain, elle cite les attaques de guerre psychologique qu’elle a reçues suite au simple fait d’avoir dit les vérités vérifiables que Malone.news a documentées les 9 et 10 mars 2022. À la lumière de ces commentaires de la DNI Gabbard, il convient de revoir des sections de ces rapports antérieurs.

DNI Tulsi Gabbard (interview de Megyn Kelly)

L’importance de cette question ne tient pas seulement à ce qui s’est passé par le passé, mais aussi au fait que ces recherches sur le gain de fonction sont menées dans des laboratoires du monde entier. J’ai été attaqué, et je pense que vous avez déjà vu cela, nous en avons probablement déjà parlé dans votre émission, lorsque j’ai mis en garde contre le financement des laboratoires biologiques ukrainiens par nos soins au début de la guerre russo-ukrainienne, précisément pour cette raison. Qui sait quels types d’agents pathogènes se trouvent dans ces laboratoires ? Leur libération pourrait déclencher une nouvelle pandémie de type Covid. Et pour cela, j’ai été traité d’agent russe. Vous répétez les arguments de Poutine, toutes ces absurdités, simplement pour avoir dit la vérité et présenté des faits qui, soit dit en passant, sont toujours publiés sur le site web de l’ambassade des États-Unis en Ukraine concernant le financement de ces laboratoires biologiques en Ukraine par les États-Unis. Mais ce que je veux dire, c’est que pour éviter une nouvelle pandémie de type Covid ou un autre incident sanitaire majeur qui pourrait affecter le monde, nous devons mettre fin à ces recherches sur le gain de fonction et fournir les preuves qui démontrent précisément pourquoi et comment il est dans notre intérêt et dans celui du peuple américain d’y mettre fin.

[…]

EXCLUSIF : Des pages web supprimées montrent qu’Obama a mené une campagne pour construire un laboratoire biologique en Ukraine, manipulant des « agents pathogènes particulièrement dangereux ». <Ce lien a été supprimé de la source principale, The National Pulse, et n’est plus disponible sur Wayback Machine. Il est disponible ici, sur Def-Con News et d’autres sites de republication.>

« BREAKING : Un responsable de Biden affirme que les États-Unis travaillent avec l’Ukraine pour empêcher les installations de recherche biologique de tomber entre les mains de la Russie » <notez que Victoria Newland élude et reformule largement la question>

« L’ambassade des États-Unis supprime discrètement en ligne tous les documents relatifs aux laboratoires d’armes biologiques ukrainiens – Black-out médiatique » <Notez le commentaire : « Ces laboratoires seraient co-dirigés par l’EcoHealth Alliance du Dr Anthony Fauci. Selon certaines informations, la Russie s’emploie actuellement à sécuriser ces laboratoires et à recueillir des preuves. »>

« La Chine exhorte les États-Unis à divulguer les détails des laboratoires biologiques en Ukraine » <voici la citation clé dans celle-ci – « seuls les États-Unis ont bloqué pendant 20 ans l’élaboration du protocole de vérification de la Convention sur les armes biologiques et ont refusé d’accepter les inspections des installations biologiques à l’intérieur et à l’extérieur de leurs frontières, aggravant encore les inquiétudes de la communauté internationale, a déclaré le porte-parole. »>

« La Chine exhorte les États-Unis à révéler les détails des laboratoires biologiques soutenus par les États-Unis en Ukraine, y compris les types de virus stockés »

« Le négociateur russe affirme disposer désormais de preuves de la présence de « composants d’armes biologiques » en Ukraine, ce qui constitue une « bonne raison » d’invasion » <site web supprimé, voir la version archivée de Wayback Machine >

« QUE FONT LES AMIS DE FAUCI EN UKRAINE ? »

[…]

 

Voici donc mon « hypothèse de travail » actuelle concernant ce désordre, « en supposant les meilleures intentions du monde » :

Le Département de la Défense des États-Unis/DTRA s’est associé au gouvernement ukrainien pour (au minimum) soutenir la collecte, le stockage et la surveillance des agents biologiques infectieux et des toxines par les chercheurs en Ukraine, et il semble qu’un certain élément de formation du personnel et d’ingénierie des installations ait été impliqué dans cela.

Le Département d’État américain, par l’intermédiaire de l’ambassade en Ukraine, a annoncé cet effort DoD/DTRA de manière transparente via une page Web facilement accessible.

Si j’étais analyste pour le gouvernement russe, rémunéré pour réaliser et faciliter l’évaluation des risques, je douterais que les efforts du Département de la Défense et de la Recherche et de la Recherche (DTRA) des États-Unis se limitent à la collecte et à l’archivage d’échantillons biologiques. Je conclurais qu’il existe un risque important que ces installations soient impliquées (au minimum) dans des recherches à « double usage ». « Double usage » est un euphémisme pour « pouvoir servir à développer des capacités défensives ou à développer des capacités offensives ».

De toute évidence, que ce soit par sincérité ou à des fins de propagande (le temps nous dira s’ils fournissent la documentation et les reçus), le gouvernement russe affirme que les activités de ces laboratoires comprenaient des recherches sur les armes biologiques qui étaient coordonnées avec le DoD/DTRA américain.

Avant l’invasion de l’Ukraine, le gouvernement russe avait signalé que la présence de ces « laboratoires biologiques » financés par la DTRA dans la région était perçue comme une menace pour la sécurité nationale et la biosécurité russes. Là encore, si j’étais un analyste russe, je conclurais probablement que ces laboratoires représentent une menace pour la sécurité nationale .

D’après les informations dont je dispose, le gouvernement américain ne semble pas avoir tenté de garantir au gouvernement russe que ces laboratoires menaient des activités bénignes. Une mesure qui aurait pu apaiser les inquiétudes russes aurait été d’autoriser des inspections inopinées , comme l’exigent les États-Unis et l’OTAN dans le cas de programmes étrangers d’enrichissement ou de réacteurs nucléaires.

Selon mon opinion professionnelle, compte tenu des propos tenus par la sous-secrétaire d’État Victoria Nuland, il existe un risque important que le gouvernement russe ait obtenu des documents ou d’autres preuves attestant (au minimum) qu’un ou plusieurs de ces laboratoires détenaient des matières biologiques dont l’existence est susceptible de mettre les États-Unis en difficulté. Ces propos me semblent sous-entendre qu’il existe des matières biologiques dont l’existence pourrait nuire aux intérêts géopolitiques stratégiques et tactiques des États-Unis.

Il est probable que la « chaîne de traçabilité » ou la véracité des preuves présentées par le gouvernement russe à l’appui de ses arguments ne soit pas irréprochable, et que les médias et sources d’information occidentaux (réseaux sociaux, technologies) s’efforceront activement de délégitimer toute communication de la Russie (en tant que gouvernement) et de toute personne (russe ou non) qui présenterait ou tenterait d’en discuter. Moi y compris. Il est fort probable que la gestion de toute information concernant ce sujet soit déjà assurée à l’échelle mondiale par l’organisation Trusted News Initiative, et qu’il sera bientôt impossible d’obtenir ou de discuter d’informations « brutes » non filtrées et non traitées.

Autrement dit, à mon avis, il s’agit d’un autre sujet que nous ne parviendrons jamais à éclaircir et auquel nous ne parviendrons jamais à discerner une quelconque « vérité » objective. Le mieux que nous puissions espérer est une sorte d’approximation de la vérité, comparable à une image kalidéscope observée dans une galerie de miroirs.

[…]

Traduction google

https://www.malone.news/p/ukraine-biolabs-update

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