« Les partenaires avec lesquels j’ai fait affaire ne respectent rien, pas même leurs propres paroles ». Une phrase lâchée par le Mélenchon dans « Face à Duhamel », mardi sur BFMTV.
Il est stipulé dans le Code de Hammurabi, ce texte juridique babylonien daté d’environ 1750 av. J.-C., qu’une personne doit respecter sa parole. Sa parole n’est autre que sa propre parole. La personne n’est pas tenue de respecter la parole des autres. Elle n’en est pas responsable.
Mais, pour le Mélenchon, c’est tout à fait autre. Une personne doit respecter sa (propre) parole. C’est la moindre des choses. Mais, il faut surtout respecter la parole des autres.
On imagine un « partenaire » dire au Mélenchon : « Jean-Luc, on promet de te soutenir en 2027. Est-ce que tu peux respecter notre parole ? »
Il aurait suffi au Mélenchon de dire : Les partenaires ne respectent pas leur parole. L’ajout de « pas même » et de « propres » peuvent s’avérer être des alertes pathologiques. Comme dans une démence sénile, ce qui est « un ensemble de manifestations cliniques, autrement dit un syndrome, caractérisé par une altération pathologique des fonctions cognitives comme la mémoire, le langage, le raisonnement, l’apprentissage ou l’orientation. » (Tiré de francealzheimer.org – voir ICI)
Par cette réflexion sur les « propres paroles » de ses « partenaires », le Mélenchon prouve qu’il est un candidat sérieux à l’obtention d’un diplôme de démence sénile. En effet, il excelle dans l’« altération pathologique des fonctions cognitives comme la mémoire, le langage, le raisonnement »…
« Ces troubles cognitifs sont souvent accompagnés de troubles d’ordre émotionnel et comportemental », ajoute le site francealzheimer.org.
Justement, le comportement de notre Mélenchon vénéré « Face à Duhamel » avait quelque chose d’anormal. (Voir ICI)
Il est sûrement en train de couver quelque.
Les musulmans vont prier pour qu’Allah lui vienne en aide.
Mais certains scientifiques estiment que c’est un peu tard et que la prière ne changera rien. Le mal est très profond. La démence était déjà en cours de développement chez le Mélenchon le jour où il avait hurlé : « La république, c’est moi ».
C’était le 16 octobre 2018.
La démence du Mélenchon était déjà visible à l’œil nu.
Mais personne ne voulait la regarder en face.
Ni en parler.
Messin’Issa
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◙ Sarah Knafo : « La gauche dévie lentement vers le Mélenchonisme » | 30/04/2025
○ YOUTUBE (Chaîne Europe1 Pascal PRAUD) : https://tinyurl.com/82362zb3
► DURÉE : 21mn59s
Ca ne m’étonnerait pas du tout vu son comportement faudrait l’avis d’un médecin qui le testerait mais il ne fera pas .
Il aboie, il gueule, il gesticule, il me fait penser à un certain dictateur allemand en 40 qui affirmait que les juifs était de trop sur terre. On a dit par la suite qu’il était fou à enfermer. Le merluchon pas frais me fait penser à lui.
« un debut » vous dites ? vous etes gentil !!
Il finira baveux, tout seul, et oublié de tous. l’Histoire ne se rappelle que le nom des grands hommes, pas celui des rabougris.
ne soyez pas si sur , il pourrait finir avec ses racailles ….. au pouvoir qu ils prendront avec leurs adeptes !!
Ils s’en débarrasseront. Les électeurs de LFI, tous originaires des cités, ne tolèreront pas qu’un dhimmi leur dicte ce qu’ils ont à faire. Tous les cadres de LFI seront raccourcis. Avec les militants.
Euh … la phrase est banale, et sans erreur.
On ne peut pas avoir de maladie mentale, si on ne possède pas un organe nommé cerveau, c’est le cas de ce vieux sac en maroquin.