Il est urgent de combattre l’oikophobie !

ÉDITORIAL

C’est souvent dans les racines et la sémantique d’une langue qu’on détecte le sens profond d’un phénomène sociétal qu’on cherche à comprendre, à éclaircir et à expliquer…

C’est vrai pour notre langue française. Chacun sait que nos racines linguistiques se trouvent essentiellement dans le grec et le latin. C’est là que nous pouvons trouver voire créer des mots rares ou nouveaux susceptibles d’éclairer les temps obscurs que nous vivons, et que nous avons souvent bien du mal à comprendre…

« Phobie », tout le monde connaît. C’est l’incompréhension, la peur, le rejet, le dégoût. Or, c’est bien une phobie qui s’est abattue sur la France, une bonne partie de l’Europe, et peut-être même de l’Occident.

Comment cela a-t-il pu arriver ?

Jadis, instituteurs et professeurs, joliment nommés « Hussards de la République », enseignaient à nos aïeux l’amour de la France. Son histoire, ses coutumes, ses grands hommes, sa culture, ses penseurs, etc…

Aujourd’hui, avec les adeptes de la « déconstruction », il s’agit plutôt de mépriser la France (notamment coloniale, évidemment) et son cortège de méfaits, tout en occultant allègrement ce qu’elle fit de bien au cours de son Histoire…

Et cette déconstruction ne vise pas seulement ses propres enfants. Cette attitude est particulièrement pratiquée par l’Algérie, dont le gouvernement s’acharne à mettre sur le dos de la « France coloniale » les difficultés actuelle du pays.

Profitant des vagues d’immigration, cette haine enseignée de la France ne peut que séduire les hommes, les femmes et les enfants débarquant dans l’Hexagone, souvent plus pour des raisons économiques et sociales que pour l’envie et le projet sincères de s’y intégrer.

Ce aversion de la France touche donc TOUTES les strates de populations, autochtones comme immigrés.

Ce rejet, qui entraîne cette haine, cette colère vis-à-vis de notre « maison France », ce sentiment de se sentir mal dans son pays (a fortiori son pays d’accueil), c’est précisément l’oikophobie.

L’originalité de ce sentiment mortifère est qu’il touche une bonne partie des immigrés ET, de plus en plus, une partie de nos propres enfants. Le « melting pot » de l’éducation et de l’école, de la primaire à « Sciences Po » faisant le reste, dans un sens contraire à l’intégration.

C’est ce qui peut expliquer, au moins en partie, la délinquance juvénile, l’ensauvagement, la haine de l’autre, les violences et les attaques de plus en plus nombreuses, dans tout le pays, dans les villes comme dans les campagnes…

Avec, bien sûr, les trafics de stupéfiants en arrière plan, autre moyen de fuir la réalité et – accessoirement – en bénéficiant des bienfaits pécuniaires de ces trafics.

La solution est simple : arrêtons d’enseigner à nos enfants la haine de leur pays ; montrons leur ce qu’il a de bien, de beau, de bon, de généreux, afin qu’ils soient fiers à nouveau d’être Français…

Il en est de même des immigrés sincères qui souhaitent s’intégrer dans notre pays.
Est-ce si difficile ?

Bien sûr, tous les enseignants n’enseignent pas la haine de la France. Loin de là. Mais certains, hélas, même inconsciemment, intoxiqués par la doxa officielle, n’hésitent pas à le faire…

Tous les migrants ne sont pas des ennemis potentiels. Mais les motivations profondes de certains ne sont pas toujours sincères…

Ceux qui ont parié sur la cassure de la France, LFI, son nouveau spectacle et quelques autres se sentiront visés quand ils liront cet article. Les larmes de crocodile de Mélenchon et ses yeux embués n’y feront rien. Mais soyons vigilants.

Ceux qui cherchent par l’inculture, la haine et le mensonge à accroitre la cassure de la France pour constituer une réserve de violence, utilisent des armes redoutables qu’il convient de neutraliser au plus vite.

La conclusion est simple : pour combattre l’oikophobie qui s’est installée et qui se développe, il faut des hommes et des femmes de bon sens et de solides patriotes. Des vrais. Il sont encore nombreux, Dieu merci !

Bon sens et amour de la France.
On en revient toujours là : ce sont les qualités essentielles à l’aune desquelles nous devrons choisir nos futurs dirigeants !
Sans aucune exception !

Marc Le Stahler

28 avril 2025

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3 Commentaires

  1. JE SUIS ISSLAMOPHOBE ! JE SUIS ISSLAMOPHOBE ! JE SUIS ISSLAMOPHOBE ! JE SUIS ISSLAMOPHOBE !JE SUIS ISSLAMOPHOBE ! JE SUIS ISSLAMOPHOBE ! JE SUIS ISSLAMOPHOBE ! JE SUIS ISSLAMOPHOBE !JE SUIS ISSLAMOPHOBE ! l’alla je te merde !

  2. J’aime la France, ses terres, ses forêts, ses rivières, ses terroirs, ses vrais gens, mais pas ceux qui la dirigent avec leurs lois imbéciles et liberticides. Et pas ce que notre pays est devenu. Et rien ne pourra me les faire aimer.

  3. Rejet de la culture de son pays. C’est bien là le problème : pour les muzz, la France ne sera jamais leur pays. Donc, l’oïkophobie ne s’applique pas à eux. Il vaudrait mieux dire francophobie.