Macron fait diversion avec l’imaginaire menace russe, mais cache la sinistre réalité de la menace intérieure, bien réelle et autrement plus tragique.
Dans l’immédiat, chaque soir, une famille française apprend que son enfant ne rentrera pas à la maison. On compte 45 000 attaques au couteau annuelles.
Si les vieilles générations ont connu la France paradisiaque des Trente Glorieuses, leurs descendants vont malheureusement vivre des lendemains tragiques par la faute de leurs aînés et des politiques, de droite comme de gauche, qui ont laissé pourrir la situation, par inconscience et aveuglement pour les uns et par lâcheté pour les autres. Le drame est que le peuple français, biberonné au discours mondialiste de la diversité heureuse, n’a pas conscience de ce qui l’attend.
Qu’on l’appelle guerre civile, guerre raciale ou guerre de religions, la déflagration qui s’annonce sera sans doute un mélange de tout cela, tant la France n’est plus qu’une mosaïque de peuples qui ne partagent plus rien en commun. Comme l’annonçait Gérard Collomb, ce côte à côte entre les communautés va se transformer bientôt en face à face.
Il y a longtemps que Boualem Sansal nous a également mis en garde sur les multiples signaux annonciateurs d’une guerre civile, comme celle qui fit 200 000 morts en Algérie dans les années 1990. Qui l’a écouté ? Personne.
Et quand les généraux tirent la sonnette d’alarme, pressant les politiques d’agir pour tenter de sauver la France de la tragédie qui se profile, au mieux on les traite de factieux, au pire on les radie des cadres de la 2e section. Deux généraux viennent encore de subir cette sanction disciplinaire par un décret élyséen du 17 avril. Macron est un autocrate qui ne supporte aucune contradiction, surtout venant de hauts gradés qui disent la vérité.
Il sait très bien que cette guerre civile est inéluctable et ce n’est pas un hasard s’il a désarmé la population, interdisant de fait aux citoyens de se défendre, alors que les forces de l’ordre et l’armée, trop peu nombreuses, seront dans l’impossibilité de protéger l’ensemble de la population. Sans parler des caves des cités qui regorgent d’armes de guerre mais que le pouvoir n’ose pas vider par peur d’une insurrection.
Nul ne peut contester le fait que l’État a perdu le contrôle de la situation. Quand les cités sont interdites d’accès au forces de l’ordre et s’embrasent au moindre incident, quand des bandes de mineurs attaquent des commissariats en toute impunité, quand les malfrats mitraillent les prisons, quand les policiers et les juges sont menacés, quand les rues sont balayées par des rafales de kalachnikov, quand le peuple est victime de 3 000 agressions gratuites par jour, dont 1 000 seulement sont déclarées, ce sont bien là les signes d’une guerre civile à bas bruit, annonciateurs de tragédies sanglantes, compte tenu de la passivité d’un pouvoir aussi lâche qu’impuissant.
Mais avant d’en venir à l’analyse d’un officier parachutiste sur cette guerre que nous ne pourrons éviter, je veux dire que les principaux responsables de cette situation tragique sont les leaders de droite qui, après avoir affirmé leurs convictions nationalistes à Villepinte en 1990, les ont totalement reniées pour épouser les thèses mondialistes de l’Union européenne : ouverture des frontières, libre circulation des individus et multiculturalisme débridé. Tout le contraire de ce qu’affirmait la droite en 1990. C’est donc elle qui a trahi le peuple français. Car quand Chirac a pris le pouvoir, il était encore temps d’agir. Aujourd’hui, c’est trop tard. Plus aucun débat parlementaire n’évitera le cataclysme.
Quand on vote à gauche, on le fait en toute connaissance de cause, mais quand on vote à droite on est aussitôt trahi.
Le principal objectif des politiques depuis 1990 a été d’anesthésier le peuple, niant le tsunami migratoire et le Grand Remplacement. Or, quand on accueille plus de 500 000 immigrés par an et que les natives ne font plus que 1,5 enfant par femme, chiffre en diminution constante, alors que les femmes immigrées en font 3, voire plus chez les Africaines, nul besoin d’avoir fait Polytechnique pour comprendre que le peuple de souche est en voie de disparition.
En 2050, les 2/3 des naissances seront d’origine extra-européenne. Et en 2100, les Français de souche seront les ultimes descendants minoritaires de notre France millénaire, celle de Vercingétorix, Charlemagne, Clovis ou Louis XIV. Car en 2025, la population n’augmente plus que par l’immigration.
Et dès lors que l’intégration ne fonctionne plus, le choc civilisationnel est inévitable. Les tensions raciales et confessionnelles que le pouvoir nie par lâcheté, quand il ne les encourage pas par sa faiblesse et ses renoncements, ne feront que s’exacerber.
L’analyse de cette guerre civile est complexe et donne lieu à plusieurs hypothèses.
Je vous invite à lire le lien ci-dessus, qui décrit un des multiples scénarios envisageables.
PHASE 1 : DÉCLENCHEMENT – Émeutes à l’échelle nationale
« Les tensions raciales sont à leur comble, le sentiment anti-police également. Un contrôle de police dégénère… plusieurs villes font face à des émeutes… La situation dégénère en une émeute nationale, les centres-villes sont le théâtre d’émeutes et d’exactions, les infrastructures (bus, métro, tramway, périphériques) sont régulièrement bloquées, réduisant les flux économiques. Des groupes de civils s’organisent pour se défendre contre les émeutiers. (rappelons que Macron a désarmé les citoyens).
PHASE 2 : TRANSITION – instabilité politique
Finalement, dans notre scénario, après plusieurs semaines et de nombreux morts, face à la pression internationale, le calme revient. Mais la situation n’est plus jamais la même…
À la suite de ces émeutes, la situation politique est extrêmement compliquée, avec au moins trois camps distincts :
- le « Bloc de gauche » : représentant les minorités raciales, ceux qui veulent que les émeutes ne soient qu’un début pour abattre l’ancien système et aller encore plus loin ; ils utilisent cet argument pour demander des réformes avec un discours qui consiste à dire « vous avez vu ce dont nous sommes capables, si vous ne nous donnez pas ce que nous voulons, ça recommencera ».
- le « Bloc du Centre« , représentant le statu quo, dont la ligne politique consiste essentiellement à dire « plus jamais ça », à promouvoir encore plus la doctrine de la diversité du « vivre-ensemble », à parler du renouvellement du « contrat social », à calmer le jeu… L’objectif avoué étant d’éviter un nouveau conflit. C’est le camp de la soumission.
- le « Bloc de droite » : qui regroupe les Français les plus radicaux, qui appellent à ne pas céder aux émeutiers ou à la gauche, qui tente de récupérer et structurer les groupes d’autodéfense pour peser sur la situation.
Dans le scénario que nous avons étudié, c’est dans cette phase que se jouera l’essentiel de notre avenir. C’est là que les patriotes auront le rôle le plus crucial à jouer, d’abord pour gagner le plus d’influence au sein du bloc de droite lui-même, pour s’assurer que le récit principal est guerrier, militariste et sans concessions. Ensuite, pour s’assurer que dans le jeu politique plus large, le bloc de droite est le plus fort, le plus entreprenant, le mieux préparé.
PHASE 3 : GUERRE OU PAS ? – Trois voies possibles
À ce moment, dans cette phase de transition politique, tout est suspendu, la balle peut tomber des deux côtés. À ce moment du scénario, les avis au sein de notre groupe de travail ont divergé en 3 groupes :
- PAS DE GUERRE : Ceux qui pensent que le bloc de droite perd son influence au profit du bloc du centre et que la situation se normalise, sans conflit majeur. La France devient un pays communautaire de fait, où les Français de souche se soumettent et acceptent d’être une communauté parmi d’autres.
- SÉPARATION DE FACTO : Ceux qui pensent que le bloc de droite finira par avoir suffisamment de poids pour décider unilatéralement de son propre sort et se séparer des deux autres, au sens politique du terme. C’est-à-dire créer une organisation étatique parallèle de facto, avec ses fonds de solidarité, sa police basée sur des groupes d’autodéfense, ses institutions… La France existerait toujours en tant qu’État unitaire, mais de facto une partie de la population serait à la fois française ET membre de cette création sui generis.
- GUERRE TOTALE : Ceux qui pensent que la situation est insoluble entre les trois camps et qu’elle finira par dégénérer en guerre ouverte, au sens propre du terme, impliquant des combats militaires. L’armée est alors divisée en 3 parties : (a) une partie déserte avec son matériel vers le bloc de gauche ou vers des bandes armées des banlieues. (b) Une partie reste fidèle au bloc du centre, qui représente l’État légal et bénéficie du soutien international. (c) Une partie importante rejoint le bloc de droite et se joint aux groupes d’autodéfense civils. L’issue de cette guerre est impossible à anticiper. Mais l’aspect clé réside dans le choix que fera le bloc du centre : soit il finira par rejoindre le bloc de gauche, soit il finira par rejoindre le bloc de droite. Puisque le Bloc du Centre est celui des légalistes, le ralliement du Bloc du Centre à l’un des deux autres blocs légitimera et « légalisera » la lutte de ce bloc. »
Un scénario parmi d’autres. Pour cet officier, il faut garder espoir. Mais rappelons qu’il livrait son analyse en 2021. Qu’a fait Macron depuis ? Il a désarmé le peuple, il a ouvert deux fois plus les frontières, il a muselé l’armée.
Par conséquent, tout ne peut que s’aggraver jusqu’au jour où une étincelle fera tout exploser. Comme la grenouille qui se laisse cuire à feu doux, le peuple français se laisse bercer par les sirènes de la diversité heureuse, sans même soupçonner la menace.
Le réveil n’en sera que plus terrible.
Jacques Guillemain
216 total views, 216 views today
Excellente analyse. Pour moi je considère que la guerre civile est inéluctable. Une inconnue cependant subsiste à mon sens: quand la gauchiasserie lèche-babouches va se rendre compte que sa soumission et sa trahison ne lui vaudront aucune pitié ni aucune reconnaissance de la part des mahométans et qu’ils se feront massacrer au même titre que les autres kouffar peut être iront ils rejoindre (du moins en partie) le camp patriote par simple instinct de survie. Mais ceci est une question de timing ce sursaut du bloc de gauche dépendra du moment où la « diversité » commencera à les massacrer. Macron le dhimmi a tenté de désarmer les français, c’est vrai, mais il y a beaucoup de français lucides qui n’ont pas rendu leurs pétoires surtout dans les campagnes et si résistance il doit y avoir elle viendra des campagnes car les même bouseux que l’on veut éliminer des villes avec les ZFE seront peut être le seul espoir devant l’invasion islamique que nous subirons
=====
◙ MAIS OÙ PASSE VRAIMENT NOTRE ARGENT ? Enquête sur un immense enfumage | 26/04/2025
○ YOUTUBE (Chaîne ELUCID) : https://tinyurl.com/mv3ktkkn
► DURÉE : 33mn08
► DESCRIPTION :
– : Olivier Berruyer
– Production : François Boulo
▶ La France est l’un des pays les plus taxés au monde, et pourtant, nos services publics essentiels sont à bout de souffle. Comment expliquer ce paradoxe ? Que fait réellement l’État avec notre argent ?
→ PLAN :
00:00 – Introduction
02:25 – Idée fausse 1 : Le gaspillage
08:51 – Idée fausse 2 : On paye beaucoup et on reçoit peu
14:13 – Idée fausse 3 : Les services publics sont coûteux et mal gérés
21:42 – Idée fausse 4 : L’anomalie française des dépenses publiques
31:56 – Conclusion
VOIR AUSSI :
◙ LES CLASSES DOMINANTES À L’ASSAUT DU SYSTÈME SOCIAL : DES DÉCENNIES DE COMBAT ! – Nicolas Da Silva
○ YOUTUBE (ELUCID) : https://tinyurl.com/4ujak3n2
Et que font nos responsables-pas coupables ?
https://www.fdesouche.com/2025/04/25/gerald-darmanin-annonce-que-letat-va-rapatrier-des-djihadistes-francais-detenus-en-irak-parmi-eux-la-terroriste-djamila-boutoutaou-gravement-malade-qui-devrait-donc-etre-soignee-en-france/
À Gisors (Eure) une association musulmane s’appelle « Espoir-À-Venir » !
Tout est dit.
Elle pleurniche pour obtenir une salle de prières plus grande.
Et bien sûr son espoir devrait être exaucé….
Il n’y a pas de peuple français, à part celui des patriotes. Ce que l’on nomme peuple n’est qu’une foule asservie et trouillarde. Des dhimmis.