Ayant eu pourtant, pendant douze années, un évêque de Rome serviteur zélé de leur doxa, les islamo-gauchistes français ingrats protestent contre l’hommage rendu à François suite à la décision de mettre les drapeaux en berne dans notre pays, sur décision du gouvernement. Gouvernement à la tête duquel François Bayrou semble avoir opéré un revirement majeur par rapport à la mort de Jean-Paul II en 2005, lorsqu’il désapprouvait la même décision.
Ces islamo-gauchistes dont les ancêtres, jadis, applaudissaient à la mise en berne des drapeaux après la mort de Staline – un nom commençant par la même lettre que Satan ! – montrent ainsi à nouveau leur désir d’en finir avec notre culture et notre identité. Et c’est par la voie d’Alexis Corbière qu’ils se sont exprimés, cet idolâtre répudié de Mélenchon, ce nouveau prophète de l’islam. Corbière est ainsi monté sur ses ergots en dénonçant, avec un cynisme sans toute assumé, « une laïcité à géométrie variable », qui ne lui pose aucun problème lorsqu’il s’agit pour un élu d’aller rompre le jeûne en période de ramadan ou de céder du terrain chaque jour la religion « de paix et d’amour » ! Le même Corbière qui déplore la présence de macron aux obsèques du pape François.
« Le président Macron s’est exprimé, il a rendu hommage au pape François. Il s’agit d’être respectueux vis-à-vis des croyants en France qui sont touchés par la mort du Pape, tout ça est très bien. Mais là on parle d’un hommage officiel avec des drapeaux mis en berne. Ce n’est pas vrai que, selon les religions, l’attitude est la même. Donc cessons cette hypocrisie et donnons des règles simples. La laïcité c’est la séparation de l’Église et de l’Etat, c’est clair », a encore déclaré le Corbière, qui ne semble pas s’émouvoir outre-mesure des actes anti-chrétiens se multipliant sur notre sol, dont l’un d’eux s’est produit à l’occasions des célébrations de Pâques, avec la destruction d’une statue de la Vierge retrouvée brisée à Perthes (Ardennes) :
Mieux, imitant ses coreligionnaires de France Info qui insistent en ce moment lourdement sur les violences sexuelles à l’école – catholique mais pas trop publique, hein, faudrait pas froisser les copains gauchistes de l’enseignement public ! –, Libération, ce torche-séant ultragauchiste, nous propose un nouveau « scandale », autrement dit un établissement scolaire privé catholique de Versailles (Yvelines) qui a décidé de revenir à ses fondamentaux. Tout comme dans la Creuse, des pseudo-artistes gauchistes étaient outrés qu’un moine s’installe à l’abbaye de Prébenoît en 2022, considérant que cela constituait une « atteinte à la laïcité »… ! À quand une interdiction faite aux fidèles d’aller prier au Mont Saint-Michel pour ne pas heurter la sensibilité des visiteurs musulmans ?! Toutes choses qui ne dérangent pas Corbière et ses petits camarades islamo-compatibles.
Corbière n’est certes pas le seul à protester contre un geste somme toute naturel : rendre hommage à la mort d’un chef d’État, ce qu’était le pape François, le Vatican étant un État. Et ce, quoi que l’on puisse penser du défunt, qui était un progressiste au sens le plus déplorable du terme, notamment à travers son goût très prononcé pour les migrants – beaucoup moins les Européens et les Occidentaux en général – et l’islam, toutes choses qui devraient plaire aux islamo-gauchistes. Mais ce n’est sans doute pas assez pour ces exterminateurs.
Le communiste Pierre Ouzoulias a ainsi été encore plus loin dans l’ingratitude, écrivant un paquet d’inepties sur le défunt, sans dénoncer ses appels à plus d’immigration par contre : « Je n’ai rien dit sur les hommages rendus à un monarque de droit divin, homophobe, anti-IVG et justificateur des attentats contre Charlie Hebdo. Mais je ne resterai pas muet devant ces drapeaux en berne. Cette décision est honteuse pour notre République laïque. Honteuse. » Cet élu insignifiant de Corrèze– département saccagé par l’idéologie de ses frérots ultragauchistes – a eu ainsi son quart d’heure warholien de gloire !
C’est bien la preuve, s’il en fallait encore une, que notre pays est rongé de l’intérieur par le cancer wokiste qui voudrait effacer purement et simplement notre identité, comme en rêvaient jadis les fanatiques de la Terreur révolutionnaire, dont l’un des plus virulents artisans – le sinistre Marat, heureusement supprimé par la courageuse et malheureuse Charlotte Corday – ne cachait déjà pas sa haine du christianisme : « Toutes les religions prêtent la main au despotisme ; je n’en connais aucune toutefois qui le favorise autant que la chrétienne. » Le même Marat qui proclamait encore : « C’est par la violence que l’on doit établir la liberté. » étant entendu que la liberté, dans l’esprit des continuateurs de la Terreur, c’est la mort des « ennemis de la liberté » (Saint-Just), c’est-à-dire une liberté sous surveillance et très réduite, pour ne pas dire inexistante.
Or, depuis plus de deux siècles – depuis la Terreur, en passant par la Commune dévastatrice de 1871, jusqu’à nos jours – la liberté de ces gens-là c’est celle d’anéantir notre civilisation du haut jusqu’en bas, pour lui substituer une ère infâme où l’islam remplacerait désormais le christianisme, avec son cortège de préceptes non seulement liberticides mais encore meurtriers.
Ainsi, Alexis Corbière – dont la fille ne cache pas ses accointances islamiques, assumant de haïr les juifs et, sans le dire mais on le devine, les chrétiens – se fait le porte-voix de cette horde christianophobe raciste anti-Blancs. Par ses propos, Corbière veut-il revenir dans les bonnes grâces du pape de la discorde et la dévastation, à la tête d’un parti odieux et adversaire acharné de tout ce qui constitue la France réelle ? Sûrement.
En tout cas, cette non-affaire des drapeaux en berne pour la mort de François est l’arbre qui cache la forêt islamo-gauchiste, où il serait temps d’opérer une coupe nette pour s’en débarrasser définitivement avant de disparaître nous-mêmes…
Cyrano
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Corbières ingrat.
Sa femme une grasse.
Ces comparaisons ont pour effet de m’exaspérer, pour faire simple, aucune compromission de l’état avec quelque religion que se soit n’est tolérable. La liberté de culte n’implique pas sa représentation dans l’espace publique et l’état se doit d’être neutre par contre tout bâtiment ou oeuvre d’art, présente avant la séparation de l’église et de l’état doit faire l’objet d’un soin particulier et être maintenu en état car ils sont témoins de nôtre histoire.