Jubilatoire : de Villiers sort la sulfateuse et atomise le pape François !

Présentation sous la video :

Mort du pape François ; Philippe De Villiers sort la sulfateuse et l’atomise en direct sur Europe 1

Philippe de Villiers n’a pas attendu bien longtemps pour vider son chargeur. Invité ce matin sur Europe 1, l’ancien ministre a réagi à la mort du pape François… à sa manière : en dressant un bilan au vitriol. D’abord, il précise être dans la tristesse, “car la mort d’un pape, c’est la fin d’une époque.”

Mais très vite, il embraye sur quatre reproches majeurs, qu’il juge “lourds de conséquences.” En tant que chef d’État, Philippe de Villiers accuse le pape François d’avoir toisé la France. “Il l’a méprisée”, déclare-t-il, en rappelant deux phrases choquantes : à Strasbourg, François dit “Je suis à Strasbourg, pas en France.” Puis à Marseille, même refrain : “Je suis à Marseille, pas en France.” Pour de Villiers, c’est clair : le pape a voulu faire l’éloge d’une France multiculturelle, en reniant la France historique, la France des racines. Pire encore, il accuse le pape d’avoir vu “d’un bon œil l’islamisation de l’Europe.” Selon lui, François aurait accepté cette évolution avec bienveillance, considérant que l’Europe, “vieille fille stérile”, devait accueillir les flux migratoires sans se poser de questions. “Il a abandonné le Nord au profit du Sud”, dénonce de Villiers. Et ce n’est pas fini. En tant que chef d’Église, l’ancien ministre lui reproche d’avoir persécuté les catholiques de tradition, les fidèles des petites églises de village, des liturgies latines, du chant grégorien. Ceux que le pape a marginalisés au profit d’un discours en faveur des “périphéries” : minorités ethniques, sexuelles, culturelles, wokisme inclus. “Le pape François, c’était le pape des périphéries, le pape des minorités, le pape woke”, lâche Philippe de Villiers. Et de conclure : “Quand on néglige le noyau central, on perd tout.” Un jugement sévère, frontal, sans filtre. Et surtout, un écho à une fracture bien réelle entre Rome et une partie de la chrétienté enracinée.

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6 Commentaires

  1. Tout le monde semble avoir oublié que fervent partisan de la Vaxx contre le covid il l’a imposée très sévèrement dans son état.
    Par contre concernant la France il semble qu’il ait surtout voulu (et à juste titre) refuser de se laisser tripoter par son dictateur et ait souhaité éviter celui qui a tenu un rôle trouble dans l’incendie de la cathédrale Notre Dame

  2. « En tant que chef d’État, Philippe de Villiers accuse le pape François d’avoir toisé la France ».
    Attention à cette erreur trop courante : l’épithète détachée doit se rapporter au nom qui suit immédiatement en bon français.
    De Villiers n’a jamais été chef d’Etat contrairement au Pape François.
    Il faut donc écrire : « Philippe de Villiers accuse le pape François, en tant que chef d’Etat, d’avoir toisé la France ».
    La même faute est faite dans la phrase : « En tant que chef d’Église, l’ancien ministre lui reproche d’avoir persécuté les catholiques de tradition ».

  3. Au delà des hypocrisies de la doxa bien-pensante, des langues commencent à se délier, dénonçant un homme dur avec ses collaborateurs, et doté d’un sale caractère. Nous lui devons une grande partie de cette immigration sauvage. Il est responsable moralement des crimes et délits de ses protégés. De plus, il luttait contre la pauvreté en mettant à la charge des pays accueillant ces personnes leur entretien, en endettant encore plus l’Europe, et de facto créant ainsi une nouvelle pauvreté chez les autochtones. Il est même peut-être et sûrement responsable des guerres civiles à venir.