L’ex-eurodéputé Insoumis est soupçonné, lui aussi, d’avoir utilisé ses assistants parlementaires pour son activité politique en France.
C’est fou comme cette affaire a été bien gardée et dissimulée depuis tout ce temps.
Où l’on apprend que J.L Mélenchon est visé depuis 2017 par une enquête de l’Office européen de lutte anti-fraude…
Jean-Luc Mélenchon (alias Santerre, alors), « Santerre », ce pseudo avec lequel JLM signait ses écrits politiques est le nom de l’homme qui a conduit le Roi Louis XVI à l’échafaud.
Ainsi, Jean-Luc Mélenchon, de 1972 à 1979, sous le pseudonyme de « Santerre », participait à toutes les luttes étudiantes et ouvrières du Jura — en particulier la grève des Lip.
https://blogs.mediapart.fr/jean-marie-charron/blog/270617/jean-luc-melenchon-alias-santerre
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Le fondateur de La France insoumise (LFI) est visé depuis 2017 par une enquête de l’Office européen de lutte antifraude (Olaf). Le rapport final a été dévoilé par Libération vendredi 28 mars : il révèle les « manquements » et les « irrégularités » concernant l’activité de deux assistants parlementaires de l’Insoumis entre 2013 et 2017, ce qui aurait coûté environ 500 000 euros au Parlement européen.
Selon l’Olaf, l’attachée de presse historique de Jean-Luc Mélenchon, Juliette Prados, et son directeur de cabinet, Laurent Maffeïs, sont suspectés d’avoir omis de déclarer qu’ils travaillaient pour le compte de l’Insoumis « en tant que chef de parti politique », indique le rapport cité par Libé. Et ce, alors qu’ils étaient payés par l’institution européenne.
Ces fonctionnaires étaient d’ailleurs des assistants parlementaires accrédités (APA), c’est-à-dire qu’ils devaient travailler en exclusivité avec le Parlement européen à Bruxelles ou Strasbourg et devaient vivre à proximité. Ils résidaient pourtant à Montreuil (Seine-Saint-Denis) et à Paris, alors qu’ils percevaient l’indemnité de dépaysement par le Parlement européen, soit 16 % de leurs honoraires.
Juliette Prados et Laurent Maffeïs n’auraient également pas respecté la réglementation du Parlement européen, en communiquant via la messagerie du Parti de gauche et non pas à travers celle de Bruxelles. Les anciens collaborateurs de Jean-Luc Mélenchon assurent qu’ils ne savaient pas qui payait leurs frais de déplacement. Interrogé par l’Olaf en septembre 2020, l’ancien candidat à la présidentielle est d’ailleurs resté plutôt vague : « Si on n’a rien demandé au Parlement européen, c’est que ça a dû être payé par quelqu’un d’autre […] Je suppose que cela a été payé avec l’enveloppe « frais de mission ». » Avant d’ajouter qu’il ne serait « pas au courant des règles de mission ».
Source : https://pgibertie.wordpress.com/wp-content/uploads/2025/03/image-162.png
Entendu par la police en 2018, Jean-Luc Mélenchon ne l’a toujours pas été par la nouvelle magistrate.
Juvénal de Lyon
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ça m’étonnerait fort que le Clan des juges rouges s’attaquent à JLM.
Et si on abordait l’enrichissement personnel du côté de la hyène allemande ?
Elle a été protégée d’une enquête sur ses liens avec Bourla, et sur les juteuses rétro commissions, touchées pour les dangereux faux vaccins qu’elle a imposés à l’Europe.
juges corrompus !
Le privilège ROUGE ! Mais de quel droit les médias interrogeraient-ils JLM ? ILS EN ONT PEUR !!!