Sécurité :  la France au plus mal – il faut d’urgence rappeler les policiers qataris

L’ex-ministre de l’Intérieur, le Moussa Darmanin, en parlait dès juillet 2020 : l’ensauvagement de la France. Le Moussa ne voulait pas dénoncer les violences perpétrées par une certaine catégorie de « citoyens », mais généraliser le problème à toute la France, et donc impliquer les criminels et leurs victimes à parts égales dans cette situation.

Le terme d’ « ensauvagement » est repris quelques mois plus tard par le Macron lui-même, mais perfide comme il est l’est, il l’attribue aux « discours sur les réseaux sociaux ».

Le Retailleau, successeur de Moussa, est également revenu récemment sur cette situation  tragique de la France.

« La France connaît un véritable ensauvagement, a-t-il dit. Toutes les vingt minutes, il y a un refus d’obtempérer. Toutes les heures, une attaque avec arme. Et tous les jours, un millier d’agressions. »

« Derrière ces froides statistiques, a-t-il ajouté, il y a des corps brisés, des existences mutilées et des vies volées. L’État doit aux citoyens une juste fermeté, car s’il ne le fait pas, il se rend complice. »

Il est vrai que les violences et les crimes s’enchaînent à un rythme effrayant. On n’a même pas le temps de parler d’un crime qu’il y a déjà un nouveau. Rien ne semble pouvoir arrêter ces violences qui touchent toutes les communes de France, urbaines et rurales.

On veut punir le Français, le tuer pour s’amuser. C’est une obligation pour une certaine communauté : tuer le mécréant. Ils sont en France pour ça. Il faut interdire aux Français de s’amuser, de festoyer.

Le Retailleau a les mots qu’il faut. Il sait de quoi la population française a besoin pour retrouver la sécurité et la sérénité. Mais, il n’en a sûrement pas les moyens.

Il ne faut surtout pas compter sur lesdites « CRS » de Moussa.

Le Moussa avait lui-même fait appel aux policiers du Qatar pour sécuriser les jeux olympiques de Paris.

Que l’on se rappelle comment ils ont défilé avec leurs impressionnants blindés dans les rues de Paris à leur arrivée en France.

Et tout s’était bien passé. Pas un seul incident durant toute cette période des jeux olympiques. Le Moussa et son maître s’en enorgueillissaient. C’était grâce à eux que la sécurité avait régné, essayaient-ils de nous faire croire.

Ils n’avaient pas un seul mot pour les policiers qataris.

Et si on appelait de nouveau au secours ces unités de police du pays frère du Qatar.

L’émir du Qatar ne pourrait pas refuser ce service à son frère le petit Macron de Paris.

Mais le Macron s’en fiche de la sûreté et de la sécurité des Français.

Le Retailleau pourrait faire appel à la police du Maroc. Il vient de nouer de bonnes relations avec son homologue du royaume dit chérifien. La police marocaine sait traiter la racaille.

On pourrait faire comme l’Italie qui paie la Tunisie pour bloquer l’immigration vers son pays. C’est absurde comme contrat. Et très coûteux. Il vaut mieux faire venir en France des policiers tunisiens qui refouleront les immigrés à leur arrivée. Ils seront payés pour chaque immigré renvoyé en mer. Dix ou vingt euros par tête de pipe chassé du territoire français sont largement suffisants pour récompenser les policiers tunisiens.

Mais il y a une condition pour que le travail des polices qatarie, marocaine, tunisienne ou autre soit rentable. C’est qu’elles opèrent et agissent sous et selon les lois de leurs pays. Uniquement. Si elles sont placées sous les juridictions françaises, et connaissant la justice de notre pays, autant qu’on laisse les Français continuer à mourir tranquillement, sans intervention étrangère.

Messin’Issa

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