C’est une affaire intéressante et qui mérite, je crois, réflexion.
Salim Berrada a été condamné ce vendredi 29 mars à 18 ans de prison pour des viols infligés à des jeunes femmes, de très jolies jeunes femmes qu’il avait « chassées » sur les réseaux sociaux en se disant photographe.
Le Marocain de 38 ans avait mis au point un stratagème finalement assez grossier : il flattait l’orgueil de ses proies et le bellâtre leur proposait un verre d’alcool avec naturellement la drogue du violeur qui va avec avant la séance photo.
Il ne lui restait plus alors qu’à déguster les oies blanches en petite tenue qui se croyaient conviées à un « shooting » leur permettant de repartir avec des clichés de leur jolie plastique dénudée…
17 femmes sont ainsi tombées entre ses griffes.
Ce qui m’intéresse dans cette affaire, c’est finalement son côté banal. Certes la répétition du mode opératoire et la gravité des faits aboutissent à une lourde condamnation, tout à fait justifiée, mais on n’a pas affaire ici à un terroriste, simplement à un délinquant sexuel s’attaquant à des adultes avec un procédé simple mais efficace pour parvenir à ses fins.
La flatterie, l’exploitation de la naïveté voire de la bêtise des demoiselles qui s’avalaient le verre d’alcool en petite culotte... et qui pour certaines lui avaient même souhaité la bonne année en espérant récupérer leurs photos.
Salim Berrada écope d’une interdiction de territoire, mais s’il part en prison pour 18 années, 18 véritables années, elle ne le touchera finalement qu’en 2042. Il s’en passera des choses, entre temps.
D’abord, il sera sûrement libéré bien avant. Berrada est un violeur, un violeur intelligent, pas du style à se jeter sur une joggeuse pour l’entraîner dans un fourré et la tuer. Il n’y a pas eu de suppression de vies dans ces affaires, le loup s’est repu des oies blanches et les a laissées repartir une fois que la drogue avait cessé de produire son effet. Il a pris son plaisir sur sa proie étourdie avant de la relâcher en pleine nature.
Berrada était ensuite en France depuis 20 ans, diplômé d’une école d’ingénieur, ce très bon élève arrive du Maroc en France à 18 ans et s’y insère parfaitement :
« Débarqué de son Maroc natal, où il a grandi dans une famille modeste. À l’âge de 11 ans, sa mère qui travaillait comme couturière fait faillite, peu de temps après le décès d’un père dont il garde peu de souvenirs. Malgré les difficultés, Salim Berrada s’accroche à l’école et se révèle très bon élève. Après l’obtention d’un bac scientifique, il est reçu en classe préparatoire, promis à un brillant avenir. C’est en 2005 qu’il déménage à Bordeaux pour étudier dans une école d’ingénieur. Quand il n’est pas en classe, il donne des cours de maths afin de financer ses études et envoyer de l’argent à sa famille restée à Casablanca ».
Il se passionne pour la photographie et le cinéma, travaille comme ingénieur en CDI…
A aucun moment il n’est question d’islam, de fanatisme, de « déséquilibre » mental.
C’est un délinquant sexuel comme il en a toujours existé et ce n’est pas le pire des délinquants sexuels. Il ne s’attaquait pas à des enfants, des innocents mais à des oies blanches qu’il avait su flatter et finalement piéger, les donzelles trouvant normal de se retrouver seules à poil dans son studio. Il ne les a pas tuées ou blessées, ni menacées, en revanche il les a surprises ce qui caractérise l’intention criminelle.
Partisan de la peine de mort, je trouverais totalement barbare qu’on la lui inflige si elle existait encore. Ce serait d’une disproportion totale avec l’enjeu pénal de cette affaire.
Et partisan de l’interdiction de territoire, de la remigration aussi, je pense que ce Marocain vivait finalement comme aurait pu vivre un Français délinquant sexuel tirait parti de la naïveté « d’oies blanches » trouvées sur son chemin. Salim Berrada aurait pu s’appeler Antoine Dupont ou Georges Durand. Il est bien moins monstrueux qu’un Nordal Lelandais tuant la petite Maëlys même si sa faute pénale est indéniable.
Il n’a pas agi au nom d’une idéologie, il n’est pas un fanatique ou un déséquilibré mais un chasseur qui profitait de l’orgueil de ces jeunes femmes venues faire un « shooting » pour tirer profit de leur physique. Il les a piégées pour les consommer sexuellement mais ce n’est pas le genre d’individu à poser une bombe ou tuer le premier venu d’un coup de couteau.
Alors je m’étonne que la Cour criminelle de Paris, à l’heure où pullulent les djihadistes armés jusqu’aux dents, qu’on n’expulse pas, ait décidé une interdiction de territoire contre cet individu qui certes mérite la prison mais qui à mon sens ne devrait pas être prioritaire sur la liste de ceux qu’on aimerait renvoyer au pays très rapidement.
Finalement cette personne intelligente et bien insérée si l’on fait abstraction de ces pièges à oies blanches qu’il avait confectionnés pourrait subir une castration chimique qui, faisant cesser ses pulsions, lui permettrait à l’issue de sa peine de prison de pouvoir rester en France comme un délinquant français du même acabit. On a un remède contre ce type de délinquance, alors qu’on n’en a pas contre les fous d’Allah et leur takya, ce qui justifierait contre eux des mesures bien plus radicales.
Il pourrait ainsi reprendre sa vie d’ingénieur, continuer à envoyer de l’argent à sa famille modeste et se réinsérer.
Une castration chimique aurait été plus judicieuse à mon avis qu’une interdiction de territoire.
La remigration ne devrait concerner que les populations qui, par leur façon de vivre au quotidien, par leur dangerosité imprévisible, leur sauvagerie primaire, leur obscurantisme forcené sont des dangers publics permanents pour la survie de notre civilisation, la prospérité et la sécurité publiques.
Et cela concerne des millions d’étrangers en France, des barbares élémentaires avec 0% de chance d’arriver à un vivre ensemble satisfaisant, qui ne sont pas comparables à un délinquant ordinaire que la prison peut amender, conformément à sa vocation première, et la chimie corriger grâce aux progrès scientifiques.
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@Maxime,
Cela ressemble à une plaidoirie, la plaidoirie du défenseur de l’accusé.
Vous répétez 5 fois le terme « oie blanche », comme une accusation, assorti les autres fois de critiques acerbes concernant les victimes, les rendant responsables de ce qui leur est arrivé.
Cela voudrait dire qu’aucune jeune femme ne devrait faire de photos avec un photographe, sinon elle risque le viol ???
Mais où avez-vous vu un truc pareil ? en pays musulman ?
Et vous soutenez que puisque le criminel a fait des études d’ingénieur, il doit être absous.
Mais, là, vous êtes vraiment à côté de la plaque.
Ah ben oui, pourquoi pas, je viens de lire un commentaire que j’apprécie.
Une jolie cérémonie de castration physique en place publique, refroidirait les ardeurs de ses saloperies.
Pour une fois qu’on se décide à en virer un chez lui, vous prenez sa défense, considérant que ses crimes ne valent pas grand chose au final.
Parlez-en aux victimes, vous comprendrez.
faut arrêter de rêver avec des principes de répression DONT TOUT LE MONDE VEUT aujourd’hui qu’ils n’aient plus cours ; à la limite, ça n’est pas ceux qui tabassent, violent et tuent qui posent problème car on les voit, on les connait, on les sent à 10 m, tous leurs pays s’en débarrassent, mais uniquement la totalité de ceux qui gouvernent aujourd’hui en tant qu’ACTEURS PRINCIPAUX RENUMERES DE NOTRE GENOCIDE. sur les 150 frontiarisés aucun pays n’accepterait ce qu’on magouille pour foutre en l’air les Caucasiens.
Pourquoi chimique ?
Oui,vous avez raison. Il faut lui confisquer l’arme de ses crimes,et lui faire bouffer;comme ont fait les Russes,avec l’oreille du salopard,qui a participé à l’attentat de Moscou. Et puis,dans le même temps cela évitera toute forme de récidive de sa part.
Bonne interrogation !! Alors qu’un vieux couteau rouillé suffirait .
Tiens pourquoi mon pseudo s’est transformé en celui de Jean Neth ??
« A aucun moment il n’est question d’islam, de fanatisme, de “déséquilibre” mental. »
Là encore, on a une illustration de plus que les races différentes doivent rester chez elles, ou il NOUS arrive malheur.
La punition adaptée n’est pas de ce demander ce qu’on va lui faire chez nous, mais de le renvoyer dans son bouge d’origine.
Et de rendre nos frontières hermétiques. Comme autrefois.
Mais cela pose des dirigeants non mal-intentionnés à notre égare comme ils le sont tous.
Magali, Chloé et Marie devront continuer à se faire violer et/ou tuer par des créatures d’autres continents au nom de la religion idéologique actuelle.
Nos dirigeants ont décidé que ça n’était pas un grand sacrifice.
« Une castration chimique » non non car cet individu pervers ne la respecterait pas, une castration physique faite par un véto diplômé !!! et basta !!!! il pourrait faire un pendentif avec ses roustons !!!!
Au prix des vétos NON ! 2 briques suffisent ! faut jusque faire attention à vos doigts
Faut le pendre , saloperie d’hommes et femmes politiques qui avec la Justice enculent profondemment les Françaises et les Français , foutez nous ces juges abjects au cachot pour non respect des droits de la femme et des enfants et des hommes , pour ce violeur la peine de mort , ces enculés se croient tout permis mée de se moquer des victimes . xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx on n’entends pas la rousseau !!!! elle est en weekend de paques !!!!
merci monsieur je suis d origine kabyle et j abonde completement dans votre sens merci pour votre recit et clairvoyance bien a vous
Castration? Oui mais de la tête!
autant de prison, même plus, qu’un criminel qui lui a tué : décidemment la justice est bien « aléatoire »
L’explusion des étrangers délinquants doit être obligatoire et systématique
Pourquoi chimique.
Bonjour,
:=)
Il suffirait d’un seul castré physiquement pour que les viols tombent à quasiment 0 %.
castré physiquement sur la place publique avec comme témoins tous les enfants des écoles !!!
Sans avoir l’esprit de contradiction ami Maxime au lieu de « La castration chimique du violeur marocain Berrada eût été plus intelligente que l’interdiction de territoire » j’aurai nettement préféré, comme « traitement » rigoureusement efficace, « La guillotine du violeur marocain Berrada eût été plus intelligente que l’interdiction de territoire »
Cachou, méthode oh combien préférable! Et la plus sûre!
« A aucun moment il n’est question d’islam, de fanatisme, de “déséquilibre” mental. » Non,non. Salim travaille à son compte, chez lui à domicile, violeur certes, mais avec classe et expérience, 13 viols, la routine en somme, quant aux oies blanches, elles sont irrécupérables, que(ue) ne ferait-elles pas pour paraître dans un magasine!
Bon, c’est quand même une belle pourriture ce sac à foutre! J’admets que les jeunes filles ont leurs parts de responsabilité, mais il n’empêche pas moins que c’est bien de viols que l’on parle, alors, trouvez vous que l’on ai pas suffisamment de déchets de souche pour encore conserver les ordures qui ne sont pas les nôtres ? Décidément avec des theories aussi fumeuses, ont est pas sorti de l’auberge…
Je confirme.
Cela me semble discriminatoire, c’est comme une double peine finalement et ce n’est pas cohérent avec notre arsenal juridique hyperlaxiste. Ce n’est qu’une réflexion sur la permission d’être ou non sur le territoire français.
Et le corollaire c’est que l’interdiction de territoire ne devrait pas être systématiquement liée à un crime ou délit commis. Des étrangers non intégrés qui n’ont cependant pas commis de crime ou délit n’ont pas vocation à rester chez nous car ils ne font pas société avec nous.
Bien d’accord, ami Maxime.