L’immigration, une chance pour la France ? Mort d’un bébé gavé de force comme en Afrique !

GAVAGE TRADITIONNEL DES NOURRISSONS : Une pratique meurtrière toujours en vogue

4 ans ago | Written by

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On connaissait les viols, les mariages forcés, les assassinats de filles fréquentant un Français, les maltraitances d’enfants, les excisions, il nous manquait le gavage des enfants. J’ignorais encore son existence dans le monde jusqu’à ce matin. Et comme on manque de nounous, je crains bien que nombre de nos bébés à nous, confiés à une “nourrice ” issue d’Afrique de l’Ouest, ne subissent le même sort…
En Afrique de l’Ouest, c’est une pratique courante, paraît-il. Les gauchos me diront que c’est leurs traditions et que les traditions c’est sacré, à nous de les accepter, mais à nous de renoncer aux nôtres. Tout est normal dans ce monde de tarés.
Les mêmes qui veulent nous imposer les Africains qui gavent leurs bébés et excisent leurs filles  au nom de la tradition  nous font des cacas nerveux sur le gavage des oies. Va comprendre, Charles.
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Vous pouvez parcourir tous les comptes twitter des écolos-dingos, députés ou pas, ils se garderont bien d’évoquer ce sinistre fait divers (pauvre gosse, pauvres gosses, j’en suis malade !) des fois que ça alimente nos craintes et notre refus de l’immigration.  Sans doute qu’ils comptent la torture vécue quotidiennement par ces gosses comme des pertes inévitables comptant peu par rapport aux gains de la vie en France pour ces Africaines. Et pour les objectifs de la clique à Méluche, arriver au pouvoir avec leurs voix.
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Qui disait cyniquement à la nounou des enfants pleurant l’un de ses 7 enfants mort en bas  âge : Ne pleurez pas, on vous en fera d’autres ? La mère, la Montespan, maîtresse de Louis XIV, pour consoler la gouvernante des enfants, inconsolable, Madame de Maintenon.
L’Afrique nous renvoie au temps honni des rois, de l’ignorance, de l’absence de contraception et du Moyen Âge finissant en plein XVIIème siècle. Mais au moins, même à cette époque, en France, on ne gavait pas les enfants, on avait juste un peu de bon sens, de pitié, d’empathie. Parce que l’individu, déjà, était plus important que le groupe et le regard des autres. L’Afrique est-elle incurable ? Combien de siècles, de millénaires, va-t-il leur falloir encore pour se débarrasser de leurs coutumes tribales, insensées, superstitieuses et monstrueuses ? Et comme ils migrent chez nous, ils y apportent leurs horreurs. Merci Macron !

 

Une habitante de Mantes-la-Ville a été placée en garde à vue mardi dernier avant d’être mise en examen et placée sous contrôle judiciaire. Cette mère de famille est soupçonnée d’avoir « gavé » son fils selon une méthode traditionnelle.

C’est le genre de drame dont on ne se remet pas. Une habitante de Mantes-la-Ville a été mise en examen, et placée sous contrôle judiciaire, car les enquêteurs la soupçonnent d’avoir « gavé » son nouveau-né à outrance. L’information, révélée par Valeurs Actuelles nous a été confirmée par une source policière du département.

Le bébé de onze mois, nu dans un seau, s’est étouffé le 25 novembre dernier, alors que sa mère était en train de lui donner à manger dans la salle d’eau. Les secours n’ont malheureusement pu que constater le décès de l’enfant.

(…) Le Parisien

 

Il ne passe pas une journée sans qu’un nourrisson ne soit gavé par sa mère dans une région de l’Afrique. Au Bénin, le gavage est une pratique courante chez les mères. Il consiste à obliger le nourrisson à prendre la bouillie ou autres liquides afin de l’assouvir. Mais cette pratique ancestrale transmise de génération en génération n’est pas sans conséquences sur ces nourrissons qui parfois passent de vie à trépas.

Wahabou ISSIFOU

Le gavage est une pratique qui consiste à faire absorber à l’enfant âgé entre 3 mois et deux ans régulièrement et souvent par la force de l’eau chaude, la bouillie ou d’autres liquides. Ainsi, pour le docteur pédiatre Edwige Djagoun, il existe deux types de gavage, « il y a le gavage traditionnel, ce que nos mamans pratiquent à la maison et le gavage médical ; c’est l’alimentation des enfants malades qui ne peuvent pas s’alimenter par la bouche, mais par la sonde ».
Pour ce qui concerne le gavage traditionnel, il se fait à l’enfant en position couchée ou assise. La mère puise la tisane ou la bouillie dans le creux de sa main qu’elle colle près de la bouche de l’enfant. Pour l’obliger à ingurgiter, elle pince le nez par intermittence. Le gavage est souvent pratiqué selon Sylvia mère pratiquante du cette méthode traditionnelle, lorsque l’enfant n’a pas la capacité de se nourrir lui-même ou lorsqu’il n’a pas d’appétit. « Je fais coucher mon enfant sur mes jambes pour lui donner la tisane parce qu’il est encore petit et ne peut pas la prendre lui-même. C’est ce que nos parents ont toujours fait pour nourrir leurs enfants. Ils l’ont fait à toutes mes sœurs ». Sakinatou Soulé va renchérir. Elle pense que c’est la meilleure manière de nourrir son enfant afin qu’il garde sa forme avec la bonne croissance de ses organes. Mais comme dans toute pratique, il y a le revers de la médaille.

De la vie à la mort

Dans la pratique du gavage, il survient parfois des fausses routes. Pendant que la mère oblige son nourrisson à prendre l’aliment, l’enfant se débat, pousse des cris rejetant à chaque fois une bonne quantité du liquide sur son corps et la main de sa mère. Le gavage ne dure que quelques minutes et quand c’est fini, l’enfant est soulagé. « C’est pour son bien et c’est sans violence. Elle doit manger pour prendre des forces et bien grandir », va tenter d’expliquer Raïssa Alassane. Mais pendant ce temps, c’est le contraire chez d’autres femmes qui exagèrent dans leurs actions créant ainsi des dommages chez leurs enfants. « Le gavage traditionnel est une très mauvaise pratique qu’il faut bannir, parce qu’au cours des gavages, l’enfant peut inhaler la bouillie ; c’est-à-dire que la bouillie peut passer de travers et aller vers les poumons, inonder parfois même les poumons. Et cela entraine comme conséquence, l’arrêt des échanges gazeux. Donc il n’y aura plus d’échange d’oxygène et de Co2 au niveau des poumons…c’est la mort qui s’en suit si les conditions de réanimation ne sont pas immédiates », va marteler la doctoresse pédiatre Edwige Djagoun. Un avis que semble partagé Philomène Zinsou qui a déjà été victime de cette pratique qui a emporté son enfant. « C’est vraiment dangereux cette chose. Tellement ça va vite qu’il est difficile d’éviter le pire. Ma fille est partie sans que je ne sache. Puisqu’elle refuse de prendre la bouillie simplement avec la cuillère, j’ai essayé de la forcer en lui fermant les narines, mais quand j’ai relâché mes doigts, c’est la bouillie qui est sortie de ses narines et elle a commencé par grimacer dans mes bras…je ne savais plus quoi faire. En appelant le secours dans la maison, je lui ai versé de l’eau sur la tête, mais cela n’a rien fait… », a-t-elle expliqué les larmes aux yeux en jurant de ne plus jamais conseiller un proche à pratiquer le gavage.

Quelle alternative alors ?

« C’est une pratique qu’il faut décourager avec la dernière rigueur. On a déjà vu beaucoup d’enfants mourir à cause de ça. Même dans mon centre, dans la clinique pédiatrique de Parakou, il y a beaucoup de décès qu’on enregistre parce que les parents ont gardé leur enfant à la maison. Et on ne fait que constater le décès à la maison », a indiqué la pédiatre Edwige Djagoun Challa en précisant qu’il y a beaucoup d’autres astuces pour faire manger un enfant que de faire recours au gavage, car « la faim ne tue pas un enfant, mais le gavage peut tuer ». L’idéal est donc de faire recours aux spécialistes dès qu’un nourrisson a un problème pour s’alimenter.

https://daabaaru.bj/gavage-traditionnel-des-nourrissons-une-pratique-meurtriere-toujours-en-vogue/#:~:text=Au%20Bénin%2C%20le%20gavage%20est,passent%20de%20vie%20à%20trépas

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9 Commentaires

  1. Qu’ils le fassent entre eux,on s’en fout;mais qu’ils ne viennent pas chez nous.

  2. J’ai relevé 2 commentaires imbéciles mais personne n’est parfait. En Afrique, le nombre de décès dus à la malnutrition est bien plus élevé que le nombre de décès dus au gavage. Vouloir gaver son enfant pour ne pas le perdre et le perdre en le forçant à ingurgiter est hallucinant. Nos tribunaux vont bientôt être débordés par des crimes de cet ordre avec l’augmentation de l’immigration africaine et auront du mal à juger des siècles de traditions qui ne sont pas les nôtres. Comment un juge va pouvoir juger l’acte d’une mère qui a voulu nourrir son enfant et qui l’a tué?C’est un acte intentionnel. Faire le mal en voulant faire le bien. En conclusion chacun chez soi sinon on va sombrer très très bas. Quand est-ce que l’occident va le comprendre ? L’immigration est un nid d’emmerdes. Accueillir des exilés c’est humain (humaniste?) Accueillir les emmerdes c’est criminel.

  3. “Quelle alternative alors ?” Celle de toujours : les sauvages restent chez eux ou y retournent de force. Pas sous ce régime génocidaire qui veut nous faire croire qu’il est sacré bien sûr. Alternative für Frankreich !

  4. Je ne comprends pas, même avec les conseils des anciens on sait prendre du recul et choisir ce qui semble convenir, pas question de suivre “à la lettre”.

    Terrible… Aucun recul.

    Il y a peut-être aussi des actes “manqués” car il faut reconnaitre que se limiter à n’être qu’une poule pondeuse sans autre avenir si ce n’est pas choisit, doit causer des dommages.

    En Afrique, même si procréer est une manière de vivre (refus de la contraception selon des médecins et infirmières africains dénoncé dans un reportage, villages entiers ayant le sida, enfants et adultes selon un témoignage), ce n’est pas certain que toutes les femmes le souhaitent, même en France malgré les allocations familiales (justement, source financière donc pressions possibles dans ce sens et pas le choix).

    Il y a vraiment trop d’écart avec ces cultures.

  5. Le gavage: quelle lecture pénible. Comment est-ce possible d’être aussi insensés?

  6. On en découvre tous les jours sur leurs coutumes, facons de vivre avec toutes les horreurs qui vont avec ,comment vivre ensemble avec des gens comme ça on est trop différents, il faut arrêter d’en importer chez nous ,et les ong à la noix si ils veulent les aider qu’ils aillent les aider dans leurs pays ,ce qui était le cas d’ailleurs avant.

  7. Concrètement, ça en fait juste un de moins.
    Plus que 1 milliard d’ici à 2050 ans.

  8. si encore elles mangeaient l enfant……

    quel gaspillage de chair tendre, du bébé de lait au bbq…mmmm

Les commentaires sont fermés.