849 milliards de dépenses de protection sociale. Cette somme astronomique place la France à la première place en Europe, en matière de protection sociale. Elle est d’ailleurs installée durablement en haut de ce podium. Cela représente 32,2% du PIB soit 849 milliards d’euros de prestations sociales. Les dépenses de santé représentent à elles seules 10% du PIB, également les plus élevées en Europe et ceci alors que l’hôpital ne marche plus, au point qu’il faille organiser des souscriptions pour payer un scanner.
A noter que le système des retraites représente également une part importante des dépenses publiques en France. Un peu plus de 20% et depuis 2018, cette part tend à diminuer et là encore, le processus est installé puisque depuis deux années environ, nous enregistrons une surmortalité, chez les retraités, mais également dans toutes les catégories d’âges.
Les comptes de la protection sociale comprennent : santé, vieillesse, emploi, famille, logement, invalidité et pauvreté-exclusion et cela représente en moyenne 12500 €, de prestations par habitant. En ajoutant les emplois divers, les frais financiers et non financiers, l’ensemble du système atteint 900 milliards €, soit 5% au-dessus de la moyenne européenne. La France se situe en tête des dépenses, ou parmi les pays qui dépensent le plus en part de PIB : maladie : 10% du PIB en France contre 8,1% en moyenne dans l’UE à 27. Retraites, 14,2% du PIB contre une moyenne européenne de 12,5%. Emploi : 1,8% en France contre 1,2% en moyenne, mais 1% en Allemagne. Logement, 0,6% en France, contre 0,3 en Europe. Pauvreté-exclusion : 1,2% en France, contre 0,7% du PIB en moyenne en Europe. Il faut se souvenir que dans le même temps, où nous sommes champions de la dépense sociale, le PIB par habitant a reculé et nous sommes passés de la sixième à la vingt-quatrième place. Et il n’est pas tout à fait juste de mettre les retraites dans les prestations sociales, puisque les salariés ont cotisé pour la retraite, ce n’est donc que de l’argent qu’on leur rend et pas une largesse de l’Etat.
Autant dire que le système de protection sociale nous coûte un bras et se traduit par des impôts et taxes qui représentent 30% des ressources de la protection sociale, en particulier la CSG (141 milliards €) et la TVA (57 milliards €). Evidemment en hausse constante, dans un contexte de déficits publics en explosion. La France protège donc au-dessus de ses moyens, mais en plus, elle protège mal et le système représente un appel d’air impensable pour les étrangers qui viennent en profiter, ils s’en vantent même, largement, sur les différents réseaux sociaux, ne se cachant même plus de venir dans ce but. La réalité est que malgré l’explosion des dépenses de santé, en particulier, celle de l’Aide médicale aux étrangers, il devient très difficile de se faire soigner en province et qu’un migrant arrivant dans une grande métropole, se fait soigner plus sûrement que de nombreux nationaux qui renoncent à des soins, faute d’argent.
Il en va également de la fraude aux allocations, impossible à chiffrer, mais qui oscillerait entre 15 et 50 milliards. Même si on est dans la fourchette basse, la somme vaut quand même qu’on se penche sur ce problème. Le profil majoritaire des fraudeurs fait qu’il est très politiquement incorrect de faire quoi que ce soit. Egalement, des retraites versées en Algérie à des gens de plus de 100 ans, voire carrément inconnus au bataillon. Une enquête récente, réalisée sur un échantillonnage de 1000 personnes, montrait que des pensionnés pouvaient avoir jusqu’à 115 ans et beaucoup étaient introuvables, concluant à une fraude massive. Plus communément, des identités multiples, des enfants déclarés mais ne vivant pas sur le sol français, des cartes Vitale frauduleuses, la gabegie est totale et il n’y a aucune volonté réelle de s’y attaquer.
Au RPF, nous avons proposé de plafonner les allocations familiales à trois enfants, de supprimer corps et bien toute forme d’aide aux étrangers : on vient en France à ses frais et on avance l’argent des soins, ce n’est jamais que le régime majoritaire dans la plupart des pays du monde. On s’attaque bien entendu à la fraude massive et on conditionne l’octroi des retraites au temps travaillé sur notre sol. On en arrive, pour les retraites, comme pour la santé, à ce qu’un étranger n’ayant jamais travaillé, touche des minimas à peine moins élevés que des petites retraites à l’issue de quarante annuités de travail. Pensé comme égalitaire et généreux, le modèle social a été, comme beaucoup d’autres spécificités françaises, totalement perverti et en arrive à être injuste, inégalitaire et surtout inique, dans le sens où on s’occupe désormais plus et mieux des nouveaux arrivants, que des nationaux cotisants. Il va falloir un retour aux fondamentaux et un système dans lequel le travail doit payer largement plus que l’oisiveté.
https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com
Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
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Les aides sociales devrait être réservées aux Français de souche (européenne).moi ça ne me dérange pas de travailler et de cotiser pour mes compatriotes dans le besoin . Par contre les alcooliques,les repris de justice,les cassos … Non, même si ils sont Français ! Par contre on a tous connus des bohème rêveur et artistes (je ne parle pas des bobos) des gars comme Michel blanc dans: viens chez moi j’habite chez une copine 😂 des gens loufoque mais gentils, si ils ne veulent pas bosser bien a eux et je les comprend .je fais des journées qui varient entre 9 et 12 h00 , en pleine saison je tourne entre 210h et 185h par mois , plus les collègues de travail parfois pénibles et j’avoue que parfois je comprend ceux qui ne veulent plus travailler. Personnellement je suis pour le droit a la paresse. Chacun fait ce qu’il veut de sa vie du moment qu’il ne nui a personne . A bon entendeur
« Personnellement je suis pour le droit a la paresse »
Peut-être mais pas avec l’argent des autres.
C’est une honte de trouver normal de se faire entretenir au détriment de ses compatriotes, parce qu’il s’agit bien de cela si l’on s’intéresse au terrain (les gens ne savent pas tout, je pense que certains français qui triment en deviendraient fous).
Cela crée les taxes aussi sur salaires (donc une baisse et la pauvreté pour certains qui doibent out payer), CSG et compagnie, donc a un impact important sur l’Economie, car les caisses doivent être alimentées.
Que ceux qui ne veulent pas travailler et participer à la société en en profitant (sauf si on a un patrimoine qui le permet, c’est la vie), retournent chez papa et maman, c’est là leur place d’immature.
L’assistanat tue l’individu ainsi que le désir général de travailler (et là, on finit par avoir raison).
Nos dirigeants devraient y réfléchir, la clé de l’essor possible est peut-être aussi là.
Tellement vrai, depuis le temps que je le dénonce.
Les migrants évidents avec des soins gratuits honteux mais pas que. Bien des profiteurs bien Français aussi avec plusieurs générations sans travailler, permis par le cumul des aides.
Il y a nécessité de mettre tout à plat, et supprimer des allocations qui n’ont pas lieu d’être comme l’allocation de rentrée scolaire (distribution des fournitures dans les écoles comme avant, et revente des livres une année sur l’autre). Et bien d’autres… On connait les effets du « tonneau des Danaïdes » avec un puits sans fond, ici des « demandes » sans fond entretenues pas l’assistanat.
Examiner aussi cette notion de « nationalité » accordée à des gens qui ne sont que des Français de papier, et bien d’autres choses encore…
Bref, arrêter avec la perversité du système qui ne réfléchit plus qu’à travers la corde sensible sans réfléchir ni contextualiser les raisonnables et juste besoins (la société n’a pas à tout assumer), ceci dans un esprit de justice.
Si rien ne change c’est que rien n’est fait, ils s’en foutent et pendant ce temps on cotise même sur les retraites pour des fainéants qui profitent .
Ceux qui arrivent par bateaux entiers sont largement responsables de cette gabegie et surtout ceux qui les introduisent et encore deux qui n’ont pas le courage de réformer ce système.