Djihadistes hors d’état de nuire au Cachemire : des idées pour la France ?

Les élégantes de la gauche caviar raffolent des pulls et des robes en poils de chèvres de l’Himalaya. Un matériau communément appelé cachemire. Comme sa région de provenance. Ça fait plus chic. Les chèvres ordinaires, on laisse ça aux mahométans. Qui reluquent le Kasmir indien. Et viennent de se prendre une belle baffe.

Provocations, agressions, répression, solidarité de l’oumma et Grand remplacement

Depuis le sixième siècle de notre ère, le Kashmir était un état princier du Nord-Ouest de l’Inde, gouverné par un rajah. Ses habitants étaient de paisibles agriculteurs, éleveurs, artisans, commerçants. De culture sanskrite et de religion hindoue shivaïste, vivant en bonne intelligence avec les bouddhistes. Et puis au XIVe siècle, les mahométans ont envahi leur pays et ce fut le début d’une grande pagaille qui dure encore.

Le pleutre Gandhi avait marchandé la paix en offrant une partie de l’Inde aux mahométans. Ces fanatiques ont exigé ensuite beaucoup plus. Profitant du manque de discernement des Anglais qui avaient interdit au rajah d’avoir une armée. Ne voyant pas qui étaient leurs vrais ennemis.

À peine la partition entérinée par la crapuleuse communauté internationale toujours du côté des islamistes (Chypre, les Rohingyas, les Ouïgours, Gaza, etc) la première guerre indo-pakistanaise éclata en 1947. Les deux pays réclamaient le rattachement du Kashmir. Les uns pour des raisons historiques. Les autres en vertu du droit de conquête. Le seul que l’islam reconnaît avec la charia.

Alors que les deux populations s’équilibraient à peu près, les Pakistanais avaient profité de l’afflux des mahométans chassés de l’Inde pour installer d’autorité au Kashmir des cohortes de guenilleux dont ils ne voulaient pas chez eux. Comme au même moment, à 3 700 km de là, les États arabes créaient des abcès de fixation avec les « Palestiniens ».

Pour faire monter la mayonnaise, le gouvernement d’Islamabad envoya des bandes armées afin de renforcer la foi des tièdes et éliminer les récalcitrants… Aujourd’hui encore, des Kashmiri de tradition coranique mais éduqués à l’occidentale, préfèrent cohabiter avec les Indiens plutôt que de subir la théocratie obtuse de leurs coreligionnaires.

Le référendum prévu par les Indiens devenait problématique après le remplacement de population

D’escarmouches en embuscades et d’attentats en massacres, le 1er janvier 1949, à la demande de l’ONU, l’Inde accepta un cessez-le-feu. Forcée de prendre en compte les réalités de terrain au Kashmir, et sous la menace de la cinquième colonne islamique qui a essaimé à travers toute l’Inde et s’y est incrustée. Assurant la logistique des terroristes.

Le Cachemire fut alors morcelé : le Jammu-et-Cachemire au Sud qui restait membre de la fédération indienne, associé au Ladakh dans son prolongement Est. Et deux autres régions, l’Azad Jammu-et-Cachemire avec les territoires du Nord abandonnés au Pakistan. Et l’Aksaï, un territoire contesté au Nord-Est, réclamé par la Chine et annexé en 1962.

Bien entendu, ce partage ne suffit pas à calmer les visées dominatrices des mahométans, et une vraie-fausse paix s’instaura, entrecoupée de combats sporadiques et d’incidents de frontière. Couvrant trafics de drogue et d’armes, pillages et rackets. Avec cinq guerres de plus, la deuxième en 1965. Puis la troisième en 1971. La quatrième de 1999. La cinquième en 2001-2002. Et enfin la sixième de 2019.

Risque de guerre nucléaire entre l’Inde et le Pakistan ?

Chaque fois, les mahométans ont pris la raclée. Mais jamais ils n’ont renoncé. Ponctuant leurs revendications d’attentats et de massacres de civils, tous plus abominables les uns que les autres… Et depuis qu’ils disposent de l’arme atomique, les «purs» (c’est ainsi qu’ils se désignent) multiplient les provocations et les menaces. Or on sait depuis 1400 ans que ces exaltés ne reculent devant rien quand l’occasion se présente.

Après 40 ans d’insurrections, Narendra Modi reprend la main

Le territoire qu’on a cédé aux islamistes ne leur suffit pas, et une insurrection séparatiste déstabilise le Cachemire indien depuis les années 1980. L’Inde a tout essayé. Les négociations diplomatiques. Le commerce. Les projets économiques en commun. Tout a foiré du fait de la mauvaise foi de leurs voisins. Qui niaient soutenir les terroristes même quand toutes les preuves les désignaient. Takiya, takiya…

En 2019, le gouvernement de New Delhi a décidé de mettre fin au statut de semi-autonomie et d’administrer directement la région de « Jammu-et-Cachemire » où sévit une importante communauté musulmane. Cette fois bien encadrée par des militaires et des policiers spécialement formés à cette tâche, avec l’aide de la population hindouiste.

Cette mesure figurait au programme du parti nationaliste Bharatiya Janata (BJP) qui a remporté toutes les élections depuis plus de 20 ans. D’abord en 2001 au Gujarat, un des États les plus prospères de l’Union Indienne. Puis à partir de 2014 avec Modi comme Premier ministre de l’Inde, réélu en 2019 et bien placé pour 2024. Chaque mosquée passée au bulldozer lui apporte des milliers d’électeurs supplémentaires.

Le baptême du feu contre les factieux

En 2002, Modi venait juste d’être élu Premier ministre du Gujarat quand des femmes et des enfants furent massacrés par des terroristes dans un train de pèlerins. Les Hindous arrêtèrent les assassins. En réponse, des émeutes d’une sauvagerie inouïe éclatèrent, faisant plus de 2 000 morts. Les Hindous qui ne tueraient pas une vache durent, à contrecœur, éliminer les mahométans les plus nuisibles. Si les islamistes ont voulu tester Modi et voir s’il accordait ses actes à ses discours, ils ont été servis.

L’Occident outré n’a pas retenu que Modi, né en 1950, avait dirigé des groupes paramilitaires entre 1975 et 1985. Vivant dans une semi-clandestinité parce que des moujahidines qui bénéficiaient de la complaisance du gouvernement d’alors avaient mis sa tête à prix. Cela vous forge le caractère… Comme pour Poutine qui a été agent secret de terrain. Ces mecs sont d’une autre trempe que nos énarques efféminés.

Finalement, la Cour suprême de l’Inde a avalisé la décision du Premier ministre d’éteindre le foyer d’insurrection du Kashmir actif depuis des décennies, en reprenant la main. Manu militari. La haute juridiction a en outre ordonné la tenue d’élections dans le Jammu-et-Cachemire l’an prochain, estimant que celui-ci devrait être traité comme n’importe quel autre État du Bharat (Fédération Indienne)

Quand on veut calmer les fanatiques, on peut. Mais il faut s’en donner les moyens

La révocation de l’autonomie limitée du Cachemire s’est accompagnée de la reprise du pouvoir direct par New Delhi. Et comme cela a fait des mécontents chez les adorateurs du pédo-prophète, on les a calmés « à la mode chinoise ». Avec des arrestations, des internements, des expulsions, un bouclage total des frontières, la loi martiale et une coupure des communications physiques et virtuelles qui a duré des mois.

En même temps, l’Inde a déployé ses forces de police dans la région, en maillant le terrain pour stopper toute velléité d’émeute. Quant à l’armée, plus d’un demi-million d’hommes en permanence, elle a pour ordre de tirer d’abord et de discuter ensuite avec les terroristes. En toute hypothèse, les résultats sont là. Alors qu’avant, on comptait chaque année les morts civils par milliers, il n’y a eu que 120 personnes assassinées en 2023. 120 de trop, mais c’est un bon début.

Ces décisions ont été contestées par des politiciens collabos et leurs avocats. Mais pas par les muftis ni les mollahs qui savent faire profil bas en pareilles circonstances. Puisque « Allah est toujours du côté du plus fort. »

La politique musclée de Narendra Modi a été critiquée par la crapuleuse communauté internationale (la même qui soutient le Hezbollah et le Hamas) mais elle a été célébrée dans toute l’Inde comme une fête de la Victoire. L’insurrection qui avait fait des dizaines de milliers de morts pendant des décennies était jugulée… Afin de maintenir le calme, les autorités quadrillent le territoire avec des soldats, renforcés de groupes paramilitaires et de commandos de choc, pour contrecarrer toute nouvelle tentative de révolution islamique.

Comme en France, mais tout est inversé

Les autorités indiennes contrôlent les prêcheurs hostiles et les médias islamisés, et entravent les manifestations violentes des mahométans. En cas d’échauffourée, les juges condamnent les coraniques sans leur chercher d’excuses. Les hindouistes sont chez eux et ils ont le droit de se défendre.

Des Indiens naguère chassés des zones de non-droit du Kashmir y sont revenus pour récupérer leurs terres et leurs maisons, créer des commerces ou occuper des emplois gouvernementaux. Quant aux mosquées, fermées au culte, on en garde quelques unes comme monuments historiques. Les touristes en font spontanément des vespasiennes. Les autres sont démolies. Les islamistes et leurs relais internationaux qui ne manquent pas d’air ont dénoncé un « colonialisme de peuplement ». C’est ainsi que les envahisseurs appellent la Reconquête !

Christian Navis

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11 Commentaires

  1. Un article qui réjouit le coeur et l’esprit.
    Démolir les mosquées, c’est par là qu’il faut commencer.
    Cela entraine leur exode, après leur révolte qui sera matée sévèrement.
    Ceux qui restent ne sont plus venimeux.
    Sans décision ferme de se défendre, on est submergé et islamisé.

  2. les hindous ont entre 100 millions ou 400 millions de raisons d’être sans pitié – Ce serait le nombre des morts de la conquête islamique. Nombres relayés par les chroniqueurs musulmans, tellement avides de morts d’infidèles, de pillages et de mises en esclavage Si cela pouvait inspirer les abrutis de bobos de chez nous. L’inde a failli disparaitre comme civilisation, c’est un exemple à méditer

  3. Putains de dégénérés du bulbe ces muzz ,et dire que la grande partie des politico-crétins de la communauté internationale sont des fiottes devant les adorateurs de momo le pédo criminel , ils sont à annihilés comme l’islamerde !

  4. -“Le pleutre Gandhi avait marchandé la paix en offrant une partie de l’Inde aux mahométans. Ces fanatiques ont exigé ensuite beaucoup plus. Profitant du manque de discernement des Anglais qui avaient interdit au rajah d’avoir une armée. Ne voyant pas qui étaient leurs vrais ennemis.”-

    Un peu ce qui nous arrive aussi par rapport aux yankees et, aujourd’hui, par rapport aux immigrés conquérants qui nus arrivent par millions.

    • Que fallait il faire ? Qu’il y ait une sorte d’abcès de fixation avec un état artificiel “pakistanais” plutôt que l’islam soit répandu dans toute l’Inde ?

    • Pour les Anglais, je ne parlerais pas de manque de discernement.
      Les British ont une grande admiration pour l’islam.
      Voir Laurence d’Arabie, ou le roi Charles actuellement.

  5. Transformer les mosquées en pissotières, idée que je défends depuis des années. Un pays sympathique.

    • En faire des porcheries aussi. Je ne sais pas si les hindous aiment le porc mais cette idée devrait faire son chemin en France.

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