Parvenons, en France, à ne plus considérer l’islam comme une religion : il ne le mérite pas

En quoi devrions-nous, en France, considérer l’islam comme une religion ?

Définition du mot ‘’religion’’ :

1. Reconnaissance par l’être humain d’un principe supérieur de qui dépend sa destinée ; attitude intellectuelle et morale qui en résulte.
2. Croyance, conviction religieuse de quelqu’un
3. Système de croyances et de pratiques propre à un groupe social

 En France, les Français n’ont pas inventé Allah. Notre destinée de Français ne dépend pas de ce ‘’principe supérieur’’ inventé par les Arabes au 7ème siècle pour leurs besoins religieux particuliers qu’ils voulurent différents du judaïsme et du christianisme ambiants en Arabie. Notre attitude intellectuelle et morale de Français ne résulte pas de l’islam, mais des influences gréco-latines et du christianisme, lui-même issu du judaïsme contre lequel il s’est forgé et dont il a utilisé quelques méthodes intellectuelles et quelques textes (l’Ancien Testament de la Bible).

Que les immigrés de culture musulmane arrivés en France où ils ont créé depuis une quarantaine d’années des communautés islamiques veuillent continuer à considérer Allah comme le ‘’principe supérieur’’ duquel leur destinée dépend, cela ne gêne personne tant que cette croyance demeure dans la sphère privée ou modestement visible dans le domaine public. Et, de toute façon, tant qu’elle n’entre pas en contradiction avec nos lois, nos traditions et nos mœurs françaises traditionnelles.

La réaction des Français est républicaine dans un premier temps : nous faisons savoir notre désaccord, d’abord oralement puis par écrit. Ainsi, à Résistance Républicaine, nous écrivons notre profond désaccord avec la surface déjà trop importante prise sur notre territoire national par l’islam comme organisation de conquête. Nous refusons à cet islam le droit de s’imposer comme religion officielle de notre pays et d’y imposer ses lois, son impérialisme, ses propensions à la razzia et au vol sous toutes ses formes comme moyen de financement de cette organisation étrangère.

Or, les djihadistes en action en France ont mis fin eux-mêmes, de leur propre initiative, considérant leurs seuls intérêts islamiques, à la longue période de patience que nous avons acceptée. Ils ont saboté, dès 2015, les tentatives de ‘’vivre ensemble’’, de ‘’touche pas à mon pote’’, d’œcuménisme, car l’islam ne peut exister que dans l’offensive. Dès que les musulmans en djihad sentent qu’ils sont privés de conditions d’offensive, ils savent que l’islam périclite dans leur environnement. Ils reprennent donc l’offensive, toujours et partout.

Cette attitude offensive prise par des musulmans en France n’est pas une nouveauté : elle est décrite dans les livres fondateurs de l’islam et présentée aux musulmans comme étant pour eux un devoir, sous le nom de ‘’djihad’’.

Les djihadistes, ou guerriers de l’islam, n’ont évidemment pas leur place en France. D’où notre droit de leur contester le nom de ‘’religieux’’ et de contester le nom de ‘’religion’’ à l’organisation dont ils se réclament : l’islam.

La présence, en France, de plus de 12 millions de musulmans modifie le regard que les responsables politiques de notre pays ont sur l’islam.

Certains, à la gauche, misent sur le vote musulman pour tenter de continuer à exister politiquement.

D’autres, au gouvernement et à la tête de l’Etat, sont dépassés et redoutent un soulèvement d’une partie importante de cette culture implantée récemment et redoutent une guerre intérieure, dite culturelle : contre les razzias et les actes d’ensauvagement de la France, la réaction des Français qui, n’ayant pas été écoutés dans leur refus de voir l’islam s’installer comme dans un pays conquis, se préparent à passer à la seconde étape dans leur devoir de se défendre.

L’islam de conquête n’est manifestement pas le bienvenu chez la grande majorité des Français, tous les sondages d’opinions l’attestent, les uns après les autres. La colère monte.

Malgré le choix des Français, pourtant connu et exprimé, les politiques ne prennent pas les décisions nécessaires et continuent à considérer l’islam comme une religion comme les autres et misent sur un tassement qui se ferait avec le temps. C’est nier le devoir de djihad, de conquête, consubstantiel à l’islam même. Jamais l’islam ne s’assimilera puisque son but est d’assimiler à l’islam les populations qu’il a infestées de sa présence.

Mais le pire, pour les Français s’opposant avec leurs mots à l’extension de l’islam, ce sont les décisions de justice. La Justice, en France, a pris le parti de considérer l’islam comme une religion comme les autres et de condamner quiconque ne le reconnaît pas ainsi. Censures, obligation à l’autocensure et condamnations judiciaires bâillonnent le droit d’expression des Français depuis plusieurs dizaines d’années.

               Cette injustice flagrante, cette attaque judiciaire contre notre liberté d’expression, contribuent  à jeter de l’huile sur le feu et à exacerber le désaccord des patriotes avec les institutions judiciaires ; mais,  là encore, la pression monte et il faudra bien que les Français soient écoutés pour de bon et que la Justice en France se mette au service de la France et des Français.

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Nous encourageons tous les Français patriotes à manifester leur désaccord avec l’extension de l’islam en France,  tant que cet islam n’aura pas modifié le contenu illégal chez nous en France de ses textes fondateurs. Ceux-ci appellent à la guerre, à la haine, à la violence, au racisme et à l’antisémitisme, tous appels contraires à nos lois. Les textes de l’islam appellent à la razzia et au djihad, en contravention totale avec nos lois, nos mœurs, nos traditions, nos intérêts nationaux. Opposons-nous à ce que soient encore transmis et diffusés en France ces messages musulmans ignobles et illégaux :

« Allah est notre objectif, le prophète Mahomet est notre chef, le coran est notre constitution. »

« Nous devons exterminer tous les ennemis de l’islam pour étendre l’islam au monde entier. »

Donc, non à cet islam en France !

Opposons-nous à toute nouvelle construction de mosquée en France. C’est un impératif de base, un préalable à toute négociation.

Et continuons à nous opposer à nos ennemis (la décision de se présenter délibérément comme ennemis des Français appartient à nombre de musulmans : ils sont en guerre offensive, nous ne faisons que nous défendre) en contestant la qualité de religion à l’islam parvenu en France. Ailleurs, cela ne nous concerne pas. Mais, en France, cela nous concerne au plus haut point : l’islam tel qu’il est n’a rien d’une religion (sauf le camouflage), mais tout d’une armée en conquête, sous des aspects de religion.

Nous relayons l’article de Patrick Jardin paru dernièrement sur Riposte Laïque et intitulé « Je suis fier d’être avec Eric Zemmour, pour qui l’islam est incompatible avec la République ».

Dans cet article, Patrick Jardin a raison d’affirmer : « l’islam est tout sauf une religion. C’est tout simplement une secte mortifère qui obéit au coran, ce texte appelant à tuer les kouffars et à les soumettre. »

https://ripostelaique.com/je-suis-fier-detre-avec-eric-zemmour-pour-qui-lislam-est-incompatible-avec-la-france.html

Nous recopions également ces passages écrits par Mathieu Guidère dans son ouvrage ‘’La Guerre des islamismes’’ (Gallimard 2017) et qu’il nous faut sans cesse faire remonter aux responsables politiques et aux instances judiciaires jusqu’à ce qu’ils comprennent la réalité de la situation en France et redonnent la priorité aux intérêts de la France et des Français sur ceux de l’islam en conquête.

« L’islam vit une guerre permanente qui oppose essentiellement des groupes musulmans chi’ites et des groupes musulmans sunnites. Mais il existe également une lutte interne à l’islam sunnite, majoritaire dans le monde, entre les sunnites de la tendance frériste (Frères et Sœurs musulmans) et les sunnites de la tendance salafiste (les wahhabites). Cette lutte interne à l’islam est soutenue par des pays qui ont pour religion d’Etat l’une ou l’autre de ces tendances, qui se dit comme étant dans ‘’le vrai’’, face aux autres, accusés d’être des ‘’déviants’’ ou des ‘’hérétiques’’. Ainsi, le croyant ordinaire, loin d’être un docteur en théologie, perçoit sa religion comme un marqueur culturel d’us et coutumes ancestraux et transmis par la famille et le lignage, souvent en contradiction avec l’identité que l’Etat (du pays d’accueil) cherche à lui imposer. »

Nous n’avons pas à nous immiscer dans ces querelles de cours de mosquées, mais nous en faisons les frais malgré nous en France. Car les diverses factions rivalisent d’ardeurs et de propagande pour s’imposer face aux autres et pour augmenter le nombre de leurs adeptes, tous guerriers de l’islam, tous soumis au devoir de razzia et de djihad.

Le même auteur continue : « Il ne s’agit pas juste d’une dispute entre les partisans d’Ali (les chi’ites) et les sunnites (qui s’auto-proclament les tenants de la tradition prophétique). Le sunnisme et le chi’isme d’aujourd’hui sont, en réalité, des modèles politiques, bien plus que des croyances religieuses. »

N’est-ce pas clair ? Dit autrement : l’islam d’aujourd’hui est, en réalité, davantage un modèle politique, bien plus qu’une croyance religieuse. Un système politique plus qu’une religion.

Ce que nous endurons aujourd’hui en France à cause de l’islam, s’est déjà réalisé au Moyen-Orient. Mathieu Guidère nous le décrit dans ce même ouvrage : «Cette guerre séculaire a mué en conflit géopolitique pour l’hégémonie au Moyen-Orient et pour la prééminence d’un modèle étatique : ‘’République islamique’’ ou bien ‘’Califat islamique’’ ».  « Cela se traduit par une véritable guerre interne à l’islam, menée au nom de Dieu et au cri de ralliement d’Allahu Akbar ! Allah est le plus grand ! » Et nous en faisons, bien malgré nous, les frais, dans cette extension de l’islam en Europe et en France tout particulièrement.

Pourquoi donc accepterions-nous l’implantation en France de ces politiques expansionnistes de l’islam, de ces choix de vie opposées aux nôtres, de ces méthodes et croyances archaïques opposées à nos valeurs ? Cessons de considérer l’islam en France comme une religion, et acceptons de le prendre au sérieux pour ce qu’il est : un système politique, un ensemble de lois archaïques et de choix de vie à l’arabe, avec juste un habillage de rites faisant penser à une ancienne religion orientale. Cet habillage et ces rites ne constituent pas une religion ! Les armes des guerriers de l’islam sont cachées dessous.

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