La dictature européiste, la dictature macronienne, la dictature des dhimmis anglais qui mettent dehors le seul bon et excellent ministre de l’Intérieur qu’ils avaient, les Espagnols qui manifestent devant le coup d’Etat de Sanchez…
Non, aujourd’hui vous. n’aurez pas de nouvelles de la liberté. Il n’est question, partout, que de manipulations, mensonges, et dictatures.
En Angleterre, ils (elle, le Premier Ministre) ont réussi à virer l’excellente Suella Braverman, Ministre de l’Intérieur, que nous avions comparée lors de sa nomination à Zemmour et Philippot. Elle avait critiqué vertement la coupable complaisance de la police (qui dure depuis des années) une marche propalestinienne, et ne ratait pas une occasion de fustiger les arrivées de migrants, parlant d’invasion et affirmant que si les sans-abris dormaient sous des tentes, c’était conforme à leur mode de vie choisi… Il n’y a que la vérité qui blesse. Il ne faut surtout pas dire la vérité en ces temps. de wokisme et de dhimmitude. Circulez, belle Suella, il n’y a plus rien à voir !
Pendant ce temps, Sanchez qui a décidé de se maintenir au pouvoir envers et contre tous est allé jusqu’en Ecosse proposer au dirigeant de l’indépendantiste catalan l’annulation de toutes les condamnations des putchistes catalans contre leur soutien, ce qui permet à Sanchez d’avoir la majorité absolue… Quel va en être le prix pour les Espagnols et l’Espagne ?
Les Espagnols sont dans la rue…
Mais Sanchez n’en a cure. Il sera intronisé jeudi. Du moins il le veut et le dit. Le reste dépend des Espagnols encore un peu, non ?
En Espagne, la loi d’amnistie du Premier ministre Pedro Sanchez crispe tout un pays
Pedro Sanchez doit être reconduit au poste de Premier ministre cette semaine grâce à une alliance avec les indépendantistes catalans.
ESPAGNE – Un tour de force politique vécu comme une trahison par une bonne partie des opposants au socialiste Pedro Sanchez. Alors que des millions de manifestants se sont réunis dans les rues des plus grandes villes d’Espagne pays dimanche 12 novembre pour s’opposer à un projet de loi concédé par le chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez, la colère ne redescend pas, en particulier chez les conservateurs.
Et pour cause. Arrivé deuxième des élections législatives du 23 juillet 2023, le Premier ministre a accordé plusieurs concessions aux partis indépendantistes catalans pour former une majorité lors du vote de confiance prévu ce jeudi 16 novembre au Parlement. Et parmi elles, faire adopter une loi permettant aux indépendantistes catalans de disposer d’une amnistie après la grave crise politique qui avait frappé l’Espagne en 2017.
Tentative de sécession avortée en 2017
A l’époque, le référendum sur l’autodétermination de la Catalogne avait engendré l’une des pires crises politiques du pays, de nombreuses scènes de violence et avait fini par provoquer la fuite à Bruxelles de plusieurs dirigeants catalans. Dont l’ancien président du gouvernement local et eurodéputé Carles Puigdemont.
C’est donc à Bruxelles que Pedro Sanchez a posé ses valises le 9 novembre pour négocier un accord avec les indépendantistes exilés, convaincu d’apporter leur soutien à l’actuel Premier ministre en échange de ce projet de loi qui leur permettrait de réintégrer l’Espagne sans risque de poursuites judiciaires pour leur implication dans l’organisation du référendum.
Bien aidé par le soutien des indépendantistes catalans (sans oublier les nationalistes basques), Pedro Sanchez s’est donc assuré un nouveau mandat à la tête du pays. Désormais, il compte 179 sièges sur les 176 indispensables pour obtenir une majorité absolue.
Mais cet accord provoque une crispation inédite, d’autant plus que l’accord passé entre Sanchez et la formation politique de Puigdemont comprend également l’ouverture de négociations sur la question de la « reconnaissance de la Catalogne comme nation ». Sans oublier l’annulation d’une dette de 15 milliards d’euros contractée par la Catalogne auprès de l’État après la crise financière de 2008.
Majorité absolue, mais pour combien de temps ?
Face à cet accord, l’opposition de droite et d’extrême droite est furieuse. Le Parti Populaire (PP), principale formation de l’opposition de droite, était d’ailleurs à l’initiative des rassemblements observés dimanche dans 52 villes d’Espagne.
« Nous ne nous tairons pas jusqu’à ce qu’il y ait de nouvelles élections », a averti le chef du PP, Alberto Núñez Feijóo, lors de son discours à Madrid, assurant que cette mobilisation « va bien au-delà » de son parti. Mais comme réponse, Pedro Sanchez s’est contenté d’inviter le PP à « accepter le résultat des urnes et la légitimité du gouvernement que nous allons bientôt former ».
Et si le parti d’extrême droite Vox s’est également joint aux manifestations du PP dimanche, il s’est surtout illustré en organisant plusieurs rassemblements devant les différents sièges du parti politique de Pedro Sanchez. Rassemblements qui ont provoqué des incidents entre militants du parti d’extrême droite et forces de l’ordre tout au long de la semaine dernière.
« Nous avons le devoir de résister à un gouvernement et à un tyran qui va obtenir son investiture grâce à tous les ennemis de l’Espagne », a lâché le leader de Vox, Santiago Abascal, lors de l’une des manifestations organisées devant le siège du Parti socialiste à Madrid.
De nouveaux appels à la mobilisation sont en outre déjà prévus dans les prochains jours pour dénoncer la future loi d’amnistie, considérée par beaucoup comme contraire aux principes d’égalité et de séparation des pouvoirs en Espagne.
Une polarisation extrême de la vie politique espagnole semble donc se dessiner pour les mois à venir. Elle se couple d’ailleurs d’inquiétudes sur la stabilité de l’excécutif, Carles Puigdemont étant connu pour s’être longtemps opposé au gouvernement de gauche et pour s’afficher comme le leader catalan le plus indépendantiste. Ce qui ne colle pas vraiment avec la nature de sa nouvelle alliance politique.
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Et la France qui se couche devant le Maroc, on en parle ?
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Il finira mal, ce Pedro Sanchez (qui, en passant, est un agent de George Soros); le karma s’occupera de lui bien comme il faut, le moment venu. En tout cas, s’il continue dans cette voie, il finira par réhabiliter Franco auprès de l’opinion publique.
Oooh ! Le pif de Sanchez à la Pinocchio.
Que c’est bien vu et bien exprimé.
On ne le voit pas, maiiiis Macron a le même.
Mais je crois que Macron veille à son image et que c’est pour cela qu’on lui fait des retouches images pour le rendre invisible, ce nez. Par contre, ses dents de requin, ou plutôt de Piranha, il ne peut pas les cacher ; sûr de sa force et de son pouvoir, il a le sourire « gips ! »
Suella Braverman qui est une indienne était une très bonne ministre de l’intérieur qui faisait de la lutte contre l’immigration de masse sa priorité ainsi que le respect de l’ordre en Angleterre, Kiki Sunak le Tandoori et Dhimmi qui dirige l’Angleterre la limoger parce qu’elle a Osée critiquer la complicité des policiers britannique à l’encontre des Islamo Gauchistes Rosbeef et des MUZZ qui soutiennent la Palestine et la répression injustifiée à l’égard des patriotes Anglais qui brandissent le drapeau de l’Union Jack. Me Braverman va rebondir, en Espagne c’est le bordel absolu avec l’islamo Gauchiste Pedro Sanchez qui veut renforcer son pouvoir malgré la percé de Vox le parti populiste du pays en violent les principes de démocratie avec une alliance contre nature avec le Che Guevara Catalan Carles Puigdemont qui avait tenté de renverser le pouvoir Espagnol du temps de Mariano Rajoy avec les velléités d’indépendance de la Catalogne. C’est la guerre civile Espagnole qui va bientôt recommencer grâce à Sanchez !