Les goinfres qui vampirisent les palestiniens

Le groupe terroriste, responsable du massacre antisémite du 7 octobre de plus de 1 400 civils et bébés innocents dans le sud d’Israël, détient toujours 240 otages à Gaza.

Les dirigeants ont été vus dans leur club diplomatique, photographiés à bord de jets privés et ont beaucoup voyagé. Ils auraient été présents lors de la Coupe du monde de football de 2022.

En revanche, la plupart des plus de deux millions d’habitants de la bande de Gaza, que le Hamas dirige depuis 2007, vivent dans une pauvreté abjecte.

Ismail Haniyeh pèse plus de 4 milliards de dollars

M. Haniyeh, 61 ans, chef du bureau politique du Hamas, a été Premier ministre de toute l’Autorité Palestinienne à la suite des élections de 2006, mais il a été démis de ses fonctions un an plus tard.

Il a continué à diriger la bande de Gaza jusqu’en 2017 avant de se retrouver au Qatar.

Haniyeh, père de 13 enfants  (!!!) et président de l’un des groupes terroristes les plus riches du monde, vaut plus de 4 milliards de dollars.

Il a été photographié avec ses deux fils adultes, Maaz et Abdel Salam, menant la grande vie dans des hôtels de luxe au Qatar et en Turquie, selon un récent message sur les réseaux sociaux de l’ambassade d’Israël aux États-Unis.

La semaine dernière, Haniyeh s’est rendu en Iran pour rencontrer le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei. L’Iran est un sponsor de longue date du Hamas.

Le mois dernier, l’hôtel Four Seasons de Doha a déclaré qu’il n’était pas l’un de ses clients, à la suite des appels lancés à Bill Gates, qui détient une participation majoritaire dans la chaîne, pour qu’il le mette à la porte. L’hôtel n’a pas précisé s’il y avait déjà séjourné. Parmi ses offres haut de gamme, on trouve des suites avec vue sur la mer à partir de 900 dollars la nuit.

Maaz Haniyeh, « roi de l’immobilier » de Gaza

Le fils du chef du Hamas, Maaz Haniyeh, est connu comme le « roi de l’immobilier » à Gaza pour sa collection de villas et d’immeubles.

Il mène une vie de playboy en Turquie et a obtenu cette année un passeport turc, selon Israel HaYom. Certains rapports affirment qu’Haniyeh père possède également la nationalité turque.

Khaled Mashal, 4 milliards de dollars

Le chef du Hamas, Khaled Mashal, est un passionné de tennis de table. Le milliardaire mène une vie de luxe au Qatar, mais aussi en Turquie. Mashal, 67 ans, qui a proféré une menace mondiale contre les Juifs après les atrocités du 7 octobre, vaut plus de 4 milliards de dollars, selon le gouvernement israélien.

Comme les autres chefs milliardaires de l’organisation terroriste, il vit dans de luxueuses villas et hôtels au Qatar et en Turquie.

Abu Marzuk, 72 ans, haut responsable politique du Hamas – 3 milliards de dollars

Abu Marzuk, 72 ans, haut responsable politique du Hamas qui dirige son « bureau des relations internationales », est estimé par le gouvernement israélien à 3 milliards de dollars.

Il est titulaire d’une maîtrise en gestion de la construction de l’université d’État du Colorado et a été détenu à New York lorsque les services d’immigration américains ont trouvé son nom sur une liste de surveillance terroriste en 1995.

La présence des dirigeants du Hamas au Qatar a longtemps été justifiée par l’émirat comme faisant partie de son soutien à la transformation du groupe terroriste en « une puissance dirigeante responsable », selon un rapport de la Foundation for the Defense of Democracies (Fondation pour la défense des démocraties).

Le pays fournit au Hamas entre 120 et 480 millions de dollars par an, selon le rapport d’octobre de l’organisation à but non lucratif basée à Washington, qui étudie la politique étrangère.

« Ces fonds profitent aux dirigeants du Hamas directement par le biais de salaires et de pots-de-vin et indirectement par le biais de services sociaux et d’opérations gouvernementales qui aident le Hamas à maintenir son contrôle politique sur Gaza », indique le rapport.

Le Qatar abrite également la chaîne d’information Al Jazeera qui, selon le rapport, « diffuse l’antisémitisme, l’antiaméricanisme et l’incitation à la violence dans tout le monde arabe ».

« Le Qatar est le Hamas et le Hamas est le Qatar », a déclaré Yigal Carmon, président de l’Institut de recherche sur les médias du Moyen-Orient, basé à Washington DC, dans une interview accordée au quotidien israélien The Jerusalem Post.

Les démarches pour forcer l’action du Qatar sur le Hamas s’intensifient maintenant à Washington

Le projet de loi du député Ogles priverait le Qatar de son statut spécial dans le peloton de tête des alliés américains non membres de l’OTAN, aux côtés d’Israël, de Taïwan, de la Corée du Sud, de l’Australie et du Japon.

M. Ogles a déclaré mardi au Post :

« Alors que les terroristes du Hamas continuent de dévaster la vie de civils israéliens innocents, les États-Unis doivent s’assurer qu’aucun allié ne les soutient. Malheureusement, l’État du Qatar continue de financer et de soutenir le Hamas, dont les dirigeants bénéficient d’un refuge politique à Doha. »

Le pays bénéficie d’un statut spécial depuis l’année dernière, mais l’initiative de M. Ogles l’obligerait à subordonner ce statut au retrait du Hamas.

En plus d’accueillir le Hamas, le Qatar est également l’une des bases militaires les plus importantes des États-Unis au Moyen-Orient. Elle abrite la base avancée du Commandement central américain au Moyen-Orient, la gigantesque base aérienne d’Al Udeid, qui est elle-même essentielle aux opérations de l’armée de l’air dans le Golfe.

Le Qatar n’est pas la seule source d’argent du Hamas

Le groupe a également reçu près de 400 millions de dollars au cours des deux dernières années de la part des Nations unies (ONU), qui ne reconnaissent pas le Hamas comme une organisation terroriste.

L’Office de secours et de travaux des Nations unies a fourni au Hamas 380 millions de dollars depuis 2021, selon le FDD. Une grande partie de cet argent provient de l’administration Biden, qui a fourni 1 milliard de dollars à l’UNRWA depuis 2021.

« Étant donné que l’UNRWA insiste depuis longtemps sur le fait qu’il n’a pas de contrôle politique sur son aide, et que le Hamas est considéré comme un parti politique, nous savons avec une quasi-certitude que l’argent de nos contribuables a été remis entre les mains du Hamas », a déclaré le FDD, ajoutant que l’administration Trump a mis fin aux contributions américaines à l’UNRWA en raison de la connexion avec le Hamas.

Traduit d’un article de Benjamin Weinthal publié dans le New York Post.

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