« Le Figaro » consacre une série d’été intéressante à l’histoire du film de Coppola, « le Parrain ».
https://www.lefigaro.fr/cinema/le-parrain-le-chef-d-oeuvre-qui-a-fait-trembler-la-mafia-20230731
J’en extrais l’histoire qui suit.
« Le Parrain » est à l’origine, on le sait, un roman de Mario Puzo qui traite de la mafia italo-américaine et de ses crimes.
En 1970, l’idée d’en faire un film prend corps.
C’est là qu’intervient un Américain, d’origine italienne, Joe Colombo.
Ce dernier part en campagne contre ce film en devenir qui porterait atteinte, selon lui, à l’honneur des Italo-Américains.
Pour cela, il a fondé une ligue, la « Ligue des droits civils des Italo-Américains », sur le modèle des ligues afro-américaines, pour lutter, selon lui, contre le racisme anti-italien aux Etats-Unis.
Mais Colombo, en fait de « lutte antiraciste », mène un combat visant à nier l’existence même de la mafia, « invention, selon Colombo, », je cite l’article du « Figaro », « des élites de Washington pour empêcher les Italo-Américains de réussir ».
La réalité, et tout le monde le sait, c’est que Joe Colombo est lui-même un important chef mafieux, responsable de nombreux meurtres.
Colombo tempête et menace pour empêcher la sortie du film.
Pour sauver le film, Hollywood négocie avec Colombo:
-Le mot « mafia » n’apparaîtra pas dans le film.
-Le mot « Cosa nostra » n’apparaîtra pas, non plus.
-La Paramount versera une partie des recettes à la ligue mafieuse de Colombo.
-Le producteur devra accepter une conférence de Presse avec Colombo
« Capitulation en rase campagne » (sic) devant l’antiraciste mafieux.
Colombo assistera à tous les tournages et des mafieux de son clan seront embauchés comme acteurs.
Colombo est assassiné, peu après, en 1972, par un mafieux rival.
Fin de l’histoire.
L
Cette histoire devrait nous alerter, sur ce qui est bien souvent, la véritable nature de l’antiracisme.
Une histoire de mafieux, qui utilisent l’arme absolue de l’antiracisme pour nier le réel et faire progresser des objectifs criminels.
Nous avons maints exemples de ce type, dans la France actuelle : tout le monde en a en tête.
Héritiers de Jérusalem, Athènes et Rome, nous croyons, en France, à l’égale dignité des êtres humains.
Ce qui ne veut pas dire que nous devons céder, comme les producteurs hollywoodiens, aux injonctions des antiracistes, gauchistes et autres islamos qui poursuivent, comme Joe Colombo, des objectifs proprement mafieux, pour ne pas dire franchement totalitaires.
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Le racisme Anti Italien existe mais le mafieux Italo Américain Joe Colombo se sert de ce prétexte pour faire du chantage à Coppola, Marlon Brando et cie de ne pas dénoncer la mafia Italo Américaine représenter par la Cosa Nostra Sicilienne, la Camora Napolitaine, la Ndranghetta Calabraise, la Mafia Piémontaise,des Pouilles et consorts qui pratiquent des activités criminelles de peur de flinguer le réalisateur, le producteur du Parrain et les membres de la Paramount. Cet épisode montre que les Antiracistes façon Black Lives Matter,les Féministes Fanatiques hystériques d’extrême gauche, les Islamo Gauchistes et les Salafistes font des injonctions victimaires aux producteurs de cinéma pour imposer la diversité dans des films qui ne demandent pas de diversité mais de respect d’un contexte historique donner et de condamné ceux qui osent dénoncer les mensonges de l’antiracisme et de la folie Islamique qui s’empare de la France et de l’Europe. Les maîtres chanteurs réunis !
Ha tiens, j’aurai appris quelque chose aujourd’hui.
Je suis peut-être complotiste mais je me demande si l’Etat profond américain (CIA, complexe militaro-industriel…), à majorité démocrate (et par conséquence, les gouvernements occidentaux), n’est pas tenu finalement par la mafia. Ce qui expliquerait l’élection de gouvernants aussi incongrus que Biden, Macron, Zelenski…