Réfutation de la prétendue supériorité de l’islam

 

L’islam, cette monstruosité, se présente comme étant l’aboutissement de l’humanité et sa perfection.

En affirmant sur les dépliants diffusés à grande échelle dans le monde et dans leurs prédications : « Jésus, prophète de l’islam » (phrase concise, économe en mots, définitive), les théologiens et missionnaires actuels de l’islam envoient trois messages, tant aux musulmans ravis qu’aux non-musulmans priés de les croire et de se convertir à l’islam :

  • Jésus, qui est tellement connu dans le monde, n’est en réalité qu’une ébauche mal dégrossie du vrai et dernier prophète envoyé à l’humanité par Dieu : Muhammad.
  • Le message du christianisme, dont les textes fondateurs sont les 4 évangiles et les écrits de St-Paul, n’est qu’une ébauche mal dégrossie et imparfaite du message final (« la Révélation finale ») qu’est le coran.
  • Le christianisme, qui a pourtant fait évoluer l’humanité vers son humanisme occidental actuel, n’est en réalité qu’une ébauche mal dégrossie et imparfaite de l’islam qui « est La solution », qui impose une loi parfaite car divine, la sharia. L’islam est la perfection, comme le coran est un livre sacré parfait et que Muhammad est le dernier et seul vrai prophète.

En attendant que nos amis théologiens, intellectuels et penseurs chrétiens et juifs se signalent sur le site de ‘’Résistance Républicaine’’ en réfutant avec vigueur et talent l’assertion musulmane « Jésus, prophète de l’islam », j’amorce la pompe en proposant dès aujourd’hui mon antithèse.

D’abord, il y a sept siècles d’écart entre l’écriture des textes fondateurs du christianisme (les quatre évangiles et les épîtres de Paul ; l’évangile de Marc, le plus ancien des quatre, a été écrit vers 60, et Paul a été décapité à Rome en 67) et l’écriture du coran (début du 8 ème siècle jusqu’à son milieu, après les conquêtes arabes qui y apparaissent en filigrane). Sept siècles, c’est conséquent ! L’empire romain s’était christianisé et était devenu en Orient l’empire byzantin, capitale Constantinople. La civilisation prenait le pas sur les âges obscurs. Or le coran prend le contre-pied de cette avancée et l’islam fait faire un bond de mille ans en arrière à ses ”guerriers de l’islam”.

On sait maintenant quand et par qui le coran a été écrit. Non pas, comme la vulgate musulmane le prétend mensongèrement, écrit à l’époque suivant immédiatement la mort de Muhammad, celui-ci écoutant l’ange Gabriel et transmettant de suite à ses secrétaires les 86 sourates mecquoises puis les 28 sourates médinoises, sur 33 ans de « révélation » divine, mais bien plus tard ! Le pauvre Bédouin, prédicateur à ses heures  à La Mecque, n’imaginait pas recevoir après sa mort le surnom de « Digne de Louanges (‘Muhammad’’) ni être désigné comme prophète : il se contentait d’admonester ses amis et voisins juifs pour qu’ils vivent davantage en juifs obéissant aux injonctions bibliques des grands prophètes ; et demandait également à ses voisins et amis chrétiens, de vivre davantage en chrétiens obéissant aux messages du prophète Isa (Jésus) annonçant le Jugement dernier et les sanctions aux déviants. En se prenant au jeu, ce prédicateur obsédé par l’imminence de la fin du Monde et du Jugement Dernier, s’identifiait à un rabbin illettré et avait créé une sorte de secte judaïsante, basée sur le respect du ‘’Namus’’ (les lois de Moïse).

Le changement de nature de cette organisation qui était à l’origine une secte religieuse, et qui finit très rapidement, dès le 7 ème siècle, par être une armée anarchique, aux attaques et  victoires non préparées, imprévues et spectaculaires, tout en attribuant cela au Dieu des Arabes, Allah, eut lieu  vraisemblablement peu avant la mort de Muhammad. Lorsque les Bédouins de Médine et de La Mecque s’en prirent aux tribus juives amies et voisines, les anéantirent et ciblèrent alors Jérusalem dont ils s’emparèrent en 638. Puis ce fut la folie des conquêtes pour le plaisir du pillage, de la razzia, des aventures gagnantes de Bédouins sans autre loi que celle du plus fort.

Après 50 ans de ravages, de destructions et d’imposition de leur force armée dans toutes les directions, les armées arabes furent obligées de se structurer, d’accepter une hiérarchie et une politique : c’est le début de l’écriture du coran et de sa loi, la sharia. Cette écriture faite par des scribes sous l’autorité du chef militaire se disant ‘’successeur du prophète’’, de façon à imposer une autorité d’origine divine, dura jusqu’à la fin du 8 ème siècle : de nombreuses allusions à des combats et événements de cette époque tardive, que les épigraphes d’aujourd’hui décèlent dans le coran, correspondent à des événements datés précisément par les historiens, archéologues et pétrographes.

Les auteurs du coran connaissaient de façon remarquable les textes bibliques et évangéliques, dont ils font des citations à chaque page, ce qui indique que les destinataires de ce livre, les Bédouins ou Arabes des armées arabo-islamiques, possédaient eux aussi la même connaissance du judaïsme et du christianisme. Cela s’explique par le fait que l’empire byzantin, chrétien, s’était établi avec les mêmes limites que celles de l’ancien empire romain. Aussi, au fait que le Hedjaz, qui comprenait les oasis de La Mecque et de Médine, avait été un royaume juif; et que l’un des rois juifs, Abraha, s’était converti au christianisme. Il était mort en 565, dix ans avant la naissance d’un certain Muhammad. Les influences juives et chrétiennes étaient donc fortes dans cette région.

Cependant, bien connaître les textes religieux précédents et en prendre l’exact contre-pied au lieu de les suivre, semble avoir été le souci des auteurs du coran. Pour tenter de justifier les atrocités des guerres offensives arabes, malgré le message évangélique (déjà vieux de 7 siècles) du refus de la violence et du respect d’autrui et de ses biens, les auteurs du coran, écrivant plus de 7 siècles après les évangélistes, jonglèrent avec les textes bibliques et préférèrent la loi du talion (« œil pour œil, dent pour dent ») comme exemple à suivre, plutôt que le message évangélique. Ainsi, le coran ne tient pas compte de l’évolution (une révolution en fait) que le christianisme a apportée sept ou huit  siècles auparavant à l’humanité – à condition de mettre en pratique le message évangélique (le pardon des  offenses, la douceur entre individus, le refus de la vengeance, le refus de la violence, etc.). Les exemples sont nombreux du recul d’au moins mille ans imposé au ‘’monde musulman’’ par l’application de la sharia à l’époque de l’écriture du coran (8 ème siècle de notre ère) :

  • Alors que Jésus, rompant résolument avec le judaïsme de son époque, qui préconisait de lapider les femmes condamnées pour adultère, se tourne vers les jeteurs de pierres et leur dit : « Que celui qui est sans péché lui jette la première pierre ! », ce qui met fin au supplice de la condamnée. Ce regard de compassion entre de suite dans la loi chrétienne. Mais 8 siècles plus tard, la loi islamique réintroduit la lapidation des femmes adultères en islam. Un bond d’environ mille ans en arrière pour l’humanité à cause de l’islam !
  • Alors que le christianisme, toujours dans la même veine de respect des autres (« Ce que vous faites au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous le faites.» « Si vous n’aimez que vos amis et n’aimez pas vos ennemis, quel mérite avez-vous ? », « Si l’on vous prend votre tunique, donnez en plus votre manteau ! »,  ) abandonne la vieille loi du talion et, parvenu au pouvoir (empire byzantin), ne fait plus couper les mains des voleurs, l’islam, 8 siècles après le message de Jésus, rétablit cette pratique atroce : le voleur doit avoir la main coupée. Mille ans de régression dès l’écriture du coran qui a eu lieu vers 700 ! On peut trouver curieux qu’en France il y ait encore des musulmans exigeant l’application de la sharia : si nous l’appliquions, la plupart d’entre eux seraient manchots !
  • La liberté de boire et de se nourrir comme chacun le veut, sans interdictions ni jugements, la liberté de se vêtir à sa guise, de ne pas se faire circoncire pour les mâles, d’aller ou non au temple, le respect de la liberté de pensée et d’expression, revendiquées par les chrétiens, ces libertés sont, au 8 ème siècle, déclarées illicites et combattues par les auteurs du coran. Les effets de ces interdits et de ces obligations se font encore ressentir à notre époque dans le ‘’monde musulman’’ !
  • A vous, et ce sera facile, d’observer comment, 8 siècles après le début du christianisme, l’écriture du coran a fait faire aux adeptes de l’islam un bond en arrière d’un millénaire. Ce qui fait qu’aujourd’hui, les musulmans observant la sharia ont deux millénaires de retard sur l’humanisme et les lois démocratiques et civilisées de nos pays évolués.

 

Les théologiens musulmans et missionnaires auteurs des 6 dépliants destinés à vanter la supériorité de Mahomet sur Jésus, du coran sur les évangiles, de l’islam sur le christianisme et le judaïsme, de façon à susciter des conversions à l’islam, sont conscients des réfutations que nous faisons à leur prétention qui fait de « Jésus un prophète de l’islam ». Ils se défendent en prétendant que, dès la création de l’Eglise chrétienne, les autorités ont réécrit les évangiles, ont perverti le message de Jésus (un prophète de l’islam), l’ont corrompu et que cet ancien message de Jésus se retrouve en fait dans le coran. Ils répètent : Pour connaître le vrai message de Dieu transmis par Jésus, il suffit de lire le coran.

Notre réponse sera simple et aisée : il est assez facile de faire la comparaison, évidente, entre les civilisations influencées par le christianisme au cours des deux millénaires passés et la barbarie teintée d’archaïsme véhiculée par l’islam depuis qu’il mène des guerres offensives contre le monde entier, et cela fait 14 siècles que durent ces guerres !

Il y a, bien entendu, de nombreuses études et de nombreux ouvrages traitant des ‘’religions comparées’’, auxquels on peut se référer pour construire nos réfutations aux thèses islamiques développées dans ces 6 dépliants. Mais ces dépliants sont nouveaux, actuels, ils s’adressent à nos contemporains. Notre réflexion et son écriture doivent donc être nouvelles, elles aussi, pour pouvoir s’adresser avec précision à ces mêmes  contemporains.

Bon travail à tous !

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26 Commentaires

  1. que dire d’une “religion” qui t’explique comment et avec quelle main manger ou se torcher le cul ? qui prône l’infériorité des femmes a tout les niveaux ?

    • … que ce n’est justement pas une religion ! Mais une armée de conquête caouflée en religion pour avancer masquée. Bonsoir Couderc !

  2. Mais qu’attendre de la religion d’un chamelier s’adressant à des gens frustes et incultes ? Religion qui n’a pas évolué depuis, à croire que ses adeptes n’ont pas évolué non plus.

  3. Bien sûr que l’islam est supérieur il n’y a qu’a voir le modernisme social et le niveau intellectuel des pays musulmans , ça laisse rêveur , Tant de bonheur d’amour et de compréhension ….

  4. ” Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au-dedans, ce sont des loups prédateurs. ” ( Matthieu, VII,21)

  5. Pas besoin de se mettre en position de “rivalité”, laisser les gens à leurs croyances c’est à eux de gérer leur cheminement c’est leur problème, mais en France c’est “Occidental” avec racines et pratiques “chrétiennes”, musulman c’est Oriental donc pas Français.

    Les deux ne sont pas à mettre sur le même plan et ne sont même pas comparables vu le contenu et les pratiques qui montrent une grande, voire incontournable, incompatibilité.

    Même pas besoin de discuter de l’évidence.

    • Bonjour Amélie. Pour chacun d’entre nous, ici, à RR, l’évidence nous saute aux yeux et on rejette l’islam. Mais nous faisons l’effort de chercher comment nous opposer aux missionnaires musulmans qui travaillent à étendre l’islam en proposant à des chrétiens un peu paumés et à des athées en période de doute de se convertir à l’islam. Leurs arguments sont faciles : “Dieu a choisi les Arabes pour faire connaître son message, le coran, qui est donc le dernier et seul vrai message aux humains, blablabla…” Nous essayons, ici, à RR, de réfuter ce discours et de chercher comment diffuser le plus efficacement possible notre réfutation, de façon à bloquer l’avancée de l’islam en France.

      • Bonjour Jacques, j’ai bien compris ne vous inquiétez pas.

        Je fais remarquer simplement que se mettre en position de “rivalité” c’est se rabaisser et se mettre sur le même plan. Je trouve que les Français, en général, l’oublient trop souvent et tombent dans ce piège. Si l’on refusait cette rivalité (mettre sur le même plan ce qui ne peut être dans le fond) au niveau politique, cela réduirait les problèmes car certaines demandes seraient non avenues et donc réfutées d’office sans le moindre problème.

        Nous manquons de “structure”, c’est clair.

        Il est important de rappeler les “marques” en France de ce que nous sommes (et ne sommes pas), ça empêche de mélanger tout ce qui laisse la porte ouverte au n’importe quoi.

        C’est juste le sens de mon message, je ne parle pas du contenu de votre article, je n’ai aucune compétence à ce sujet.

        • Merci, @Amélie, pour la clarté et la justesse de votre propos, que je partage totalement. C’est effectivement en reconnaissant avec fierté notre identité, notre originalité, nos valeurs, que nous éviterons l’amalgame et le nivellement dans la médiocrité. Merci.

      • @Jacques suite

        Ceci dit, merci de partager vos connaissances. Chacun peut approfondir si il le souhaite.

  6. Merci Jacques pour ta volonté de faire aboutir ce travail. Auquel je participerai à ma manière et dans mon style. Je suis loin d’en savoir autant que toi, mais même sans cette érudition que tu partages avec nous, je suis sur la même longueur d’onde.

    • Bonjour Paco, tes encouragements et ton implication concrète, avec talent et humour, dans notre combat contre l’islam en France, sont précieux. On déguste avec le plus grand plaisir ta saillie du jour ! Un régal.

  7. On constate très souvent que les grands intellectuels d’origine musulmane (écrivains, philosophes, chercheurs, scientifiques, etc..) ont pour la plupart d’entre eux quitté l’islam soit en l’assumant, soit en le laissant penser dans leurs écrits et leurs paroles, l’islam est incapable de résister à l’intelligence et à la connaissance des gens.

    • Bonjour Pascal. Effectivement, ce fut le cas, entre autres, d’Avicenne et d’Averroès, qui ne furent de grands savants qu’autant qu’ils avaient pris leurs distances ave l’islam (même en conservant la charge de cadi !).

      • Merci pour cette précision, en effet ces noms me parlent mais je ne les avais pas gardé en mémoire, il faut admettre aussi que du côté Occidental, c est un peu la même chose, plus le niveau scientifique est élevé (physicien, biologiste, naturaliste) plus la foi en un Dieu personnel disparait au profit du déisme ou de l agnosticisme ?

  8. C’est notre société occidentale longtemps portée par le christianisme qui a conduit le monde à son apogée scientifique, économique, artistique, littéraire avant d’amorcer son déclin consécutif à l’abandon progressif du christianisme que nous observons aujourd’hui. L’Islam par contre qui n’est qu’une doctrine de conquête et de soumission à des règles absurdes et coercitives n’a rien apporté de positif aux progrès de l’humanité. Les grandes découvertes de scientifiques arabes (en mathématiques, algèbre en médecine ou en science) sont toutes antérieures à l’Islam (sauf quelques rares cas de scientifiques arabes qui ont pris leurs distances de l’Islam).

  9. L’islam n’est pas supérieur au Christianisme car l’aspect théologique que l’islam dégage est souvent inspiré du Satanisme et de la violence pour anéantir les infidèles autrement dit les Koufars afin de montrer que l’islam c’est la religion dominante mais en réalité le christianisme est supérieure à l’islam avec des notions spirituelles d’amour, de paix,de persévérance et de combat spirituel contre le Diable et c’est ça qui fait sa force !

  10. Le pape rêve d’un oecuménisme qui s’étendrait jusqu’aux religions extérieures au christianisme de toutes chapelles. C’est une illusion, qui aboutira à la submersion de l’Occident chrétien par les migrants d’une part et de l’autre par l’imposition de l’islam une fois que ces populations auront pris le pouvoir. Le Vatican prêche l’accueil sans mesure des migrants, la tolérance envers l’islam, sans en mesurer les risques et les conséquences. Nous sommes trahis de tous les côtés, par le spirituel et le temporel. Le combat sera rude. Sans compter qu’une forte majorité de Français se désintéresse de la question, alors que c’est vital. Les musulmans baignent dans le coran depuis le berceau et cette pseudo-religion révélée imprègne leur vie quotidienne dans tous ses aspects. Pour les amener à une catharsis salvatrice, c’est presque mission impossible pour la plus grande partie.

    • Bonjour Argo. Mission impossible ? “C’est parce qu’ils ignoraient que c’était impossible qu’ils l’ont fait !” (Marc Twain)

  11. Merci pour cet article.
    Depuis longtemps je remets la volonté de tenter de rendre modestement justice, c’est le cas de le dire, à ce que le regretté professeur Raphaël Draï a désigné comme le “mythe de la Loi du Talion”. C’est d’ailleurs le titre de son essai erudit et passsionnant réédité en 1996, Éditions Hermann.
    Soyons bref, la sentence “œil pour œil, dent pour dent” tirée de la Bible est tout sauf une incitation ou une injonction à la vengeance ! C’est au contraire la recherche de l’équité entre un préjudice subi et la réparation par le fautif sous forme de compensation financière.
    Qu’on se demande comment un Commandement suprême “Tu n’assassineras pas” sans oublier le “… Et tu choisiras la vie”, pourrait-il être bafoué par l’exécution d’un acte d’inspiration basse supposé rendre justice aux victimes ? On n’est jamais à une contradiction près.
    https://youtube.com/watch?v=MxnqCELrxZU&feature=share9

    • Bonjour Bermudienne, et grand merci pour rendre justice au travail du professeur Raphaël Draï et pour nous demander de ne pas confondre vengeance bestiale et nécessité de réparation du dommage causé. J’en tiendrai compte.

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