Le personnel suspendu, encore et toujours…

Le 13 mai 2023 a eu lieu la première journée de témoignages sur les effets secondaires des vaccins. Les victimes ont enfin pu prendre la parole. Le 4 mai 2023, l’Assemblée nationale avait voté l’abrogation de la loi du 5 août 2021 sur l’obligation vaccinale pour les soignants et apparentés. C’était une première étape et une grande victoire, mais le combat continue.


Le problème de fond n’est pas réglé. Lorsque les orateurs à l’Assemblée ont abordé le fait que le vaccin n’est « ni sûr, ni efficace » et que les effets secondaires dépassent ce qu’on peut imaginer, ils se sont vus répondre par François Braun, ministre des Solidarités et de la Santé de France, que « le complotisme l’a emporté sur la science » et que « cette abrogation est inacceptable ». On est dans un déni de démocratie et un aveuglement sur la réalité.

Les soignants suspendus ont vu la réalité sur le terrain. Le consentement « libre et éclairé » n’était pas signé par le patient et les effets secondaires dépassaient l’acceptable. Il fallait donc les empêcher de parler. Leur indemnisation et leurs années perdues de retraite ne peuvent pas être envisagées actuellement car le gouvernement ne veut pas avoir tort.

Le combat se poursuit pour faire « exploser » au grand jour ce scandale des effets secondaires caché par les autorités administratives, les médecins qui les constatent et les victimes elles-mêmes dans le déni. L’ANSM recense officiellement 193 098 cas déclarés depuis le début de la vaccination dont 25 % graves dont des morts. Or, on sait qu’il y a une très grande sous-déclaration.

Pour le Dr Véronique ROGEZ , non vaccinée, interdite d’exercer :

« Nous avons besoin de tous les témoignages de victimes. Nous sommes dans une bataille de l’information et du mensonge où toute la campagne de vaccination a été basée sur cette injection qui empêcherait la transmission et qui serait sans effets secondaires. L’Allemagne reconnaît pourtant que ce n’est pas vrai. En France, des collectifs et associations de victimes se sont constitués. »

L’INSEE montre une surmortalité en 2021-2022 et l’Etat refuse de communiquer les décès en fonction du statut vaccinal. La suspension par décret de cette loi du 5 août 2021 est un premier pas, mais le combat continue.

Frantz pour Le Média en 4-4-2.

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11 Comments

  1. Comment pourrait-il y avoir un procès en France, alors que la Justice est sous la coupe de l’exécutif ??
    Devra-t-on se contenter d’assister aux procès américains et allemands ?
    France anti-démocratique ??

  2. sous déclaration car un certain nombre de médecins ne voulaient pas dire que la vaccination était l’origine du décès , voir le reportage sur ARTE, en Allemagne , plus le nombre de décès dû à une autre pathologie que le covid mais étiqueté Covid ! il y a eu des témoignages des familles ! il manque un procès (de Nuremberg) pour évaluer les responsabilités ; je crois qu’il y a eu une commission d’enquête mais je n’ai pas entendu de résultat .

  3. J’ai entendu le témoignage d’une infirmière qui trouvait complètement anormal qu’on les ré-intègre en leur donnant un rappel de salaire en plus.

    C’est l » »humanité » de l’ambiance du milieu médical et para-médical dans toute sa splendeur…

    • Une connasse qui est dégoutée de s’être fait empoisonnée pendant que d’autres résistaient tant bien que mal, patientes, déterminées, et elles sont revenues.
      Joli pied de nez à toutes celles qui n’ont pas fait front et sont parties à l’abattoir !
      Si 80% des soignants avaient dit NON, il n’y aurait pas eu de suspendus.

      • Oui je pense que derrière les réactions il y a une peur non exprimée de s’être fait avoir par ce produit.

      • oui des soignants ne voulaient pas la réintégration, en tous cas c’est ce qui a été dit ..mais au fond cette idée peut aussi être une manipulation ! en effet, si d’autres soignants ne s’étaient pas fait vaccinés il n’y aurait pas eu de suspendus, les hôpitaux n’auraient pu accepter ces manques de personnels ; et cela me posait question gravement, car dans l’histoire on a déjà vu ce manque de solidarité, voir plus en pensant à ceux qui ont été dénoncés parce qu’ils faisaient la fête ! cette affaire mérite une analyse profonde car aussi, DES MEDECINS ONT ETE OBLIGES DE NE PAS SOIGNER, JE NE PARLE PAS DE CEUX QUI ONT ETE SUSPENDUS ! C EST UNE PREMIERE !!

        • « au fond cette idée peut aussi être une manipulation  »

          Non Denise, ce que je dis là est un témoignage de proche, c’est donc réel, et je dois dire que connaissant le milieu, ça ne m’étonne pas du tout.

          N’en déplaise à certains qui ne veulent pas voir malgré les nombreux signaux. Et j’en entends d’autres témoignages très souvent, ce qui confirme un certain aspect malsain en plus des miens qui sont vraiment étayés (ce n’est pas une vue de l’esprit).

  4. L’abrogation de l’obligation vaccinale est une très grande victoire pour les soignants mais le plus dur du combat c’est dans la phase de réintégration que ça se passe car certains chefs de service fanatiser par le tout vaccin contre le Covid 19 et qui ne voient pas les effets secondaires du vaccin cherchent toujours à les mettre sur la touche mais les soignants non vaccinés et réintégrer vont remporter de nouveau une victoire décisive contre les Vaccinolatres de service ! Respect à ces soignants non vaccinés !

  5. Pourris!
    Commentaire qui n’apporte pas grand chose mais des fois ça détend.

  6. Je serais à la place de Braun et tous les responsables de ce massacre, je ne pourrais pas supporter ce poids sur ma conscience. Ces gens-là n’ont ni cœur ni âme. Je dirais que ce sont des ordures, mais le mot est encore trop faible.

    • Argo posez vous la bonne question : pourquoi tous ces êtres ignobles en arrivent t’ils à ces extrémités ? Ils sont athées et ne respectent rien ni personne un véritable croyant ne peut se comporter ainsi.

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