La première islamophobe a traité Mahomet d’enculé ! (sic !)

                                         

Gloire à nos deux saints patrons, Asma et Abou Afaq, les premiers islamophobes !

Asma bin Marwin et Abou Afaq dit ‘’le Centenaire’’ sont les deux premiers martyrs connus de la cause ‘’islamophobe’’, exécutés par l’islam naissant. Ils sont nos deux premiers saints et martyrs.

Nous allons ici leur rendre hommage et nous inspirer de leur courage pour continuer la lutte contre l’islam, cette horreur qui broie et salit tout sur son passage et ne laisse que des ruines.

Le terme « islamophobe », que notre ami @Antiislam dénonce ici régulièrement à juste titre, ne correspond en effet pas à la réalité de la chose. Ce mot d’’’islamophobe’’, mal bricolé depuis peu, suggère que nous aurions « peur » (la phobie) de l’islam, alors qu’en vérité nous manifestons du refus, de l’opposition, de la lutte raisonnée contre cette idéologie dont nous ne voulons pas en France.

aff-islamophobie-web.jpg(Note de Christine Tasin : φοβέω en grec ancien signifie d’abord “mettre en fuite”, puis “effrayer”. Etre islamophobe c’est, étymologiquement, être effrayé par l’islam,  que l’on désire mettre en fuite. Rien à voir avec la “phobie”  ou peur maladive et inexpliquée.  L’étymologie grecque nous renvoie à sens guerrier, à savoir l’ennemi que l’on craint et que l’on fuit. Les mollahs iraniens et les Frères musulmans ont surfé sur la vague pour faire croire que notre crainte de l’islam serait absurde, voire une maladie mentale. Il n’empêche que les mêmes brament que l’islamophobie, la xénophobie et autres homophobie… seraient un délit… ah bon ? Depuis quand une maladie mentale serait-elle un délit ? Enfermez-moi ces arachnophobes et autres islamophobes ! . J’aime bien, quant à moi, me dire islamophobe, l’étymologie dit clairement ce qu’il en est et nos ennemis ne s’y trompent pas qui nous traînent devant les tribunaux.)

 

Mais nos lexicographes et grammairiens de l’Académie n’ont pas encore osé créer un mot français capable d’exprimer : 1. Le refus de l’islam, tout simplement et tout crument. Le mot ‘’antiislam’’ est le plus approprié, mais il n’est pas encore dans le dictionnaire. Et 2. Ceux qui refusent l’islam. Nous appeler les ‘’antiislamiques’’ ou les ‘’antiislamistes’’ pourrait coller, mais les amis de l’islam préfèrent nous traiter d’ ‘’islamophobes’’ et de ‘’racistes’’, espérant nous faire taire.

Leur invention des deux termes stupides et inadéquats d’’’islamophobie’’ et d’’’islamophobes’’ est destinée à diffuser l’idée que notre ‘’peur’’ de l’islam est due à notre méconnaissance de cette merveilleuse religion ‘’de paix et d’amour’’ à la source d’une civilisation et de lois bien supérieures à ce que nous pourrions rêver. D’après eux, dès que nous aurons fait l’effort de savoir, de connaître ce qu’est l’islam, la lumière jaillira et dissipera toute peur. Ce serait donc, de notre part, une simple question d’ignorance.

Pas tout-à-fait convaincu par leur raisonnement foireux, je vais encore employer ici les termes ‘’islamophobie’’ et ‘’islamophobes’’, bien qu’inappropriés, mais en leur donnant le sens que nous voulons qu’ils aient : un refus rationnel et argumenté de l’islam en France, une résistance républicaine aux assauts de l’islam dans le monde, une opposition déterminée à l’islam conquérant, un anti-islam fier et affiché.

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Les textes fondateurs de l’islam, cette Hydre, ce cancer qui nous empoisonne la vie, sont:

1. Le coran et 2. Les hadiths, accompagnés des traditions et premiers écrits (comme la première biographie de Mahomet) .

Nous savons désormais que le coran, présenté par les musulmans comme dicté par Dieu Lui-même, le Créateur de l’Univers et donc le Maître de tous les humains qui doivent Lui être soumis, dicté à Mahomet son Prophète qui le fit transcrire immédiatement, au fur et à mesure des Révélations par son secrétaire Saïd ibn Zayd, et qui donc est la pure parole de Dieu non trafiquée ni discutable, donc légitimant le caractère de ‘’Religion’’ à l’organisation s’en réclamant, hé bien… que tout cela est faux !

Donc, finis les liens entre le coran et Mahomet, finis les liens entre Mahomet et l’ange Jibril, finis les liens entre Mahomet et Allah ; par conséquent, écroulement des bases de la religion islamique, il n’y a plus de ‘’Livre sacré’’ puisqu’il a été écrit par des soudards environ un siècle après le soi-disant ‘’prophète ; les musulmans n’ont transmis depuis 14 siècles que des mensonges, des inventions, des ruses, comme autant d’armes pour la conquête. On s’en doutait depuis longtemps, mais les preuves matérielles, scientifiques, manquaient. Elles sont maintenant là, indiscutables. Un monde s’écroule, celui de l’islam. Le coran est démonétisé et ne vaut plus que comme vieille légende païenne emplie de haine, d’appels à la violence et à la guerre offensive. Ne le brûlons pas ! Montrons-le comme exemple des erreurs humaines. Une erreur qui a coûté très cher à l’humanité en vies saccagées et en exterminations.

En parallèle de ce coran, que l’on sait donc maintenant avoir été écrit à la fin du premier siècle de l’islam et au début du second, destiné aux « guerriers de l’islam » pour les stimuler dans leur devoir de conquêtes, un second ensemble de textes appelés « hadiths » sert également de fondement à l’organisation criminelle qu’est l’islam. Le terme ‘’hadiths’’ correspond en français à « Faits et Dits » du prophète. C’est-à-dire non plus les « paroles d’Allah » prétendument consignées dans le coran, mais ce que dit lui-même Mahomet et ce qu’il fit ou fut supposé avoir fait (il y a beaucoup de mythes et d’affabulations ajoutés au fil des écritures). Il s’agit de traditions concernant les paroles et les actes de Mahomet et de ses compagnons. Enfin, s’y ajoute la ‘’Sirah’’ du ‘’prophète’’ ou biographie, écrite tardivement à partir de bribes de témoignages de seconde main et de façon bien peu rigoureuse, tenant davantage de la légende et de l’hagiographie que du récit historique. Mais il faut faire avec ! La ‘’Suna’’ étant, elle, ‘’la Loi’’ (incluse dans le Coran) que doivent suivre les musulmans partout où ils sont et pour l’éternité : c’est ainsi qu’en France une part importante de musulmans ont appris et continuent de transmettre aux leurs cette Loi, prétendument donnée par Allah à son Prophète, en précisant bien qu’elle a priorité sur toute autre loi humaine, telles les lois républicaines. Un tel blocage mental rend l’islam irréformable et toute société islamisée invivable.

Et ce sont les hadiths, incluant la première biographie connue de Mahomet, qui nous apprennent l’existence et le tragique destin de notre sainte Asma Bin Marwin et de notre saint Abou Afaq, les deux premiers martyrs islamophobes de l’histoire de l’islam. Nous pouvons les aimer, les vénérer, et je voudrais partager avec vous ce que l’on sait de leur lucidité et de leur courage jusqu’à leur assassinat qui en fait des martyrs de notre cause commune à eux et à nous, à 14 siècles d’écart.

 

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Récit  de l’assassinat d’Asma à Médine en mars 624

Depuis elle, des millions d’opposants à l’islam rejettent cette idéologie totalitaire. Nous faisons partie de ces opposants. Nous exigeons, comme Asma, que soient respectée notre liberté de refuser le remplacement de notre civilisation, de nos lois, de nos choix de vie, par une idéologie qui ne nous convient pas. Nous exigeons que soit reconnu et respecté notre refus de l’islamisation et de la conquête de notre pays par ses ennemis. Nous exigeons que notre identité ne soit pas salie et souillée par celle des propagateurs de l’islam.

L’Histoire a donc conservé le nom d’au moins deux poètes et conteurs de Médine, contemporains de Mahomet, qui osèrent s’indigner de son goût pour le pouvoir, de son cynisme, de sa violence, des promesses et des voix divines que prétendait entendre le nouveau « prophète », et de ses façons de vivre comme un conquérant et de s’imposer aux autres par la terreur.

L’un de ces conteurs- poètes était très âgé, les Médinois le surnommaient  ‘’ le centenaire’’ ; il s’appelait Abou Afak. Il n’avait plus rien à perdre à son âge, sa pensée était affûtée et libre,  sa parole publique plaisait aux Médinois pour qui il commentait publiquement les actualités. Notamment l’arrivée intempestive de ce Mahomet flanqué de 70 compagnons armés et violents ayant pris de force le pouvoir à Médine sur les cinq tribus de cette oasis. Cette troupe de soudards avait été chassée de La Mecque où leur chef, Mahomet (mais ce n’était pas son vrai nom, qui a été oublié) avait créé des troubles. Les Médinois en avaient hérité bien malgré eux. C’était la guerre depuis leur arrivée.

Ainsi, Abou Afaq fut assassiné dès qu’il se permit de critiquer les violences du nouveau maître de Médine.

Asma Bint Marwan

L’autre mécontente des pratiques violentes de Mahomet était une femme, conteuse et poétesse elle aussi,  tout aussi lucide et libre d’expression, qui eut le courage de maltraiter dans ses prises de paroles les assassins d’Abou Afaq, ces soudards de la nouvelle armée déguisée en religion. Cette chère Asma bint Marwan avait la quarantaine et était mère de cinq enfants dont un encore au sein. Elle n’avait pas sa langue dans sa poche.

Le biographe de Mahomet écrit comment, un matin, au marché de Médine, Asma bin Marwin cria son exaspération de voir Mahomet et sa petite armée se comporter en nouveaux maîtres de Médine qu’ils avaient investi. De les voir jouer les caïds voulant imposer leur loi par la violence.

« Vous n’êtes qu’une bande d’enculés ! » leur lança-t-elle ! Texto !

Evidemment, si elle avait su qui était vraiment Mahomet, que c’était le plus grand et le dernier Prophète envoyé par Dieu sur la terre, un gars qui parlait avec le Dieu créateur, qui avait écrit le coran à La Mecque, qui allait conquérir tous les pays de la terre, etc., elle ne l’aurait pas ainsi  traité d’enculé. Ce n’est pas un mot qu’on doit employer en parlant de Mahomet. Mais c’était une ignorante en matière d’islam !  Car ce n’est que près d’un siècle plus tard que la légende d’un prophète pour les Arabes fut créée, en même temps qu’était écrit le coran qui développa cette falsification de la réalité et de l’Histoire en légende pour musulmans crédules.

En tout cas, dès qu’elle eût exprimé sa colère et traité Mahomet d’enculé, immédiatement, un des jeunes musulmans fanatisés, faisant partie des soudards venus de La Mecque, courut rapporter à Mahomet l’offense entendue. Mahomet lança alors la fatwa, un appel à l’assassinat : « Mais qui m’en débarrassera ? »

Obéissant à la parole de Mahomet, un de ses bons et vrais musulmans s’introduisit de nuit (oui : de nuit ! comme pour l’assassinat d’Abou Afak), « vers le cinquième jour du mois de ramadan » de l’an 3 de l’hégire  (donc en mars 624) dans la maison de la poétesse et  l’assassina lâchement en la transperçant de son épée, alors qu’elle dormait avec son dernier jeune enfant.  « Allahou akbar ! »

Ayant conscience d’avoir commis un  crime si lâche, l’assassin vient le lendemain en rendre compte à Mahomet, le chef des ‘’guerriers de l’islam’’, pour savoir s’il allait apprécier.  Celui-ci le rassure alors pleinement, toujours selon son biographe : « Deux chèvres ne se donneraient pas de coups de cornes » pour si peu !

Voilà la réponse cynique, sans la moindre ombre d’humanité, que lui fit Mahomet en le remerciant de la bonne exécution de ses ordres.

Le martyre d’Abou Afaq et d’Asma, ces deux premiers islamophobes connus, inaugure 14 siècles d’horreurs.

Loin de s’humaniser, de progresser, l’islam reste figé à l’an 624. Et même il régresse en augmentant sa sauvagerie : Samuel Paty a été décapité pour moins qu’avoir traité Mahomet d’enculé ; son crime fut d’avoir, en France, fait un cours de réflexion et de citoyenneté sur la liberté de pensée et d’expression incluant des caricatures, après avoir pris des précautions respectueuses auprès de ses élèves musulmans. Décapité, en 2022, par le même islam qu’en 624 !

 

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Ce récit circonstancié de l’assassinat d’Asma bin Marwin nous est parvenu grâce au premier biographe de Mahomet, ibn Ishaq, dans son «Sirah Rasul-Allah ». Je l’ai trouvé relaté par Lucas Catherine (‘’L’islam à l’usage des incroyants’’ EPO 1997), Jean-Pierre Péroncel-Hugoz (‘’Le radeau de Mahomet’’ Lieu Commun Documents 1983), Chahdortt Djavan (‘’Comment lutter efficacement contre l’idéologie islamique’’ Grasset 2016), chez de nombreux autres auteurs  et par les nombreuses pages contradictoires (évidemment ! Les mahométans contestent et crient au mensonge et au complot !) sur Internet, telle que : https://en.wikipedia.org/wiki/Asma_bint_Marwan#:~:text=The%20apostle%20of%20Allah%20said,from%20the%20apostle%20of%20Allah.

Chacune des exécutions actuelles, à la bombe et à l’explosif, au camion et à la voiture-bélier, au couteau et au cutter, à la kalachnikov et au fusil, et chacune des actions en justice menées contre les opposants à l’islam en France accusés à tort de racisme et condamnés, chaque personne attaquée par l’islam,  peu importe le moyen choisi par les musulmans pour obéir à l’ordre coranique d’éliminer tout opposant à l’islam, fait partie de l’innombrable liste des victimes ‘’islamophobes’’ dont on connaît les deux  premières : Asma bin Marwin et Abu Afaq.

         

    Une statue à la gloire et au souvenir d’Asma et d’Abou Afaq devrait leur être élevée face à la Grande mosquée de Paris ou de Strasbourg ou de Lille ou devant chacune des 3000 mosquées de France. Et un jour férié devrait être décidé pour célébrer le martyre et l’exemple de ces deux premiers anti-islam, les deux premiers islamophobes au monde. Ceci afin de rendre hommage, à travers ces deux premières victimes connues d’un islam intolérant, totalitaire et violent, à toutes les victimes de l’islam, celles du premier jour comme celles de 14 siècles plus tard.

Cette continuité de l’islam dans l’ignorance, dans la sauvagerie et le barbarisme tient à un facteur précis : la transmission du coran. Cette transmission d’ordres divins… qu’aucun Dieu n’a jamais transmis car Mahomet n’a jamais entendu l’ange Djibril et n’a pas écrit la moindre ligne du coran qui lui est postérieur de près d’un siècle !

Toutes vos idées pour que Résistance Républicaine célèbre la mémoire d’Asma et d’Abou Afaq, les premiers martyrs connus de l’islam, les premiers anti-islam, les premiers  islamophobes, nos modèles de courage, sont les bienvenues !

 

(P. S. Je ne pourrai lire vos commentaires que plus tard, étant parti aujourd’hui en voyage lointain et privé d’Internet pour quelques jours. C’est Christine qui vous répondra s’il y a des questions précises dans vos commentaires. Par son intermédiaire je pense pouvoir vous envoyer la semaine prochaine une ou deux ‘’cartes postales’’ de mes pays visités. Puis, on se ‘’reparlera’’ en juin. Bonne résistance républicaine !)

Jacques Lenormand

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12 Commentaires

  1. L’islam ! Religion satanique de conquête et de soumission à un précepte rempli de contradiction théologique mais les deux apostats opposer à l’islam radical et conquérant sont des héros…

  2. Je voudrais “bien nommer” la chose en question, afin de soustraire un peu des maux de ce monde, non-muzz celui-là :

    ” ISLAMOPHOBIE ” ou ” islamo & phobie ” :

    Définition actuelle du mot ” phobie ” : peur irrationnelle, c’est à dire sans aucune raison, ni fait réel, de quelque chose ou de quelqu’un, qui pourraient être à l’origine de cette peur.

    En conséquence, il serait légitime d’appeler les choses par leur nom et parler d’islamo-lucidité ou, en ce qui me concerne en tout cas, de NAZISLAMO-LUCIDITE !!

    Idée : mettre la phrase suivante en sous-titre dès qu’il s’agit d’évoquer la secte NAZISLAM :

    ” Asma bint MARWAN a été la première à traiter le mahomerde d’enculé !! ”

    ” maomerde était bien un enculé, Asma bint MARWAN a été la première à le dire !! ”

    Si j’ai fait une faute de frappe, vous m’en voyez…pas désolé du tout !!

    Dans tout texte démontrant la duplicité du NAZISLAM, des phrases de ce genre devraient être “glissées” en début ou fin de texte …

    Sans omettre de citer les sources de cette affirmation-là bien-sûr …

    • Personne ne comprend “nazi-islam” sauf à penser que le locuteur règle ses comptes dans une langue qu’il est seul à parler

      • Christine, rappel de l’histoire : en novembre 1941, le grand mange-merde (mufti) de Jérusalem “rend visite” à hitler à Berlin, et propose une alliance avec ce dernier :
        https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/photo/hajj-amin-al-husayni-meets-hitler-for-the-first-time

        Cela aboutira à la création de divisions telles HANDSCHAR et DAS REICH, entre autres, celle qui est “associé” à jamais au massacre du village d’Oradour-sur-Glane …

        Je peux me tromper, remarque …

        Voila pourquoi je parle de NAZISLAM ; et toutes les personnes devant qui j’ai prononcé ce mot ont parfaitement compris, et du premier coup, la signification de la contraction de cette expression-là …

        Entre le mein korampf et mein kampf, il y a pas mal de points communs :
        http://www.coranix.free.fr/114/mein_korampf.htm

      • Article à lire aussi, dont extrait :
        https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/article/hajj-amin-al-husayni-wartime-propagandist

        ” Le 28 novembre 1941, lors d’une réunion couverte par la presse allemande, Hitler se montra compréhensif, mais refusa de donner à al-Husseini la déclaration publique de soutien qu’il souhaitait.

        Al-Husseini continua cependant de collaborer avec l’Allemagne nazie et l’Italie fasciste de plusieurs manières. Il radiodiffusa, à l’attention du monde arabe et des communautés musulmanes sous contrôle ou influence de l’Allemagne, de la propagande anti-Alliée et antijuive.

        Il chercha à motiver et à endoctriner les musulmans pour qu’ils s’engagent dans les unités militaires et auxiliaires de l’Axe.

        Même après avoir compris que les Allemands ne lui donneraient pas satisfaction et qu’ils utiliseraient ses recrues musulmanes comme bon leur semblaient, al-Husseini continua de travailler, jusqu’en 1945, avec l’Italie fasciste et l’Allemagne nazie. “

  3. les 40 hadiths……… comme ali baba et ses 40 voleurs

    ou encore les 40 ans des hébreux dans le désert

    curieux cet attrait pour la “quarantaine”

    • Et oui, 40! 40 jours entre Pâques (résurrection) et Pentecôte (montée au Ciel). L’ islam a tout piqué à tout le monde. Un patchwork de Bible et de Nouveau Testament. Ca mange pas de pain!

  4. C’est très très vrai, la phobie c’est la trouille, nous ne sommes pas islamophobes…

  5. À la source de l’islam en France, l’invasion migratoire à laquelle il est urgent de mettre un terme. Chaque arrivée, j’allais dire arrivage, augmente de facto le nombre d’adeptes. Si cette invasion ne cesse pas, notre combat est perdu d’avance. Il faut convaincre les électeurs de ce danger pour le scrutin de l’année prochaine, à savoir les élections européennes. Les partis patriotes doivent l’emporter largement, sinon ce sera le chaos. Je sais, certains vont ricaner, mais pour l’instant, c’est tout ce dont nous disposons pour nous faire entendre par les voies légales.

    • Tu es sage Argo, mais il y en a plein qui vont dire que ça ne sert à rien et qui baissent les bras pour décourager les autres, et les conduire sur des chemins de traverse.

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