C’est du foutage de gueule intégral, non ?
Depuis des années, à chaque affaire de squat médiatisée (et elles ne le sont pas toutes), les élus de promettre, croix de bois croix de fer que cela ne se reproduira pas… Ils en parlent, ils votent… des textes inappliqués, inapplicables, allez savoir. En tout cas on enfume le bon peuple de France. Ils enfument de bon peuple de France, à l’abri dans leurs maisons, gagnant 5000 euros mensuels pour enculer des mouches.
Les salopards qui ont voté des obstacles juridiques à l’expulsion des squatteurs sont les mêmes qui ont créé le « Droit au Logement » qui piétine allègrement le droit de propriété pourtant constitutionnel. Les gauchos sont au pouvoir partout et imposent partout leur dictature, impunément.
Et quand les propriétaires légitimes réussissent à obtenir une mesure d’expulsion, elle est annoncée pour des mois après, et en tout cas pas pendant l’hiver. A chaque fois c’est le propriétaire qui doit payer les réparations, car, c’est une constante, les squatteurs cassent, abîment, détruisent, salissent, volent… Imaginez le traumatisme de savoir qu’il y a chez vous des gens qui jettent à la poubelle vos souvenirs de famille, qui les cassent, qui les volent…
«Nous vivons un cauchemar» : à Nantes, l’immeuble d’un propriétaire de 75 ans squatté
RÉCIT – Depuis le 13 mars, les trois étages de ce bâtiment sont occupés illégalement. Les serrures ont été changées. Le propriétaire, qui ne peut plus y accéder, est sous le choc.
Le Figaro Nantes
Le rendez-vous a été pris en bas de son immeuble squatté. Son propriétaire, Alain Senand, aurait dû être présent mais la situation qu’il vit lui cause des problèmes de santé. Ce lundi après-midi, l’homme âgé de 75 ans est hospitalisé pour cause de malaise cardiaque. «Il ne dort plus qu’une heure par nuit», s’inquiète son frère Jean-Paul, qui le représente devant le bien immobilier occupé illégalement depuis le 13 mars.
Dans le quartier de la Madeleine-Champ de Mars, à Nantes, notre interlocuteur n’en revient toujours pas. Devant la porte d’entrée dont les vitres ont laissé place à des plaques soudées et sur laquelle un digicode remplace la serrure, il revient sur la chronologie des faits. Il explique en préambule que le rez-de-chaussée est loué par une école nantaise d’arts appliqués. Le premier étage est mis à disposition de son frère qui y passe régulièrement pour gérer ses dossiers administratifs, ou pour ses nièces vivant aux États-Unis qui repassent en France de temps à autre. Les deuxième et troisième auraient dû subir une cure de jouvence à partir du 1er mai. Les cloisons et peintures auraient dû être refaites pour une remise en location.
Serrure changée, vitre cassée
«Mon frère vient tous les jours sauf le samedi et le dimanche. Lundi 13 mars, il est venu voir son logement comme d’habitude. Il n’a pas pu rentrer», raconte le retraité, sous le regard provocateur des occupants. «Bonjour Monsieur», lui lance l’un d’entre eux depuis le balcon recouvert d’un tag et de mobilier recyclé. «Bonjour», répond Jean-Paul Senand, en gardant son sang-froid, impuissant devant l’immeuble de son frère dans lequel il n’a pas le droit de rentrer. «S’il n’y avait que moi, il y a longtemps que j’aurais débarrassé le plancher. Je serais venu avec des copains (pour libérer les lieux, NDLR)», confie l’ancien membre des forces spéciales. «Nous vivons un cauchemar ! Vive la France !… Des étrangers squattent un bien ne leur appartenant pas en cassant des vitres de porte et en changeant la serrure , et ils sont chez eux !, écrivait-il dans un échange de mails quelques jours auparavant pour exposer le calvaire familial. Par contre, vous faites la même chose pour rentrer chez vous et là vous êtes hors la loi… »
Du haut d’une porte-fenêtre, l’un des occupants refuse de répondre clairement aux questions du Figaro. Combien de temps vont-ils rester ? Combien sont-ils ? Qui sont-ils ? «Le propriétaire sait tout», indique un jeune homme. «Ils sont une dizaine», pense Jean-Paul Senand. Ils se seraient réclamés de La Maison du Peuple auprès de la famille. Renz, le porte-parole de ce collectif coutumier de ce genre d’actions pour héberger des familles sans-abri, dément : «On avait repéré ce bâtiment. On a pensé à l’ouvrir, on s’est renseigné, on a vu que c’était un petit propriétaire, donc on ne l’a pas fait», assure-t-il. Contacté par téléphone, Renz indique qu’il passera voir les occupants dans la semaine.
À lire aussiSquats, loyers impayés : la galère des propriétaires pour se faire indemniser par l’État
On est issu d’une famille modeste. Mon frère a bossé dur. Cet immeuble n’est pas tombé du ciel.
Jean-Paul Senand, frère du propriétaire
Quoi qu’il en soit, Jean-Paul Senand a déjà eu l’occasion d’échanger avec les familles qui se sont approprié les lieux : «Ils disent que le propriétaire a assez de pognon. Nous, on paye des impôts en conséquence pour occupation d’un logement vide. On paye leur eau, leur électricité… Et quand nous allons récupérer le bien, je ne vous explique pas… Un mur comme ça, il y en a pour 5000 ou 6000 euros pour le repeindre», anticipe-t-il en montrant une façade taguée et des montants peints en vert par les nouveaux habitants. «On est issu d’une famille modeste. Mon frère a bossé dur. Cet immeuble n’est pas tombé du ciel».
La famille Senand, qui est en contact avec un avocat et a déposé plainte, déplore le manque d’actions de l’État. Elle mise aussi sur un nouvelle loi visant à protéger plus sévèrement les squatteurs. Le préfet, qui n’a pas ordonné l’évacuation des lieux, aurait répondu verbalement, par l’intermédiaire de son cabinet, qu’il s’en tiendrait à la décision de justice. «Lorsqu’une décision de justice est prise, le préfet doit l’appliquer», confirme la préfecture de Loire-Atlantique, sollicitée sur ce dossier. Une audience au tribunal d’instance de Nantes doit se tenir début mai.
1,837 total views, 3 views today
Ils font quoi ?
Ils votent des lois qui vous condamnent à des amendes salées si vous avez omis
de déclarer votre cabanon pour ranger les outils du jardin !
Là c’est du courage on le voit bien !
J’ai de plus en plus l’impression que l’état utilise toute forme de délinquance comme moyen de pression et d’intimidation auprès des honnêtes gens uniquement !
Ils font quoi les députés ?
Ils se demandent comment ils vont bien pouvoir remplir leurs piscines avant l’été sans que cela ne se voit. Les squatteurs chez les gueux, ils s’en tamponnent.
577 députés, ceux qui bossent réellement pour le peuple français se comptent sur les doigts d’une main.
Les Migrants quels plaies ! Même un immeuble ils squattent dans le plus grand laxisme général qui caractérise malheureusement la France avec des députés laxistes voir immigrationnistes comme les Islamo Gauchistes de LFI , NUPES Show et cie ….
Rien ne les arrête un monsieur de 75 ans qui a trimé toute sa vie pour s’acheter un bien ,et ces salopards tout ce qu’ils trouvent à dire c’est que le propriétaire a assez de pognon ,en quoi ca les regarde ? ,ce n’est pas leur bien point barre ,de plus ils n’en en ont rien a foutre que ce monsieur soit malade et quand il récupérera son bien ,tagué, dégradé avec des frais de réparation à la clé. Dans d’autres pays, ces salopards seraient vite dégagés tout de suite manu militari ,mais en France NON .
« les squatteurs cassent, abîment, détruisent, salissent, volent… »
Cela prouve tout simplement la nature des squatteurs, et ce ne sont certainement pas des « victimes » tel que certains instrumentalisent ce terme pour satisfaire leur ego pétri d’auto-satisfaction idéologique.
Si j’ai bonne memoire, c’est Christine Boutain, qui est a l’origine de ces obstacles juridiques pour empecher d’expulser les voleurs d’appartements. Et malheur au proprietaire, qui voudrait recuperer son bien en faisant appel a des gros bras, car prison et amende a la clef. Poubelle la France.
Si l’immeuble avait appartenu à un député, vous pariez combien que les parasites ne seraient pas rester 24 heures.
Le DAL merci Borloo et à la Duflot entre autres qui ont instauré le droit à la violation de domicile avec la complicité de la « justice » et des représentants de l’État. Il faut faire la chasse aux criminels chasseurs de biens qui violent le droit constitutionnel à la propriété.
Bonjour,
C’est tout un système.
La première ligne de Gauchos (Océan Viking) organise l’invasion.
La deuxième ligne de Gauchos (DAL) hurle à l’absence de logements, de prestations sociales.
En dernière instance, ça leur fait des électeurs donc des postes de députés.
Que serait la LFI sans ses électeurs musulmans ?
Pas grand-chose …
100% d’accord , et leur dérouiller la gueule , mais je ne suis pas certain qu’ils comprennent ces crétins ,ces violeurs de propriétés ont leurs cerveaux limités par le formatage gauchiasse .
L’histoire de ce squat organisé ressemble assez à celui que Darmanin est allé officialiser à Mayotte. Il a ordonné la destruction des bidonvilles qui servent de Q. G. aux bandes d’illégaux pourrissant la vie aux autochtones, et la construction d’autant de logements neufs que de demandeurs ! Mais leur expulsion n’est pas possible : l’U. E. nous l’interdit. A nous donc de payer la démolition, la construction et la livraison clés en mains, le mobilier et les commodités, l’entretien, le mode d’emploi et les services sociaux pour l’accompagnement personnalisé, les écoles (coraniques, il va de soi), et la réclame auprès des populations de la région : « arrivez illégalement, la France vous régularise « . Au fou !
Quand tu vois ça, des envies de meurtres te traversent l’esprit…
Qu’il résilie ses contrats de gaz, d’eau, d’électricité serait judicieux.
Bonne idée!! Hélas il n’a pas le droit carl’immeuble est habité .
Moi je l’aurais fait quand même, jusqu’à ce que les imposteurs libèrent les lieux. Il y a des moments où il faut savoir sortir des sentiers battus pour obtenir gain de cause.
C’est même parfois le seul moyen. La « loi » n’est faite que par les hommes et n’est pas une Vérité avec un grand V et la Justice peut être ailleurs.
Oui mais ayant du bien
C’est vous que l’on va attaquer et donner tord en vous faisant payer des indemnités en plus…..
L’immeuble est avant tout volé.