Peut-on qualifier les journaleux Chartier et Sternberg de collabos ? Oui !

Les petits journaleux ci-dessus, inconnus de tous, dont tout le monde se fout, et qui ne valent assurément pas la peine de se salir les mains en les menaçant de mort ( bon sang ! s’il y avait des tueurs de journalistes quelque part en France, ils iraient pas gâcher leur vie en s’en prenant au menu fretin du Poher, c’est une certitude absolue). Bref, les zozos se font mousser et essaient d’exister en inventant des menaces ridicules et ils brament qu’en publiant leurs photos (publiques puisque on les trouve facilement sur le net) on les mettrait en danger. C’est mon jour de bonté, alors, hop ! Un petit carré blanc sur leurs yeux, histoire de cacher ces gueules que je ne saurais voir.

Christine Tasin

Décidément, les journalistes de l’hebdomadaire gaucho breton « Le Poher » (tiré à 6 000 exemplaires), savent se faire de la publicité gratuite. Ils sont allés à nouveau pleurnicher auprès de leurs amis de Libération Macé et Plottu, des antifas déguisés en journaleux, qui leur ont concocté un article manipulateur et geignard, pour mieux les victimiser. Quelques exemples de ce texte…

Tout commence le 31 octobre. Bernard Germain publie sur le site islamophobe Résistance républicaine un billet attaquant un article que vient de publier le Poher. «Torchon d’extrême gauche», «collabo» (comprendre : avec l’immigré, ennemi désigné de l’extrême droite), «nervis à la solde de Macron et des mondialistes immigrationnistes»… tout y passe sous la plume de ce candidat Reconquête dans les Côtes-d’Armor aux dernières législatives. Dans la foulée, le 5 novembre, Erwan Chartier est en reportage à Callac pour couvrir la mobilisation anti-immigrés de l’extrême droite. Des manifestants le prennent à partie et les forces de l’ordre doivent le protéger. Quelques jours plus tard, la version imprimée du billet de Bernard Germain est envoyée anonymement à la rédaction du Poher. C’est le choc pour le rédacteur en chef ainsi que l’auteure de l’article visé, Faustine Sternberg, et toute l’équipe. «Par mon histoire familiale et celle de ma journaliste, il nous est inacceptable d’être qualifiés de “collabos”», souligne Erwan Chartier. Une première plainte, pour diffamation, est déposée contre Bernard Germain et Christine Tasin, qui dirige Résistance républicaine.

Nous avons déjà exprimé nous doutes quant à la réalité de cette agression, dont personne n’a parlé à l’époque. Cela continue de gémir par la suite de cet article, qui sent bon l’oeuvre des délateurs professionnels.

Cette deuxième plainte provoque de nouveau l’ire de la fachosphère. Plusieurs nouveaux billets de blog sont publiés sur Résistance républicaine ainsi que sur Riposte laïque, un autre blog de la fachosphère tenu par Pierre Cassen, le compagnon de Christine Tasin. Les esprits s’échauffent. Le 8 février, l’identitaire Roland Hélie, ex-FN et ancienne plume de National-Hebdo, diffuse sur Riposte laïque un texte dans lequel il cible nommément Erwan Chartier et Faustine Sternberg, publiant même leurs photos. Le même jour, quelques heures après cette publication, la comptable du Poher reçoit donc l’appel menaçant lui promettant «une balle dans la tête». Au total, ces sept derniers jours, plus d’une demi-douzaine de billets véhéments ont été diffusés par les deux sites islamophobes.

Eh bien, puisqu’ils veulent de la pub gratuite, on va leur en donner ! Notons d’abord, avec leur grande subtilité, que les complices de Libé et du Poher essaient de faire passer les résistants de Callac pour les instigateurs et les responsables des menaces de mort qu’ils recevraient. Approfondissons le contexte dans lequel se déroule cette grande campagne des pleureuses de gauche. Le régime a décidé de cibler la mouvance patriote, qu’il qualifie bien sûr d’extrême droite. L’islamo-collabo, par ailleurs alcoolique, Aurélien Taché, député Nupes, veut lancer une mission parlementaire contre les prétendues violences d’extrême droite. Le pouvoir menace CNews de ne pas renouveler leur fréquence. Et le chef de la DGSI relaie cette campagne. Cela fait beaucoup…

https://www.fdesouche.com/2023/02/16/le-patron-de-la-dgsi-met-en-garde-contre-des-menaces-nombreuses-ultradroite-terrorisme-sunnite-ingerences-etrangeres/

On comprend ensuite, dans l’article de Libération, que pour Erwan Chartier et Faustine Sternberg, afficher leur photo serait proche du délit. Passons sur cette touchante démonstration de modestie. Mais il est intéressant d’approfondir la phrase, mise en gras, «Par mon histoire familiale et celle de ma journaliste, il nous est inacceptable d’être qualifiés de “collabos”». On peut donc comprendre que, parce qu’ils se disent juifs, on n’aurait pas le droit de qualifier ces journalistes de « collabos », alors qu’eux se permettent de traiter d’extrême droite, de raciste, de fasciste, voire de nazi, tous leurs opposants, tous ceux qui ne pensent pas comme eux. Or, dans l’imaginaire collectif, toutes ces insultes classent ceux qui les subissent dans le camp des collaborateurs du régime nazi, dans les années 1940. Y compris quand on s’appelle Éric Zemmour, régulièrement insulté par la caste médiatique, qui le qualifie, bien que juif, comme l’héritier du régime vichyste.

Que répondre à cela ? Plus grand monde ne conteste que 6 millions de juifs ont été tués par les nazis. Mais il est aussi incontestable que des juifs ont collaboré avec ces mêmes nazis, le père de Schwab en est l’exemple le plus flagrant.

 

Les judentrats, dénoncés par Hannah Arendt, prouvent également que les choses sont parfois plus compliquées qu’une vision manichéenne de l’Histoire.

https://www.cairn.info/revue-d-histoire-de-la-shoah-2006-2-page-379.htm

D’autres exemples existent, même si, heureusement, ils ont été minoritaires, pour montrer, historiquement, qu’on peut être juif et avoir collaborer avec les nazis.

https://journals.openedition.org/cmc/340

Une fois ce détail précisé, approfondissons la question du mot « collabo ». Il désigne, en France, ceux qui ont participé au régime de Vichy, sous occupation allemande. Rappelons juste que la France avait perdu la guerre, et que les nazis occupaient notre pays.

Aujourd’hui, notre mouvance, et d’autres, qualifient de « collabos » ceux qui, comme Erwan Chartier, Faustine Sternberg, et tous les journaleux, politicards et autres immigrationnistes, soutiennent et favorisent l’invasion migratoire, majoritairement africaine et musulmane, que nous subissons.

Nous considérons donc, par la lecture du monde qui est la nôtre, que les Plottu, Macé, Chartier et Sternberg ne sont aucunement des résistants – à quoi résisteraient-ils, ils sont du côté du manche ? –  mais bien les héritiers de Déat et Doriot, venus de la gauche, qui ont basculé dans la collaboration, et qui eux, avaient l’excuse, que n’ont pas ces médiocres plumitifs, de vouloir lutter, à tort ou raison, contre le communisme, avec par ailleurs des milliers d’Allemands présents sur notre sol.

Donc, que Chartier et Sternberg soient juifs (puisque Chartier le laisse entendre) ne change rien, et ne nous intimidera pas, au point de ne pas qualifier ces pleurnicheurs de « collabos ».

Toute cette caste journalistique, épinglée tous les ans par Jean-Yves Le Gallou dans « Les Bobards de l’Info » ne sont que des propagandistes, grassement subventionnés, du Nouvel Ordre Mondial, qui, pour briser l’identité des peuples, leur imposent une immigration mortifère. Ils n’ont que mépris, haine et insultes pour notre peuple et ses habitants historiques. Mais ils ont les yeux de Chimène pour des envahisseurs, aux antipodes de nos valeurs, qui se comportent trop souvent des barbares, et accélèrent la destruction de notre pays. C’est parce que des militants politiques comme eux, déguisés en journaleux, insultent et menacent ceux qui, comme à Callac, refusent le village africain que le projet Horizon voulait leur imposer, que la majorité des Français, terrorisés par la crainte d’être qualifiés de « racistes », se tait. Ils sont les nervis des maîtres du monde, leurs cerbères, leurs agents de propagande. Comble de l’infamie, nombre de ces journaleux, à l’image d’un Askolovitch, se servent de leur origine juive pour intimider quiconque oserait contester leur vision du monde, en leur faisant le coup de l’antisémitisme. Avec Riposte Laïque, qui soutient Israël face aux islamistes palestiniens, cela ne marche pas !

Erwan Chartier et Faustine Sternberg, ces pleureuses professionnelles, qui prétendent défendre la déontologie et l’intégrité physique des journalistes, n’ont pas un mot quand leur confrère, indépendant, Léopold Jimmy, 59 ans, d’origine asiatique, est agressé à vingt contre un par leurs amis antifas de la « Jeune Garde », dans les rues de Paris. Il aurait pourtant pu y perdre la vie, comme il l’explique dans cet entretien d’une heure que lui a accordé Vincent Lapierre, qui était présent à Callac et y a fait un vrai travail de journaliste.

Chez les petits bobos journaleux de gôche, on a l’indignation sélective.

Lynché par les antifas à la manifestation contre la réforme des retraites, ce journaliste indépendant témoigne (breizh-info.com)

Autre agression subie par Léopold, dans l’indifférence d’une profession pourrie et conformiste. Rappelons qu’il en est à six attaques d’antifas dans les rues de Paris.

 

Même silence des collabos quand Vincent Lapierre, autre journaliste indépendant, qui réalise l’entretien, a été agressé à Toulouse, toujours aussi courageusement, à dix contre un.

Léopold Jimmy a un courage et un professionnalisme exceptionnels. 59 ans, déjà agressé six fois, dans un silence complice de l’ensemble des médias du système.

Dans une de ses dernières vidéos, Pierre Cassen parlait de l’indécence des mecs de gôche qui se disent menacés de mort.

https://pierrecassen.com/2023/02/09/lindecence-des-mecs-de-goche-qui-se-disent-menaces-de-mort/

Que pèse une menace téléphonique, aussi stupide et insupportable soit-elle, à côté des risques pris par Vincent Lapierre, Léopold Jimmy et tous ceux qui sont la cible des copains de Chartier et Sternberg ? Eux risquent vraiment leur vie dans chaque reportage qu’ils tournent, et ils sont d’un autre calibre que les serviles cartes de presse de Paris ou du Poher.

Ceux qui risquent vraiment leur vie sont ceux qui condamnent l’islamisation de notre pays, et expliquent que l’islam est incompatible avec nos valeurs. Certainement pas les lèche-babouches et les islamo-fellateurs qui pullulent dans les salles de rédaction.

Vincent Lapierre et Léopold Jimmy sont de vrais journalistes, quand trop d’autres, à l’image des scribouillards du Poher, ne sont que des commissaires politiques de la bien-pensance, des balances et des pleureuses.

Martine Chapouton

https://ripostelaique.com/peut-on-qualifier-les-journaleux-chartier-et-sternberg-de-collabos-oui.html

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10 Commentaires

  1. Ils sont ridicules de se poser en victimes alors qu’ils n’ont jamais été inquiétés physiquement, contrairement aux vrais journalistes comme Jimmy ou Lapierre.

    Ils sont vexés d’être traités de collabos, et néanmoins, c’est ce qu’ils sont .
    Ils sont les soutiens du Pouvoir, contre le peuple, et en vue de l’invasion et l’islamisation de notre France, Bretagne compris.
    Gauchiasses qui collaborent étroitement avec l’ennemi.

  2. Erwan Chartier et Faustine Sternberg sont des collabos et des immigrationnistes forcenés s’en prennent aux patriotes Français qui sont opposer à l’immigration en se victimisant et en faisant du chantage au racisme auprès de leurs potes Islamo Gauchistes de Libération Macé le Pestiféré et Pierre Plotu un obsédé de la prétendue Extrême Droite dont il recherche même l’existence dans ses excréments lançaient une campagne de dénigrement contre Messieurs Cassen et Hélie sans oublier Me Tassin parce qu’ils n’adhèrent à leur idéologie sans frontiériste surtout que les Journalistes du Poher ne soutiennent pas leur collègue indépendant comme Vincent Lapierre qui se faisait agressé par les Antifas les copains de Chartier et de Sternberg la Pisseuse Gauchiste diabolique !

  3. Merci pour ce bel article, courageux, nous sommes là dans le réel, pas dans l’indécence !
    il devrait être lu par beaucoup afin de rétablir la vérité .

  4. La violence, qu’elle soit physique ou qu’elle soit verbale est insupportable, et les menaces de mort ne remplaceront jamais les débats d’idées dans une démocratie.

    • La démocratie, c’est l’art de faire croire au peuple qu’il gouverne. C’est ce que font nos élites depuis toujours. Malheureusement pour eux, le monde a changé. Et quand on ne veut plus écouter le peuple, celui-ci n’a plus que la violence pour se faire entendre. La surdité est une forme de violence, peut-être la pire.

    • Encore faut il que certains aient des idées. Avec un QI de moule avariée ça pique

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