Avec Ersilia Soudais, l’Assemblée a fait un pas de plus vers l’indignité

Nous pensions avoir tout vu, en matière de déchéance parlementaire, avec l’arrivée à l’Assemblée nationale d’un certain nombre de parlementaires indignes de leurs fonctions (Rousseau, Boyard, Panot), qui trouveraient plus naturellement leur place dans un hôpital psychiatrique pour la première, dans un cirque pour le second, et la Criée de Brest pour la dernière.

C’était là amplement sous-estimer la richesse du vivier de l’extrême gauche. Il y a quelques jours, nous découvrions, stupéfaits, un nouveau spécimen qui mérite le détour, en la personne de Ersilia Soudais, député de La France Insoumise.

Cette femme, qui n’a que 34 ans, mais qui en paraît 10 de plus, s’approche du micro, arborant une tenue indigne pour un député, à savoir un jean et un T-shirt à l’effigie de ce qui semble être un groupe de Hard Rock. Soudais est, paraît-il, professeur certifié de français. Nous sommes en plein débat parlementaire sur la réforme des retraites ; nous sommes donc en droit d’attendre des interventions pertinentes vu l’importance de l’enjeu.

Les yeux rivés sur une feuille de papier, elle commence à ânonner son discours, avec une voix de crécelle insupportable, semblable à Cécile Duflot. Tout le monde espère secrètement que l’intervention sera la plus courte possible. Visiblement, les nouveaux professeurs de français certifiés ne sont  même plus capables de s’adresser naturellement à un auditoire ; il n’est donc plus nécessaire de se demander pour quelle raison l’école publique est devenue, au fil des ans, une usine à analphabètes.

Dès les premières secondes de son intervention, cette pauvre femme est déjà à bout de nerfs et au bord des larmes, sans que rien ne justifie cet état de fait. Elle a visiblement de gros problèmes psychologiques, et on ne peut que souhaiter qu’elle ne se retrouve jamais à enseigner dans un établissement scolaire dit « difficile », euphémisme utilisé pour décrire les collèges et lycées dont les effectifs sont composés de toutes les chances pour la France, que LFI rêve de voir se substituer à la population de souche.

Elle commence très fort, en mentionnant Stakhanov, le héros de la productivité soviétique, qui selon Soudais, serait le symbole de l’exploitation des ouvriers par le grand capital… Rappelons que Stakhanov, mineur qui aurait paraît-il extrait 102 tonnes de charbon en 6 heures, était devenu le symbole du productivisme soviétique, et non capitaliste. Rappelons aussi, que ce même Stakhanov était un ami du fils de Staline, et qu’il est rapidement devenu un apparatchik bénéficiant d’un niveau de vie très au-dessus du soviétique moyen de l’époque. Il a terminé ses jours dans un hôpital psychiatrique, comme tous les apparatchiks tombés en disgrâce. Quoiqu’il en soit, il est clair qu’il n’y a aucun sens à comparer le destin de Stakhanovavec celui des ouvriers français exploités et sous-payés par des multinationales, si là était son intention. Le problème des ouvriers français réside d’ailleurs plus dans le spectre du chômage, de la délocalisation des usines et de la désindustrialisation de la France que de la surexploitation de leur force de travail par le grand capital.

La député Soudais poursuit ensuite son intervention en convoquant le philosophe anglais Hobbes dans le débat, et la fameuse phrase tirée de son ouvrage « Léviathan » : « L’homme est un loup pour l’homme », qu’elle pense illustrer la réalité de l’exploitation des salariés par les entreprises. Malheureusement pour elle, Hobbes, qui vivait au 17e siècle, n’a jamais utilisé cette phrase (dont d’ailleurs il n’est pas l’inventeur) dans ce but. Elle ne peut évidemment pas le savoir, étant donné qu’elle ne l’a probablement pas lu. Il fut un temps, pas si lointain, où le CAPES de français était encore un concours de haut niveau, et qui n’était pas accessible à tout le monde. Apparemment, ce temps est révolu.

La fin de l’intervention de la député Soudais fait peine à voir. Cette dernière, lessivée, ne parvient que difficilement à contenir ses larmes, et son intervention se termine sans que personne n’ait réellement compris où elle voulait en venir. Elle finit par jeter violemment le micro sur le côté, affichant une mine boudeuse d’enfant mal éduquée, qui n’est pas sans rappeler la fausseté de la Greta Thunberg des grands jours.

Avec Soudais, l’Assemblée nationale a fait un pas de plus vers l’indignité. Après les incompétents, après les adeptes de la logorrhée, voici venu le temps des députés à la cervelle de moineau et au système nerveux déficient, qui tentent de masquer leur insuffisance par des crises de colères infantiles.

Il semble que les parents de l’intéressée avaient dès sa naissance conscience de ce qu’ils avaient engendré, et c’est probablement la raison pour laquelle ils ont choisi le prénom Ersilia. En effet, l’ersilia est un mollusque, plus précisément un gastéropode, qui se trouve être également… un parasite.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que son prénom lui va à ravir.

Alain Falento

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5 Commentaires

  1. Ersilia Soudais c’est la Peggy la Cochonne de l’islamo Gauchisme qui fait honte à l’Assemblée Nationale comme ses congénères Islamo Gauchistes Sardine Rousseau , Louis Bobard le maître chanteur de C8 , Panot la grosse Poularde Bobo , Portes le Toxico Gaucho , Moustique Caron le Bobo Cancéreux ou encore Bilongo et j’en passe sont des Racailles Gauchos Mondialistes qui obéissent à Macronor mais qu’ils représentent rien aux yeux des Français !

  2. 1ère remarque : pas très affriolantes et fort grassouillettes, les nanas du Méchancon procréoliste. Et la pensée au même niveau que le physique : adipeux, répugnant.

    2ème remarque : quel rapport avec Stakhanov et les soviets de la belle époque de Joseph, le PPP (Petit Père du Peuple) ?

  3. Stakhanov avait accompli son exploit en faisant bosser des mineurs à sa place. L’exploit était truqué. Ils s’y sont mis à plusieurs. Il n’a jamais été exploité, sinon qu’il a bien exploité son exploit. Je ne savais pas que l’URSS était un pays capitaliste. On en apprend tous les jours…

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