Xavier Driencourt: «L’Algérie s’effondre, entraînera-t-elle la France dans sa chute?»

 

 

 

Il est plus qu’urgent pour la France de se séparer, RADICALEMENT, de l’Afrique et de l’Algérie en particulier.

Soyons cyniques comme ce continent l’est avec nous.

Cette Afrique  ne pèse pratiquement  rien dans  la somme de nos échanges internationaux :la part de nos échanges commerciaux avec l’ensemble du continent africain est de 5,3% en 2021.

Même Bolloré, que Plenel et sa clique gauchiste  présentent  comme un pillard massif  de l’Afrique, l’a compris : il quitte l’Afrique.

Plenel a perdu un hochet et Bolloré a gagné une libération !

Nos intérêts économique  bien compris sont ailleurs, ils sont désormais en Asie.

Seulement ces pays africains, l’Algérie en tête,  risquent fortement de nous entraîner dans leur catastrophe interne.

C’est ce que rappelle notre  ex-ambassadeur à Alger  dans la tribune qui suit.

Du Figaro :

 

TRIBUNE – La répression qui s’est abattue sur le pays, répression élaborée et mise en œuvre par une armée qui ne cesse de glorifier les combats contre la France, «ennemi éternel», a fini par avoir raison des espoirs mis un temps dans le Hirak pour une démocratisation du pays.

Xavier Driencourt est diplomate. Ancien directeur général de l’administration du Quai d’Orsay, chef de l’Inspection générale des affaires étrangères, il a été ambassadeur de France à Alger à deux reprises, entre 2008 et 2012, puis entre 2017 et 2020. Il a publié un livre retraçant son expérience: L’Énigme algérienne. Chroniques d’une ambassade à Alger (Éditions de l’Observatoire, 2022).

Cela fait maintenant trois ans qu’en Algérie Abdelmadjid Tebboune a été élu président de la République. Trois ans et, à Alger, on pose la question d’un deuxième mandat. Quel bilan de cette présidence, quelles leçons en tirer pour la France? Mon amitié pour l’Algérie comme mon respect pour le peuple algérien m’obligent à rappeler quelques évidences sur la réalité politique, les illusions françaises et les conséquences de celles-ci.

S’il fallait résumer brièvement et brutalement la situation, je dirais que l’«Algérie nouvelle», selon la formule en vogue à Alger, est en train de s’effondrer sous nos yeux et qu’elle entraîne la France dans sa chute, sans doute plus fortement et subtilement que le drame algérien n’avait fait chuter, en 1958, la IVe République.

La réalité algérienne n’est en effet pas celle qu’on nous décrit: le régime corrompu de Bouteflika est tombé en 2019, et, après des soubresauts, comme dans toute révolution, l’Algérie issue du «Hirak béni» serait, nous dit-on, progrès, stabilité et démocratie.

Or tous les observateurs objectifs constatent que depuis 2020, après peut-être quelques semaines d’espoir, le régime a montré son vrai visage: celui d’un système militaire (formé, on l’oublie, aux méthodes de l’ex-URSS), brutal, tapi dans l’ombre d’un pouvoir civil, sans doute autant affairiste que celui qu’il a chassé, obsédé par le maintien de ses privilèges et de sa rente, indifférent aux difficultés du peuple algérien.

La répression qui s’est abattue sur le pays, répression élaborée et mise en œuvre par une armée qui ne cesse de glorifier les combats contre la France, «ennemi éternel», a fini par avoir raison des espoirs mis un temps dans le Hirak pour une démocratisation du pays.

Sont aujourd’hui dans les prisons algériennes non seulement les politiques, fonctionnaires et militaires liés à l’ancien régime – et auxquels l’Armée nationale populaire doit son statut actuel -, mais aussi les journalistes qui ont eu le tort d’écrire des articles hostiles ou réservés sur le régime, et ceux qui, naïvement, ont posté sur les réseaux sociaux un jugement ou une opinion dissidente.

Le Covid, dès mars 2020, avait permis à l’armée de commencer le nettoyage politique ; les circonstances internationales, la guerre en Ukraine lui ont permis de mettre définitivement le pays au pas.

On n’a pas idée en France de ce qu’était la presse algérienne, résistante pendant la guerre civile, martyrisée par les islamistes, ironique, critique et sardonique sous Bouteflika, souvent audacieuse dans son jugement.

Aujourd’hui, elle est muselée, les journalistes arrêtés ou privés de leur passeport, les journaux comme Liberté fermés, El Watan mis sous tutelle et, fin décembre, alors que les chancelleries occidentales réveillonnaient, c’est le dernier carré, Radio M. et le site Maghreb émergent qui sont interdits, tandis que leur directeur, Ihsane el-Kadi, était arrêté dans la nuit. Samedi 7 janvier, c’était au tour du site AlgériePart d’être accusé de recevoir des fonds de l’étranger pour diffuser des fake news afin de «déstabiliser le pays».

Des associations comme Caritas, fondé par l’Église catholique avant 1962, sont dissoutes, d’autres accusées de recevoir des fonds de l’étranger.

L’étranger, c’est-à-dire la France. Le discours antifrançais qui, sous Bouteflika était opportuniste et parfois maladroit, est aujourd’hui la matrice du système.

La force de ce régime est de faire croire au monde que l’Algérie n’est peut-être pas une démocratie à l’occidentale, mais qu’elle s’achemine, selon ses moyens propres, vers un système un peu autoritaire, gentiment policier, mais sans jamais être une dictature.

Mais le génie de ce système est surtout d’avoir fait avaler cette fable à ceux qui sont censés les mieux connaître, les Français.

Nous croyons connaître l’Algérie parce que nous l’avons colonisée, mais l’Algérie nous connaît et nous possède bien davantage. 2023 sera, après les voyages officiels de l’année dernière, le temps de l’euphorie, avec, à la clef, une visite d’État du président algérien ; mais soyons sans illusion: à l’aube d’une élection présidentielle algérienne, 2024 verra inéluctablement une nouvelle crise, tant le discours antifrançais est le levain d’une campagne électorale réussie.

Croire à Paris qu’en allant à Alger, en cédant aux Algériens sur les dossiers qui leur sont chers, mémoire et visas, nous les gagnerons à notre cause et les amènerons vers plus de coopération est un leurre

Par confort ou opportunisme, mais surtout par aveuglement, à Paris, nous fermons les yeux sur la réalité algérienne ; nous faisons mine de croire que le pouvoir algérien est légitime à défaut d’être démocratique, que le discours antifrançais est un mal nécessaire mais transitoire, que la démocratie est un apprentissage qui prend du temps.

Notre aveuglement est une erreur historique: croire à Paris qu’en allant à Alger, en cédant aux Algériens sur les dossiers qui leur sont chers, mémoire et visas, nous les gagnerons à notre cause et les amènerons vers plus de coopération est un leurre.

Les militaires qui dirigent le pays n’ont pour leur part ni état d’âme ni scrupules quand il s’agit de la France: là où nous voyons un discours rationnel et des arguments cartésiens, eux voient inconsistance, naïveté, méconnaissance du système, et pour tout dire angélisme.

J’imagine les regards échangés lorsque, après le départ de nos dirigeants, conférence de presse expédiée et communiqué signé, ils reviennent à leurs occupations avec le sentiment d’avoir, une nouvelle fois, embobiné leur partenaire par un discours culpabilisateur.

Ligne de fermeté

Je dois ici rendre hommage au président de la République, qui, en octobre 2021, avait tenu des propos percutants alors rapportés par le journal Le Monde: «une histoire officielle réécrite par Alger construite sur la haine de la France», «la rente mémorielle», «un système politico-militaire fatigué» : il avait alors fait preuve d’une lucidité qu’aucun de ses prédécesseurs n’avait affichée.

Mais pourquoi diable, quelques semaines plus tard, se précipiter à Alger et tenir aux Algériens les phrases qu’ils attendaient sur mémoire et immigration?

Pourquoi diable envoyer dans la foulée le premier ministre flanqué de quinze ministres qui, pour s’occuper, ont visité le cimetière chrétien déjà parcouru par le président et le Lycée français?

Pourquoi ne pas s’en tenir à une ligne de fermeté, la seule que l’Algérie comprenne, le rapport de force, plutôt que l’angélisme.

Tout ceci serait simplement triste si les conséquences de cette sinuosité politique n’impactaient pas la France: l’Algérie va mal, beaucoup plus mal que les observateurs ou les rares journalistes autorisés le pensent ; 45 millions d’Algériens n’ont qu’une obsession: partir et fuir.

Partir où, si ce n’est en France, où chaque Algérien a de la famille?

On ne compte plus aujourd’hui ceux qui demandent un visa dans le seul but de ne faire qu’un aller simple, c’est-à-dire de rester d’une façon ou d’une autre en France avec l’espoir d’être un jour régularisé.

Les choix désastreux de 1962, la crise économique, la corruption née de la rente pétrolière, le découragement non seulement des élites des grandes villes du Nord, mais aussi du peuple des campagnes et de l’Algérie profonde, découragement stimulé par la générosité de la France, font qu’à ce rythme-là peu de gens resteront en Algérie.

Le prix de notre aveuglement ou de nos compromissions s’appellera donc immigration massive, sans rapport avec ce qu’elle est aujourd’hui, islamisme conquérant, ghettoïsation de nos banlieues, repentance mémorielle.

La France fait face à un double paradoxe: d’une part celui de l’alliance, autrefois contre nature, entre une armée antifrançaise et des islamistes qui nous détestent, les deux ayant en commun la haine de la France et la ferme volonté d’éradiquer les survivances linguistiques ou culturelles de la colonisation tout en nous faisant payer, par l’émigration et les excuses, le prix de notre passé colonial ; le second paradoxe est celui, soixante ans après l’indépendance algérienne, de traîner toujours et encore le problème algérien auquel précisément les accords d’Evian devaient mettre fin.

L’Algérie, en ce sens, a gagné le combat contre l’ancien colonisateur: elle reste un problème pour la France, elle s’effondre, mais risque d’entraîner Paris dans sa chute. La IVe République est morte à Alger, la Ve succombera t-elle à cause d’Alger?*

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24 Comments

  1. Réponse du Dr Bensaada à Driencourt

    Non, M. Driencourt. La France n’a pas besoin de l’Algérie pour s’effondrer, comme vous l’avez beuglé dans votre récent article. Avec des diplomates comme vous, elle sombre toute seule, sans assistance aucune
    Il faut juste admirer les « succès » diplomatiques de la France pour s’en rendre compte: un désastre en Ukraine, une débâcle au Sahel, un camouflet en Australie, et j’en passe…..

    https://www.mondialisation.ca/m-driencourt-avec-des-diplomates-comme-vous-la-france-na-pas-besoin-de-lalgerie-pour-seffondrer/5673971

  2. Cela fait 60 ans qu’ils entretiennent la haine anti France.
    Nous devons dénoncer les accords d’Alger, et refuser tout visa aux Algériens, mettre en place la remigration des excités qui brandissent leur drapeau à chaque occasion de commettre de la casse contre nos rues , poubelles, voitures et boutiques.

  3. En 1962 ;les deux pays d’Afrique les plus évolués étaient l’Algérie et l’Afrique du sud . Depuis les français sont partis d’Afrique du Nord et les africaners partent d’Afrique du sud quand ils ne sont pas persécutés et éliminés ;ou émigrés. En 62; la Corée du sud était au même niveau que ces deux pays ……On voit ce qu’elle est devenue en 2023…Un pays d’excellence ! No comment !!

  4. Il n’est pas nécessaire de sortir des hautes écoles pour savoir que l’Algérie entrainera la France dans sa chute, et pour plusieurs raisons. La preuve ?… dans peu de temps !

  5. En 1962 l ‘algérie était plus riche que la Corée
    j ‘ai appris cet été que l ‘ARKANA de Renault était fabriqué par SAMSUNG ( avec des pneus coréens ) classe supérieure à la CAPTUR

  6. M. Driencourt se prend pour Mme Irma maintenant !
    L’explication est simple ,: Il se venge contre l’Algérie parce qu’en 2020, il a été trop loin dans ses ingérences dans les affaires intérieures de l’Algérie ce qui a amené le gouvernement algérien à demander son départ, demande qui a été satisfaite aussitôt.
    Pourtant quelques années auparavant voici ce qu’il disait des propos de Bajolet son prédécesseur qui doutait de la légitimité du président Bouteflika :
    « Il ne faut pas ajouter de l’huile sur le feu, bien au contraire, les relations algéro-françaises ont besoin d’un apaisement ».

    • Énoncer les faits c’est du réalisme, pas une vengeance !

      Retournez vivre avec vos amis algériens dans le bled, et laissez nous savourer cette pertinent analyse qui devrait conduire à limiter sans délai le nombre de visas accordé à ce pays. Mais avec Moussa comme chef de la Police française …

      • Quels faits ? Que l’Algérie est sur le point de s’effondrer ? J’y vis et je n’ai pas absolument l’impression que mon pays est en quelconque danger. Au contraire, et comme disait un poète arabe, les malheurs d’un peuple sont une bénédiction pour un autre.Depuis le début de la guerre en Ukraine, l’Algérie est de plus en plus sollicitée pour remplacer la Russie dans la fourniture de gaz à l’Europe
        M.Driencourt devrait plutôt s’inquiéter d’un effondrement chez lui en France gagnée par le chaos, à la limite de l’explosion sociale, gangrenée par les division, la pauvreté qui s’amplifie, la violence, les divisions, et autres malheurs. La France vit dans la crainte des coupures d’électricité au moment où le pays dont on prédit l’effondrement en produit en quantités et cherche même exporter son surplus. Alors, pays sur le point de s’effondrer ?

    • Réponse du Dr Bensaada à Driencourt

      Non, M. Driencourt. La France n’a pas besoin de l’Algérie pour s’effondrer, comme vous l’avez beuglé dans votre récent article. Avec des diplomates comme vous, elle sombre toute seule, sans assistance aucune
      Il faut juste admirer les « succès » diplomatiques de la France pour s’en rendre compte: un désastre en Ukraine, une débâcle au Sahel, un camouflet en Australie, et j’en passe…..

      https://www.mondialisation.ca/m-driencourt-avec-des-diplomates-comme-vous-la-france-na-pas-besoin-de-lalgerie-pour-seffondrer/5673971

  7. « …Je dois ici rendre hommage au président de la République, qui, en octobre 2021, avait tenu des propos percutants…quelques semaines plus tard, se précipiter à Alger et tenir aux Algériens les phrases qu’ils attendaient sur mémoire et immigration?… » Parce que notre Trou-Du-Cul fonctionne comme le coran, la moitié des versets abrogeant l’autre moitié. Chez nous, on ne dit pas le coran on dit  » en même temps  » … mais c’est la même merde !

  8. Ah elle est belle leur indépendance, quel peuple de bons à rien mais ça ne les empêchent pas de continuer à nous faire des reproches, évidemment ils ne savent faire que ça, il faut bien mettre la faute de leur incompétence sur quelque chose et la France nourricière est toute trouvée pour ça, débarrassons-nous de ce pays de merde, une bonne fois pour toutes et le plus vite possible.

  9. Laissons ce pays s’enfoncer dans la m. qui est l’élément dans lequel ces fanatiques se complaisent et prospèrent. Un de mes cousins est mort là-bas, torturé à mort par le FLN. Je n’oublie pas et ne pardonnerai jamais.

  10. J’espère que cet excellent article va tous vous faire réaliser la chose suivante :

    La destruction du pays France par « procuration » !! en effet, le bulot le maire voulait « détruire l’économie russe », alors qu’il ne fait, par rebond, que détruire la nôtre …

    Eh bien, sur le plan sociétal, et physique surtout, pour ce pays de merde qu’est l’algérie, c’est la même chose : la dictature élyséenne se sert de ce pays pourri pour achever la France, par une invasion qui va littéralement exploser, accompagnée par le nouveau dictateur de France, enfin, depuis maintenant 6 années …

    je le réécris :
     » TOUT est fait pour ne laisser AUCUNE chance aux Français natifs & de coeur, d’avoir la moindre chance de survie !!!  »

    Ruine économique, insécurité, invasion, musulmerdisme, soins, éducation naze, et enfin PEURS par lobotomisation des masses …

    Pire que de la NITROGLYCERINE en bâton …

  11. l’Algérie nous fait du chantage mémorielle à propos de la colonisation et de la Guerre d’Algérie sans oublier qu’ils nous font une rente mémorielle pour masquer leur incompétence à la tête du pays puisque le FLN de notre cher Islamo Gauchiste d’extrême gauche Edwy Plenel est un fanatique n’est pas dans la mesure de diriger ce pays parce que c’est une Mafia qui est au pouvoir en Algérie. Il est important pour la France de se séparer voir de couper les ponts avec l’Algérie.

    • On a voulu créer un empire franco-arabe, on a créé un couple infernal sadomasochiste qui allait se déchirer sans pouvoir se séparer.

  12. Je ne sais pas si elle aurait gagnée contre le colonisateur mais en tout cas elle profite de sa position dans la guerre de l’énergie sur l’échiquier géostratégique mondial en veut pour preuve les aller et retour de Paris ,pas plus tard que ce matin elle veut imposer ses règles et voudrait faire signer des contrats long au prix du marché le gaz et se propose de tirer un câble sous-marin THT et de fournir L’UE sur le surplus en alimentation électrique,de fournir et de développer l’extraction de charbon en faisant appels aux investissements étrangers par voie officielle du PDG de la Cie nationale SONATRACH

    • Mais ce ne sont pas les entreprises françaises qui bénéficieront de cette manne venant d’Algérie. Par le passé, il y a eu préférence pour la France, mais c’est fini. D’autres pays dont la Chine, la Turquie, le Qatar ont pris la relève. La faute à qui ? Certainement pas à l’Algérie. C’est la faute à beaucoup de maladresses du côté français. M.Driencourt lorsqu’il etait ambassadeur à Alger avait pour amis les oligarques actuellement emprisonnés pour détournement de fonds, et lui même a été quasiment expulsé d’Algérie pour ses ingérences flagrantes dans la succession de Bouteflika parce qu!il voulait placer ses pions ! D’où sa rancune tenace contre l’Algérie.

  13. Bonjour, étant dans le train de bon matin, j’ai enfin le loisir de lire un long article. Merci pour ce partage sur un sujet passionnant comme toujours, Antiislam.

  14. Par où et par quoi le pouvoir algérien tient-il MACRON et DARMANIN ?

    Par l’argent, le sexe, le passé personnel ?

      • Et vous croyez que depuis 1962, l’Algérie n’a fait aucune découverte de pétrole ou de gaz ? Savez-vous comment les ingénieurs algériens appelaient dans les années 60 la CFP (Compagnie Française des Pétroles) qui exploitait les puits de pétrole en Algérie ? Can’t Find Petrol (Pas trouvé de pétrole) ! Parce que depuis 1962 aucun puits nouveau n’a été découvert. C’est avec la nationalisation des hydrocarbures en 1971 et l’arrivée de vos amis les Américains et le départ des Français que l’Algérie a pu développer ce secteur et que de nombreuses nouvelles découvertes ont été faites ! D’ailleurs les anciens puits de Hassi-Messaoud découverts du temps de la colonisation sont taris depuis longtemps !

        • Bonjour,

          Arzew et Hassi Messaoud, c’est, en partie, les ingénieurs de la boîte FRANCAISE de mon père qui ont supervisé les installations dans les années 70 (transfert de technologie).

          La boîte avait été fondée par des anciens de l’OAS.

          Sans cela les Algériens n’étaient capables de rien.

          Leurs élites ne pensaient qu’à piller.

          Mon père connaissait très bien le ministre du pétrole de l’époque, un ingénieur formé en FRANCE : un corrompu de première classe surtout.

          On leur faisait une pseudo fleur en les logeant à l’Aurassi où rien ne fonctionnait !

          Vous ne nous abuserez pas sur la situation de l’Algérie depuis 50 ans.

          Les 70% de jeunes algériens qui veulent fuir cet enfer parlent contre vous …

          Mais pour nous c’est BASTA !

          • Voyez-vous, c’est votre façon de toiser les gens de haut qui fait que vous êtes détestes un peu partout dans le monde, vous autres Français. Vous voulez donner des leçons aux gens alors que vous-même en avez cruellement besoin.
            La preuve de votre arrogance on la trouve dans votre commentaire : la boite de votre père est venue travailler en Algérie, non pas contre des espèces sonnantes et trébuchantes comme le ferait toute entreprise dans le cadre d’un contrat , mais non, l’entreprise de votre père est venue travailler en Algérie parce que les Algériens ne sont capables de rien. Et puis que diable vient faire en Algérie une entreprise créée par des anciens de l’OAS.
            Et vos élites à vous Monsieur, ce sont des anges ?

    • c’est la question que je me posais car comment , en si peu de temps, peut on changer de discours, même si s’est dans l’habitude de Macron d’être inconstant ! là il s’agit d’un pays, encore ennemi, pas d’un français qui devrait traverser la rue pour trouver un job !
      La question n’est pas posée par Driencourt, ce qui est surprenant, mais il y a bien quelque chose ! je pensais à l’énergie mais …

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