Le quotidien de Bernard Arnault, comme la Horde, pointe du doigt l’extrême-droite et donc, sans le dire, défend la pertinence de l’existence du jeu « Antifa ». Ça commence bien !
Depuis lundi soir, il est quasi introuvable tant les gens se l’arrachent. La rédaction du Parisien s’est procuré « Antifa », le jeu de société pointé du doigt par l’extrême droite qui a dans un premier temps été retiré des rayons de la Fnac lundi. Ça leur aurait arraché a gueule de parler de protestations de républicains, de patriotes, d’opposants aux gauchos, d’opposants aux antifas ? Alors que le député RN de Gironde Grégoire de Fournas et un syndicat de police se sont indignés que l’enseigne commercialise un jeu « mettant en avant les antifas, qui cassent, incendient et agressent dans les manifestations », nous avons ouvert la boîte afin de voir ce qu’il contenait vraiment. A première vue, oui, il y a(vait) de quoi émouvoir De Fournas et bien d’autres. A nous aussi ça a paru plus que douteux !
Des cartes, un dé, un objectif… la composition de ce jeu, réalisé par « La horde », un collectif qui propose « un point de vue antifasciste sur l’actualité », n’a rien d’extraordinaire et son fonctionnement se rapproche du jeu de rôle : vous jouez à plusieurs, dans la même équipe, devez réagir ensemble face aux imprévus et atteindre votre objectif. Sauf qu’au lieu d’incarner des elfes, des chevaliers ou des magiciens, vous êtes un groupe d’amis antifascistes et devez lutter contre les « exactions de l’extrême droite » dans votre ville. Chaque joueur incarne un membre du groupe : « Alex la tête brûlée », « Hannah la graphiste », « Martine la syndicaliste » ou « Nathan le geek ».» Bref, un jeu comme les autres, juste un mignon jeu de rôle permettant de s’entraîner à lutter « contre les exactions de l’extrême-droite ». Extrême-droite, extrême-droite, est-ce que j’ai une gueule d’extrême-droite ?
Votre joyeuse bande refait le monde tranquillement au son du « Temps des cerises » lorsqu’un « évènement » survient : des « cathos tradi » organisent « une manifestation contre l’IVG », « un humoriste complotiste et antisémite fait son show », « des fachos déclenchent une bagarre dans un bar » ou encore « la présidente du parti nationaliste » tient un meeting. Ben voyons ! Les antifas, joyeux et pacifiques… sont provoqués par les affreux, antisémites, anti-avortement, bagarreurs… tout cela renvoyé dos à dos avec la « crime » que constitue la tenue d’un meeting par un responsable politique qui ne serait pas gauchiste. Belle conception de la liberté d’expression…
Vous l’aurez compris, le jeu trouve sa source d’inspiration dans l’actualité jusque dans ses moindres détails. La présidente du parti nationaliste fictive est ainsi « l’héritière du parti fondé par son père », qui « tente d’offrir un visage plus présentable à l’extrême droite » mais « fait toujours des étrangers les boucs émissaires ». Ça vous rappelle quelqu’un ? Si le journaleux qui a écrit ce torchon n’est pas un gaucho militant, je veux bien être pendu !
Votre groupe d’antifas, doit maintenant organiser une riposte à l’évènement que vous avez tiré. Une séance de « collage d’affiches », un « blocage d’occupation » ou encore un « concert de soutien ». Rien de bien méchant hormis peut-être l’« action offensive », où il s’agit de « se procurer des vêtements noirs » et « préparer des cacatovs » (on nous explique qu’il s’agit d’un « équivalent soft » du cocktail molotov, à base d’excréments, popularisé au Venezuela). Ben voyons ! Rien que des gentils petits garçons, un peu farceurs….
Sauf que la vie n’est pas conciliante avec les antifas et des imprévus surviennent au cours de la partie. Au hasard : vous tirez la carte « extinction de voix »… Horreur ! Impossible de hurler « bella ciao » dans le micro. La carte « embrouille sur le marché » vous signale, elle, que « des fachos » vous ont provoqué lors d’une distribution de tracts. Vous perdez 1 point. D’autres imprévus peuvent, au contraire, donner un coup de pouce à votre bande comme la carte « cantine végane » : un « collectif » propose de vous cuisiner de bons petits plats « à prix libre ». Miam. Ils sont incurables, au Parisien…
Un militantisme assumé par les éditeurs
Au fil de la partie, votre groupe gagne ou perd des points de « moral » en fonction de votre capacité à réagir aux imprévus. Vous gagnez si le total des points de moral de votre bande d’antifas dépasse le chiffre inscrit sur la carte symbolisant l’action fasciste à laquelle vous devez répondre. C’est écrit noir sur blanc, le journaleux considère clairement que les fachos c’est les ennemis des antifas, c’est nous.
Il ne s’agit donc pas, comme l’a affirmé le député RN Grégoire de Fournas dans un tweet, de « tabasser un militant de droite » ou encore de « lancer un cocktail molotov sur les CRS » (le député a ensuite expliqué s’être montré ironique dans un second tweet NDLR). On comprend en revanche que le jeu a pu heurter les syndicats de police lorsqu’on lit la carte évènement intitulé : « Un jeune du quartier tué par la police ». « La colère et le deuil ont enflammé ce quartier populaire dans lequel la police, Bac en tête, aime à venir jouer les cow-boys », est-il écrit sur la carte. Bon, là c’est pas bien, ils auraient pas dû… on sent le journaleux embêté, il lui reste un fond de morale…Comment va-t-il sauver ses amis antifas sur le coup ?
Facile. En enfonçant la police, en donnant la parole à l’un des cofondateurs des éditions Libertalia, pour qu’il puisse défendre, expliquer, justifier…
« Il y a un problème avec la police dans notre pays et nous n’avons aucun problème à le dire », assume Nicolas Norrito, cofondateur des éditions Libertalia, qui impriment le jeu. « Certains policiers font bien leur boulot mais je ne vois pas le mal qu’il y a à dénoncer les abus », poursuit l’éditeur qui affirme être la cible de menaces et d’insultes depuis lundi.
Au-delà du simple jeu, « Antifa » a également une visée plus formatrice. Le manuel d’utilisation du jeu n’est pas seulement destiné à nous apprendre les règles mais nous remémore également le « calendrier antifa », qui nous rappelle par exemple qu’en janvier est organisée « la marche pour la vie », une manifestation annuelle contre l’avortement à l’initiative de collectifs réactionnaires ou encore l’anniversaire de la mort de Clément Méric, militant antifasciste tué le 5 juin 2013 au cours d’une rixe avec un groupe d’extrême droite. Le journaleux reconnaît que Antifa n’est rien d’autre qu’un parfait petit manuel du facho qui se baptise antifa.
Un caractère militant et pédagogique qu’assument les éditions Libertalia. « On se situe clairement dans le camp progressiste et le jeu a une visée pédagogique assumée. C’est un outil de formation mais pas un outil qui invite à faire n’importe quoi. À aucun moment il n’est question de battes de base-ball, comme le dit Grégoire de Fournas », poursuit Nicolas Norrito. Quand je parle de manuel...
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Au final, liberté pour les racailles, chaos pour les citoyens qui doivent tout assumer aussi bien financièrement que dans leur horrible quotidien chamboulé.
Au passage je signale deux nouveaux viols à l’hôpital, on n’avait jamais vu cela avant, l’hôpital sanctuarisé comme le lieu où les gens souffrent et sont soignés.
Liberté totale pour les racailles, et ils l’ont parfaitement compris.
Ils sont manipulés comme les idiots utiles de Staline.
Le mondialisme recherche le chaos par tous les moyens. Les honnêtes citoyens qui ont voté macron, croyant voter pour la sécurité se sont fourré les doigts dans l’œil.
Macron fera tout pour créer le chaos, un chaos monstre au niveau sécuritaire, au niveau économique, c’est le diktat du NOM qui veut arriver au pouvoir le plus vite.
Les électeurs de macron et ceux qui ont laissé faire, ont la responsabilité de tout ce qui se passe actuellement : meurtres, crise économique, crise énergétique.
MACRON c’est le CHAOS.
D’autre part, il fait le lien direct entre le progressisme et les nihilistes antifas.
Le progressisme consisterait à détruire tout ce que la société a construit grâce au travail de tous les citoyens, c’est pour cela que le mondialisme les laisse agir à leur guise, les antifas travaillent pour le NOM, sans le savoir bien sûr.
Libertalia devrait s’appeler « bordel à tout va », car il s’agit, ni plus ni moins de faire n’importe quoi, du violent de préférence, avec l’excuse de la recherche de la LIBERTE, quoi de plus beau ?
Il a seulement oublié de rappeler que la liberté des uns s’arrête où commence celle des autres.
Les Gauchos et immigrationnistes du Parisien soutiennent le jeu Antifa avec toute la Gaucho Family de Pierre Plotu à Tristan Mendes France qui ont pression sur la FNAC de ne pas retirer ce jeu de la vente en pointant la prétendue influence de l’Extrême Droite. Donc si je comprends la logique des Gauchos le Antifa va permettre à de jeunes Français à devenir des Gauchos Mondialistes qui vont agresser, intimider et tuer des Patriotes au nom de l’antifascisme fantasmé de l’extrême Gauche alors que les Gauchos sont de vrais fascistes.
Eux sont les anti France.Ont oublié ce qui est arrivé aux collabos à la libération.
Bonsoir, j’ai commencé d’appeler mon entourage est adhérent Fnac à résilier la carte et à la boycotter. Voilà tout ce qu’ils méritent. Quel aurait été le raisonnement si des patriotes avaient fait un jeu identique ?
Les racailles jouent entre eux.
Le Parisien, un torchon de merde, même pas bon pour s’essuyer le cul, de peur d’attraper une maladie anale.
Je ne vois pas où est le problème. Il faut extirper la gangrène faculté par tout les moyens mêle les plus violent. Le temps de la perte est venue. V ous m avez donné envie d acheter le jeu !
@ Tritoire En français, ça donne quoi ?