Gérard Collomb : « Quand vous mettez côte-à-côte les annonces de régularisations de travailleurs clandestins et l’accueil de l’Ocean Viking, si vous êtes un migrant, vous vous dites : l’endroit où il faut que je vienne, c’est la France »
L’ancien ministre de l’Intérieur est longuement revenu sur ses critiques de la politique migratoire française, dénonçant “les annonces de régularisation” de Gérald Darmanin. Cet ancien proche d’Emmanuel Macron regrette une ligne qui “n’est pas la sienne”.
Gérard Collomb : « Quand vous mettez côte-à-côte les annonces de régularisations de travailleurs clandestins et l’accueil de l’Ocean Viking, si vous êtes un migrant, vous vous dites : l’endroit où il faut que je vienne, c’est le France » pic.twitter.com/HtL40FSFYY
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Gérard Collomb persiste et signe. Après les propos de l’ancien maire de Lyon qui a dénoncé auprès du Point “l’ouverture d’une brèche créant un précédent” avec l’accostage de l’Ocean Viking à Toulon, l’ex-ministre de l’Intérieur du premier quinquennat d’Emmanuel Macron s’est confié à BFMTV et critiqué à nouveau cette décision de l’exécutif.
“Si vous mettez côte à côte les annonces de régularisation et l’Ocean Viking et si vous êtes migrant de l’autre côté de la Méditerranée, vous vous dites : ‘l’endroit où il faut que je vienne, c’est la France’”, juge encore l’ancien édile lyonnais.
(…) L’idée de Gérald Darmanin s’expliquerait pour cet ancien proche du chef de l’État par la composition de la majorité présidentielle “qui penche plus du côté de l’humanité que de la fermeté”.
“Le président est dans le ‘en même temps’, comme toujours. Si vous regardez ses discours des derniers mois, il affirme une volonté de fermeté. Puis tout un coup, il arrive quelque chose, et il prend la ligne inverse, c’est ça le vrai problème”, tance encore l’ex-ministre de l’Intérieur.
(…) Gérard Collomb, qui avait démissionné quelques mois après avoir défendu ce texte pour pouvoir revenir à Lyon et récupérer son fauteuil de maire, défend désormais une autre version de son départ. Il affirme avoir quitté le gouvernement à l’époque pour protester contre la création éventuelle de “centres contrôlés” de migrants à Toulon ou Marseille.
“À ce moment-là, je pars parce que je ne veux pas être responsable (…) de nouveaux morts, de nouvelles personnes assassinées. Le projet ne se fait pas parce que je suis plus là. Si je reste, je dois clasher avec le président”, avance encore le septuagénaire.
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Quand le Gros porc de Philippe Corbet de BFMWC reprend la phrase de Collomb au sujet des migrants c’est que la folie immigrationniste est bien présente tant chez les médias dominants comme chez les politiciens Gauchistes . Collomb est un immigrationniste de haut vol parce qu’il veut que les migrants remplacent les travailleurs pour le plus grand bonheur du patronat .
Le petit Collomb qui rentre la tête dans les épaules était au PS immigrationniste, puis avec macron l’immigrationniste, macron ex PS….
Donc le petit Collomb fait semblant de (prout prout) s’offusquer (re-prout).
Mon p’tit gars tu gérais une ville trop grande pour toi que tu as abandonnée comme un un pèteux (prout).
Allez, enfonce encore un peu la tête dans tes frêles épaules de faux-cul.
Dans les années 1980, une maire socialiste avait déclaré sa cité ville ouverte. À Marseille, des panneaux indiquaient la direction de cette ville et le nombre de kilomètres ! Il faut voir cette bourgade, les Français y sont rares. Beaucoup ont émigré en zone rurale.
C’est maintenant qu’il se réveille, lui. Il fallait le faire avant. Il a démissionné, parait-il, parce qu’il avait un plan banlieue, mais Macron ne veut pas qu’on touche, aux banlieues. Les gilets jaunes, oui, les banlieues non.
Il a quand même eu l’honnêteté de démissionner. C’est un homme politique de l’ancien monde.
Il a démissionné après avoir fait tout le mal qu’il a pu faire en tant que socialiste, ce n’est pas vraiment glorieux, à la fin de sa vie et à la fin de sa carrière, il fait son mea culpa.