La dessinatrice Laurel haïe par ses potes antifas pour… un dessin de Lola

 

Bien qu’utiles à notre travail de réinformation, j’ai toujours pensé que les “réseaux sociaux”, notamment Twitter, représentaient un véritable danger (sinon une saloperie) pour, justement, notre sociabilité.

Non content de nous pister, de nous extorquer des informations (à notre insu ou volontairement), ces sangsues mondialistes s’arrogent désormais des droits exorbitants via des Etats faibles ou complices leur déléguant un quasi-pouvoir législatif et judiciaire, comme par exemple celui de censurer et de condamner les discours déviant de la doxa progressiste en fonction d’une morale à géométrie variable.

Mais c’est surtout le réceptacle des haines et le spectacle de la déraison où l’on s’attaque en meute à une proie facile pour des raisons futiles.

La dessinatrice Laurel en a fait l’amère expérience lorsqu’elle twitta, sous le grotesque hommage de Macron à une manifestation du FLN de 1961 (puis à l’islamo-footeux Benzema), un émouvant dessin de Lola car… c’était (surtout) le drame du jour qui bouleversait la France.

Ach, groß malheur ! Es ist verboten ! Sinon vous Nazi et retour des heures les plus sombres de l’histoire de l’humanité !

Et oui, pour les antifas dégénérés islamophiles et ethnomasochistes soumis à leurs alliés indigénistes, poster un dessin ou une photo de Lola, c’est raciste, xénophobe islamophobe et ça fait l’amalgame entre les tueurs algériens du FLN et heu… les tueurs algériens de Lola.

Source : Twitter

Il paraît, aussi, que poser la question de la responsabilité de l’Etat et de l’immigration, c’est “instrumentaliser” une mort atroce qui ne mérite pour l’extrême-gauche, que le silence et l’oubli. Etonnant pour ceux qui ont instrumentalisé comme jamais et pendant des mois la mort du petit Aylan sur une plage turque ou celle d’un délinquant afro-américain par un policier blanc !

Je ne connais pas Laurel et son bord politique mais le harcèlement haineux de ses “potes” islamo-gauchistes l’a complètement déstabilisée au point de se mettre sous Lexomil et de… supprimer son tweet à Macron.

Du coup, une meute d’un autre bord s’est retournée contre ses harceleurs idéologiques qui, à leur tour, chouinent contre les méchants “fafs.

Bref, c’est le bordel en France et la quasi-guerre civile. Comme d’habitude et de plus en plus. Et sur les réseaux sociaux aussi.

Cela dit, je retiendrai des mésaventures de Laurel son magnifique dessin-hommage à Lola, bien plus émouvant que la tronche à Macron fêtant les 100 ans de la Grande Mosquée de Paris (sous obédience algérienne) en dénonçant les “ennemis séparatistes” qui «nient la compatibilité entre la France et l’islam” (c’est-à-dire nous, les Gaulois réfractaires islamophobes).

 

 3,079 total views,  1 views today

image_pdf

18 Commentaires

  1. En tout cas, son dessin est très réussi, il évoque parfaitement l’innocence de la petite fille.
    Merci Laurel, je vais l’imprimer et le diffuser.

  2. SOUTIEN TOTAL à LAUREL. Et honte à tous les manipulateurs et mauvais traducteurs. Je suis en rage !

  3. Bravo pour le dessin, il est très jolie et je l’ai copié dans mon ordinateur pour le garder. Je ne comprends pas pourquoi sa beauté ne l’a pas protégée. Il faut être complètement fou pour tuer une belle personne.

  4. En somme, on peut raccorder les réseaux sociaux et le réseau d’égout, c’est la même merde qui y circule…

  5. Sur Tik Tok il y a énormément d’hommages à Lola, cela me paraît normal mais apparemment cela gêne certains, effectivement il est difficile de séparer ce crime horrible de la nationalité de la criminelle qui en plus était illégalement sur notre sol, c’est ça qui a fait déborder le vase effectivement, on pense à toutes les violences que nous subissons surtout depuis 2012 et les attentats islamistes, c’est bien normal et il est impossible de ne pas tenir compte du fait que ce sont toujours des musulmans. Lola, c’est aussi pour beaucoup de Français de souche, la mémoire de la guerre d’Algérie et les massacres du FLN, comment oublier tous nos enfants tués par cruauté, aucun respect élémentaire pour tous ces innocents qui étaient des enfants de l’Algérie Française.

  6. Laurel la jeune dessinatrice elle a le droit de dessinée le portrait de la petite Lola assassinée par Dahbia B et sa bande d’Algériens se faisait insultée par ses prétendus amis Antifa ou plutôt Néo Nazis de Gauche parce qu’elle a dessinée cette jeune fille et que c’est fasciste et qu’elle-même elle est fasciste alors que c’est un hommage fait à Lola la martyre de la sauvagerie meurtrière qui s’abat sur la France. Les Antifas sont des psychopathes qui pratiquent la censure et qui sont dans leur contradiction idéologique

    • Pour moi, il n’y a pas de doute, tout ça nous parle énormément, une petite fille bien typée Française choisie pour être massacrée, une sorte de sacrifice rituel un peu comme si on utilisait une poupée de chiffon en lui enfonçant des aiguilles dans le corps, il y a derrière tout ça une frustration, une haine, un désir de vengeance d’une Algérienne qui par lâcheté s’en prend à une enfant qui symbolise la France, une France qui la rejette car elle est incapable de s’intégrer.

  7. J’avais vu ça sur le fil de Marsault. C’est horripilant (ça met la haine) de voir la soumission de ces connards. Combien de morts encore des mains des muzz va-t-il falloir pour qu’ils ouvrent leurs yeux ? Et quand allons-nous réagir ? Nos enfants meurent, il faut comprendre que c’est définitif. Ni Lola, ni aucune victime passée ne reviendra, on n’est pas dans un film ou un jeu vidéo. Réagissons.

    • On refuse de comprendre que les muzz ne seront jamais compatibles, depuis plus de 40 ans c’est la montée d’un islamisme qui cherche à nous soumettre par la peur et la violence, rien d’autre, c’est gens en réalité n’ont pas vraiment d’autre solution car ils sont tout simplement incapables de s’assimiler pour la plupart.

  8. C’est dur d’avoir été envahis et occupés par des ennemis. Et encore plus durs de supporter leurs exactions, et terriblement dur d’avoir à vivre sur le même territoire que ces affreux. Depuis Scooter premier, l’invasion est passée à la vitesse supérieure.

    • On vit en réalité comme si on était occupé par des ennemis, c’est exactement la même impression, nous ne sommes plus libres dans notre propre pays.

  9. Dans quel monde sommes nous…

    Ceux qui se prennent pour des anges détenant une morale qui “serait” humaniste (ce que ne font pas les anges…) sont des monstres qui s’ignorent. A vomir, ce sont des réactions inhumaines, devant ce joli et tendre portrait de cette enfant (qui donne les larmes aux yeux…) qui a souffert ainsi qu’envers sa famille dont je ne peux même pas imaginer la peine tant elle doit être énorme.

    J’espère que cette Laurel va comprendre, que ce ne sont pas ses amis. Elle, a au moins du coeur, et parait réfléchir. Et que les autres se regardent dans une glace si ils le peuvent avec honnêteté.

  10. Si je n’étais pas venue ici je n’aurais pas sû tout ça, j’en étais restée à Pascale Clark l’ignoble. Mais 1. je vois que le discours de P. Clark est partagé, c’est donc une consigne par éléments de langage. C’est EUX qui instrumentalisent. Et donc il ne faut pas seulement se justifier, mais il faut LES accuser d’instrumentalisation.
    Ils ne veulent pas que l’on parle de Lola, du tout, du tout. Et donc, supportons leurs délires accusatoires et continuons de parler de Lola. Et des autres : nos Laura, nos Morane, etc.
    ET SURTOUT : ils ne veulent pas que nous parlions de Lola parcer que ils ne veulent pas que nous parlions de LEURS Dahbia !

  11. Triste mais pourtant si prévisible de vérifier l’empathie et l’indignation “à géométries variables” des défenseurs autoproclamés de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. En bref, le tournage de “pol pot 2 – le retour” bat son plein. Toute mon admiration et mon soutien pour la dessinatrice Laurel qui a su “faire la part des choses”, tout mon mépris et mon aversion pour ses anciens amis devenus ses détracteurs. Toute ma peine pour Lola, petit Ange parti trop tôt victime de la barbarie; et dans les “barbares” j’inclus les éventuels co-auteurs, complices ou non-dénonciateurs (car “qui ne dit mot consent” et “qui peut et n’empêche pèche”). Enfin, toute ma compassion pour les parents et la famille de Lola, eux aussi victimes d’une haine à jamais injustifiable, impardonnable et bouclier revendiqué de la lacheté la plus absolue. Requiescat in pace Lola

Les commentaires sont fermés.