Timisoara, les couveuses du Koweit, Srebrenica, Pristina, le show de Colin Powell, les sicaires de Kadhafi,.. Qui a oublié ces grands classiques de la diabolisation de l’ennemi orchestrée par les USA ?
Chaque fois le processus est le même. Diffusion d’images horribles, révoltantes, afin de susciter l’indignation des naïfs téléphages. Avec la complicité active de journaleux corrompus, appâtés par l’audimat. Avant de reconnaître du bout du bec, quelques mois ou années plus tard, que « ça ne s’est pas tout à fait passé comme ça. »
Au tour des Russes de passer à la moulinette de la désinformation médiatique
À présent, ils remettent ça en Ukraine. Boutcha et Izium. Avec le concours empressé du Zygomyr qui est un acteur professionnel. Médiocre certes. Limité aux sketchs télés avec rires pré-enregistrés et aux soaps bas de gamme. Avec sa face de rat et son air chafouin, il n’espérait tout de même pas jouer les jeunes premiers ? Mais il connaît les ficelles du métier pour caresser le public dans le sens du poil et lui faire prendre des vessies pour des lanternes.
Une aubaine pour les propagandistes du NWO. Si ce clown n’avait pas existé, il aurait fallu l’inventer. Trop utile pour leurs enfumages. Comme Macronescu, c’est un histrion choisi par les maîtres du monde pour ses aptitudes serviles à jouer une partition imposée devant une claque formatée.
Boutcha une répétition générale du « spectacle » avant Izium
Les images de Boutcha, petite ville au nord de Kiev où la découverte de cadavres en pleine rue a suscité l’indignation du monde entier, constituent une mise en scène bien orchestrée. Il s’agit d’une « falsification monstrueuse », a clamé le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
En avril 2022, les autorités ukrainiennes ont affirmé avoir retrouvé 410 morts dans les rues, après le repli des Russes. L’une des victimes était couchée près d’un vélo, une autre avait des sacs à provisions à côté d’elle. Deux cadavres propres et bien habillés semblaient dormir. Tous bien disposés, certains assis, prenant la pose comme dans une uchronie hollywoodienne. Peu ou pas de traces de sang ni de violences.
Les néonazis de Kiev sont des grands maladroits très distraits. Ils ont laissé sur certains corps le brassard qui leur servait à isoler les suspects d’avoir sympathisé avec les Russes. La CIA aurait du envoyer des assistants réalisateurs plus performants !
Et ce n’est pas tout. D’une émission de propagande à l’autre, des cadavres changeaient de place ! Une femme fut vue en train de se relever après le passage des caméras, tandis que des légistes s’étonnaient que, quatre ou cinq jours après les crimes supposés, les morts exempts de blessures et de taches de sang ne présentaient pas de raideur cadavérique, ni de ballonnements ni de début de putréfaction.
Pour Dmitri Peskov : « Des membres du 72ème centre ukrainien des opérations psychologiques ont tourné, le soir du 4 avril, une nouvelle mise en scène filmée de civils prétendument tués par des actions violentes de l’armée russe dans le village de Mochtchoun, à 23 km au nord-ouest de Kiev. Des événements similaires sont en train d’être organisés par les services spéciaux ukrainiens à Soumy, Konotop et dans d’autres villes ».
Un ex-membre du SBU, le service de sécurité intérieur ukrainien, qui a rejoint le camp séparatiste pro russe du Donbass a expliqué sur la chaîne Rossiya avoir été formé par l’Otan à de telles opérations psychologiques. D’autres témoins ont affirmé que l’Ukraine, devenue un pays de non-droit, attirait « tous les criminels de la terre assurés de l’impunité et d’une nouvelle identité, s’ils se mettaient au service des néonazis. »
Les morts bien réels dans la région, au nombre de 300, sont des civils ukrainiens russophiles considérés comme des traîtres, dénoncés par leurs voisins, froidement abattus sans procès par leurs « héroïques compatriotes » encadrés par des sponsors occidentaux.
Rebelote à Izium
Une « fosse commune » aurait été découverte mi-septembre à Izioum, ville de 50.000 habitants, réoccupée lors de la contre-offensive ukrainienne dans la région de Kharkov, a affirmé le Zygomyr sans donner plus de détails sur les 440 cadavres.
Pas besoin d’en dire plus, sa seule parole suffit pour que tout le ban et l’arrière-ban de la voyoucratie mondialiste relance ses anathèmes et ses invectives contre les Russes.
On a muselé les rares analystes qui affirment que certains morts ont été tués au combat par des balles ennemies, et que les autres ont péri des suites des bombardements, ce qui est certes triste pour eux et leurs familles, mais n’est qu’une conséquence funeste de l’obstination du roquet de Kiev à vouloir se mesurer avec l’ours russe.
Pour entretenir le doute, les crapules médiatiques jouent avec les mots comme d’habitude : « 99% des cadavres sont morts de façon violente. » Quand on est pris dans une fusillade ou un bombardement, comme combattant ou à titre de dommage collatéral, il est rare qu’on meure de rire.
Il fallait bien enterrer ces défunts quelque part… Entre temps, le charnier s’est transformé en tombes, avec des cercueils dedans. Étranges assassins qui ont laissé leurs pièces d’identité dans les poches des macchabées, placé une croix au dessus des tombes de leurs victimes, et même y ont inscrit leur nom, pour être bien sûrs qu’on ne passerait pas à côté sans les voir.
Quant aux « dix salles de torture » il s’agit de hangars, de caves, de granges ou de garages désaffectés dans lesquels les Russes enfermaient leurs prisonniers de guerre. Certains, blessés, ont laissé des traces de sang.
Il s’agit de soldats Ukrainiens mais aussi de mercenaires anglais, français et boches. Défense d’en parler puisque leurs pays nient toute participation directe aux combats.
Ces franc tireurs sont considérés par le droit international comme des terroristes. Mais ils ont une certaine valeur aux yeux des Russes qui les troquent régulièrement contre leurs soldats prisonniers. Alors pourquoi dilapider cette monnaie d’échange ?
On attend avec impatience la venue des scénaristes, metteurs en scène et assistants de production américains pour orchestrer tout ça avec des images, horribles mais convaincantes, de boucheries médiévales et de zombies déterrés… Sans oublier les dialoguistes qui écriront des répliques à faire frémir dans les chaumières, que des figurants bien encadrés réciteront à la télé.
Des multirécidivistes dans l’art de diaboliser leurs ennemis
Timisoara : Décembre 1989. La Roumanie jusqu’alors choyée financièrement par le gouvernement et la finance US parce qu’elle prône le non-alignement, apparaît tout d’un coup comme un moyen de tester les intentions réelles de Gorbatchev, et de préparer le redéploiement des zones d’influence en Europe.
Le partenaire d’hier est devenu un ennemi. Mais pour justifier sa chute, il faut le discréditer. Certes, les Ceausescu sont des tyrans ubuesques que les militaires roumains mettront hors d’état de nuire. Mais ça, la CIA ne peut pas le deviner.
Aussi afin de chauffer l’opinion occidentale, pour justifier une éventuelle intervention « humanitaire », les « services » US aidés par quelques truands locaux pillent la morgue, déterrent des morts récents pas trop abîmés, en coupent quelques uns en morceaux, et les répandent dans les rues de la ville sous l’objectif de cameramen complaisants appâtés par le « scoop ».
On présentera ces débris humains comme des restes de manifestants torturés, victimes d’une répression sauvage. Plus tard, une fois la vérité rétablie, bien peu de journaleux reconnaîtront leur rôle abject dans cette falsification.
Les couveuses du Koweit : Octobre 1990. L’Irak jusqu’alors apprécié par le gouvernement et la finance US pour son pétrole et les tracas qu’il cause aux Iraniens, apparaît soudain après l’invasion du Koweit comme une opportunité d’accroître la main mise sur les puits de brut, tout en renforçant les liens avec l’Arabie Saoudite.
Le partenaire, hier reconnu comme un élément stabilisateur au Proche Orient, est devenu un ennemi. Mais pour justifier la guerre à venir, il faut le discréditer.
Certes Sadamucène est un dictateur sanguinaire et la révélation de ses crimes (dont ses séides se vantent !) aurait du suffire. Mais on va charger la barque.
Afin de secouer l’opinion occidentale, pour justifier une « intervention humanitaire », les « services » US aidés par des figurants locaux encadrés par la multinationale de relations publiques Hill & Knowlton rémunérée 10 millions de dollars, élaborent une monstrueuse mise en scène hollywoodienne : des soldats irakiens enlèvent des bébés des couveuses, les jettent au sol et les piétinent. D’autres sortent des nourrissons de leurs berceaux pour leur fracasser la tête à coups de crosse, et crèvent les yeux et écrasent les mains des rares médecins assez courageux pour s’interposer. Une abomination qui inspirera plus tard Macronescu pour mater les Gilets Jaunes.
Longtemps après, une fois la vérité rétablie, bien peu de journaleux reconnaîtront leur rôle odieux dans cette falsification.
Srebrenica : Juillet 1995. La Yougoslavie, avant son implosion en 1992, était bien vue par le gouvernement et la finance US en raison de son « non-alignement » et de son éthique élastique pour les blanchiments d’argent des hiérarques américains.
Les Serbes, moteurs de l’ex-Yougoslavie et anciens alliés contre les nazis, furent alors agressés par des groupuscules de mahométans fanatiques, venus du Sud (Albanie) et de l’Ouest (Bosnie). Ces terroristes commettaient des attentats et des assassinats en Serbie, trouvant ensuite refuge dans les états voisins, complaisants sinon complices.
Les Serbes finirent par se fâcher et entreprirent des actions de représailles contre leurs agresseurs. L’occasion rêvée pour les Américains de consolider l’alliance et surtout le deal pétrolier avec l’Arabie, qui exigeait que soient châtiés ces Serbes mécréants qui refusaient depuis des siècles de se convertir.
Mais pour justifier une intervention étrangère dans un état souverain, il fallait trouver quelque chose qui révulse les peuples crédules. On va donc inventer les « charniers de Srebrenica » pleins de pauvres gentils musulmans massacrés.
La réalité était plus prosaïque. Des morts, certes il y en eut. Puisque des duels d’artillerie opposaient presque tous les jours la Serbie à ses voisins. Tandis que les escarmouches se multipliaient de part et d’autre. Et ces morts, il fallait bien les enterrer quelques part.
Ainsi le 7 janvier 1993, jour du Noël orthodoxe, les mahométans de Bosnie attaquent Kravica, Jezestica et Šiljkovići. Les gardes des villages sont assassinés par surprise, puis c’est au tour des civils serbes qui n’ont pas eu le temps de fuir. Les agresseurs ont bénéficié d’un soutien militaire, entraînement, armes et argent fournis par des « observateurs » américains.
Tous les morts sont qualifiés de « musulmans ». Des conversions post mortem pour préparer la suite…
Pristina : encore une mise en scène de charniers, parmi tant d’autres, où des gentils Kosovars de l’UCK (alors classée organisation terroriste par les USA !) furent enterrés après avoir subi une défaite mémorable. Morts au combat. Mais pas froidement assassinés. Comme ils faisaient avec les Serbes : 14 familles de paysans, tout un village, massacrés le 25 juillet 1999 au Sud de Pristina. Avec l’approbation tacite des Ricains qui avaient commencé à pilonner la Serbie dès le 24 mars.
Dix ans plus tard, une fois la vérité rétablie, bien peu de journaleux reconnaîtront leur rôle criminel et complice dans cette falsification. Quant à leur demander en 2022 de dénoncer les massacres de Serbes qui continuent en Métochie occupée dite Kosovo, sous tutelle US, faut pas rêver !
Le show de Colin Powell en 2003 : dans une variante de diffusion de fausses nouvelles pour jouer sur des émotions artificiellement provoquées, on n’oubliera pas le secrétaire d’État à la tribune de l’ONU présentant ses « preuves irréfutables » que l’Irak disposait d’armes de destruction massives menaçant toute la planète.
En Libye aussi : on ne peut oublier les 10.000 personnes soi-disant massacrées par Kadhafi avec ses hélicos mitraillant la foule, et ses colonnes de camions de mercenaires africains rémunérés au nombre de têtes qu’ils coupaient. Avec des images bien sûr. On l’a vu à la télé, donc c’est vrai !
Alors que selon « Amnesty International » il y aurait eu au cours cette période critique, 110 tués en tout et pour tout, dont des partisans du dictateur fantasque.
Mais ensuite beaucoup plus de victimes civiles par les bombardements aveugles de l’OTAN, avec le concours du nain hongrois, contribuant ainsi à accélérer l’invasion de l’Europe par des réfugiés.
Après ça, je pense qu’il n’est pas déraisonnable de douter des glapissements de chacal du Zygomyr et des « preuves » qu’il brandit à la face du monde.
Christian Navis
Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)
https://ripostelaique.com/boutcha-izium-le-grand-guignol-des-yankees-en-ukraine.html
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A Izium on essaye de nous faire croire à un nouveau Katyn.
Merci pour cet excellent récapitulatif.
On finit par devenir très prudent quand une campagne de dénigrement commence en cœur, sur toutes les chaines.
Boutcha et Izium incarnent le bobard de guerre par excellence parce le Führer Ukrainien Volodymyr Zelenski qui veut que les Occidentaux et les Fouteurs de guerre Amerloques sanctionnent davantage la Russie alors que les Occidentaux Pro Ukraine se retrouvent dans une merde incroyable mêlant crise économique et énergétique . Le Volodymyr aime se victimiser mais c’est un vrai manipulateur . Les bobards de guerre servent à diaboliser l’adversaire Saddam Hussein avec les couveuses du Koweït et la fiole d’anthrax qui sert de prétexte à l’invasion de l’Irak dont beaucoup de Marines amerloques ont été tuer et ils ont aussi commis des crimes de guerre contre les populations civiles idem en Afghanistan , Srebenica avec Mr Slobodan Milosevic ainsi que le Kosovo et la compromission entre l’OTAN et l’UCK qui avait organiser un trafic d’organe grâce à des prisonniers de guerre Serbe , Timisoara illustrent parfaitement la propagande médiatique pour manipuler l’opinion et dans le cas du Führer Zelenski il faut la venue de producteur Hollywoodien pour monter de tels arnaques !
C’est bien la première fois qu’on voit une fosse commune avec des croix et des noms dessus qui lui font ressembler à un cimetière…
Mais le « mieux », c’est encore cette histoire de salles de tortures : ces cons d’ukrainiens ont juste oublié de nous montrer le château médiéval qui devrait aller avec !
Izium, découverte d’un charnier? Et les Russes auraient été assez cons pour le signaler par des croix? Après coup, rectification : ce sont des habitants du coin qui ont enterré les morts. Mais certains cadavres avaient les mains liées. Les fossoyeurs n’ont pas eu l’idée et la décence de couper les liens des défunts ? Ça sent la manipulation à plein nez.
Ils chient tellement dans leur froc qu’ils ne savent même plus ce qu’ils font !!!