Assortiment de sakés
L’islam ne fait pas sa loi au Japon !
Au Nigeria, en Indonésie on détruit les bouteilles.
Au Japon, le gouvernement lance un concours pour relancer la consommation !
La consommation d’alcool, source de recettes fiscales pour le gouvernement japonais, est en forte baisse. A cause du Covid, mais aussi des pratiques générationnelles.
Le Japon veut relancer la consommation d’alcool chez les jeunes, et profiter de cette manne financière.
Début juillet, le pays a lancé « Sake Viva ! », un concours pour encourager les Japonais de 20 à 39 ans à partager leurs idées innovantes en matière de publicité, afin de stimuler la demande d’alcool parmi les jeunes. Les sources d’inspiration possibles comptent le saké, le shochu, le whisky, la bière ou le vin japonais.
La campagne fait suite à un effort de longue haleine du gouvernement japonais pour revitaliser le secteur des spiritueux. En début d’année, le fisc japonais avait lancé une initiative similaire – le concours « Enjoy Sake ! » – afin de promouvoir la vente de boissons alcoolisées.
La crise du Covid a plombé le secteur. La fermeture des bars et autres établissements qui vendent de l’alcool, en raison des restrictions, a provoqué une baisse des ventes et des recettes fiscales liées à l’alcool, avance la BBC.
« Alors que le travail à domicile a progressé pendant la crise du Covid 19, de nombreuses personnes en sont peut-être venues à se demander si elles devaient continuer à boire », a déclaré au quotidien « The Guardian » un responsable du fisc japonais.
Un écart générationnel
Au pays du Soleil-Levant, la consommation d’alcool est en baisse depuis une dizaine d’années et est générationnelle. D’après CNN, au Japon, environ 30 % des personnes âgées de 40 à 60 ans boivent régulièrement – soit trois jours ou plus chaque semaine. Parmi les 20 ans, ils ne sont que 8 %.
Le site web de la campagne évoque aussi les changements démographiques, tels que le vieillissement de la population et la baisse de la natalité.
Or, cette baisse de consommation pèse sur le budget du pays. Les taxes sur les boissons alcoolisées représentaient une source de revenus importante pour le gouvernement. En 1980, elles étaient à l’origine de 5 % des recettes globales, contre 1,7 % en 2021. Il s’agit de la plus grande chute sur les 31 dernières années d’après le « Japan Times ».
Vu sous l’angle de l’islamisation, le Japon en 2022, c’est un peu la France des années 50.
L’islam et la charia, moi pas connaître !
La TOURNÉE des GRANDS-DUCS aux HALLES, Photo Jean-Philippe Charbonnier. On voudrait bien entendre les conversations ! Ces forts des Halles ne connaissaient pas le mot « halal » !
1,286 total views, 1 views today
Chez nous les jeunes préfèrent maintenant le chichon et remplir les poches des racailles muzz , fini la sainte cuite du samedi soir .
Le Japon c’est aussi propre qu’une maison de poupée et son petit jardin alors que l’Islamistan c’est carrément les poubelles ! Là, pas évident le vivre ensemble…
Le Japon est aussi le lieu où sont nés des arts martiaux comme le karaté, le ninjutsu, l’aikido, le judo, entre autres. Des disciplines qui sont utiles pour bien des choses, notamment apprendre à bien se connaitre soi-même, à se défendre…
C’est vraiment regrettable que la jeunesse européenne préfère s’abrutir avec le foot plutôt que s’initier aux bienfaits des arts martiaux.
Bienvenue au Pays du Soleil Levant…le coude! La communauté musulmane au Japon compterait 250 000 individus actuellement, elle a doublé en dix ans. 250 000 pour 126 millions d’habitants environ. Loin des millions de migrants musulmans pour 67 millions de Français. Les musulmans n’ont pas intérêt à commettre des meurtres pour des motifs religieux comme chez nous au Japon, la peine de mort par pendaison y est toujours en vigueur.
Ouais mais ils en sont déjà à développer le marché du halal (profits obligent). Une paire de muzz suffit à faire pourrir un endroit.
Si vous saviez ce qu’il y a dans le halal : sels nitrités cancérogènes, additifs dangereux, et autres adjuvants pas très recommandés pour la santé. En plus, ce ne sont pas des produits vraiment halals, trafiqués à l’extrême. Donc pas un cadeau pour les muzzs. Si ça leur plaît de s’empoisonner, libre à eux, je n’en pleure pas. Et si on peut leur soutirer de l’argent en leur vendant de la m. tant mieux!Une petite compensation pour des tonnes d’emm. dûs à leur présence!
Je suis tout à fait d’accord avec vous Julie. L’islam c’est comme les ronces. Si l’on ne retire pas les racines, elles repoussent toujours.
Faudrait-il que nos politiques considèrent déjà que les ronces ont des racines !
Produire et vendre des produits halals est déjà un acte de résistance vu la nocivité de ces produits, qui ont dû expédier pas mal de ces consommateurs dans les verts jardins d’Allah.