Bataclan : Barack Obama et Joe Biden auraient dû être dans le box des accusés

Les accusées du procés du Bataclan
Les accusés du procès du Bataclan

Le verdict dans le long procès du Bataclan interviendra mercredi prochain, 29 juin. Des peines seront prononcées contre tous les accusés, mais il n’y aura aucune surprise et cela n’a, au fond, aucune importance, même si la presse officielle présente ce verdict comme étant un évènement exceptionnel et entretient à ce sujet un suspense qui n’existe pas.

Le procès du Bataclan a fait « couler beaucoup d’encre », comme on aurait dit du temps de Dreyfus. Et beaucoup de larmes. Et des cris de colère aussi. De la colère du fait que les responsables de cette tuerie n’étaient pas tous dans le box des accusés.

Ils sont vingt accusés dans ce procès, dont six jugés par contumace. Tous des islamistes alliés à l’État islamique.

Mais d’autres manquent sans qu’ils soient nommément cités.

Les Français, d’abord. Le président Hollande et le ministre de l’Intérieur d’alors, Bernard Caseneuve. Ils étaient au courant de la préparation de l’attentat.

Mais il y a deux autres. Les principaux responsables de cette tuerie : Obama et Biden.

L’avènement de Barack Hussein Obama, entré en fonction en tant que président des États-Unis le 20 janvier 2009, a été suivi, deux ans plus tard, dans plusieurs régions du monde, par une terrible poussée de l’islamisme avec son lot de terreur et de barbarie jamais vues.

Tout avait commencé par une vague de manifestations populaires dans le monde dit arabo-musulman. La vague démarra le 17 décembre 2010 en Tunisie, puis fut très vite suivie en Algérie à partir du 28 décembre, et, dès le lendemain 29 décembre, au Yémen.

Puis ça va être un grand déchaînement à partir de janvier 2011 : Jordanie, Mauritanie, Oman, Arabie Saoudite, Liban, Égypte, Syrie, Maroc, Soudan.

En février, les manifestations touchent Djibouti, Bahreïn, Irak, Libye, Somalie, Koweït…

La presse occidentale aux ordres présentait ces manifestations comme étant un « Printemps arabe » et, de partout, on appelait à soutenir ce mouvement soi-disant porteur d’espoir de démocratie pour le monde arabo-musulman.

C’était un leurre.

Ledit « Printemps arabe » n’avait rien de printemps. On allait vite se rendre compte qu’on était plutôt en plein dans un « craint temps islamique ».

L’islam déferlait sur le monde dit arabe et ailleurs. Il allait diviser et déchirer des populations, emporter des régimes et des gouvernements.

Puis, un an plus tard, en 2012, une ancienne organisation islamique, créée 6 ans plus tôt, et encore inconnue jusque-là, retrouve de la vigueur. Elle commence à s’étendre en Syrie et, en avril 2013, elle devient l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL ou Daesh). Fin juin 2014, « Daesh » annonce le « rétablissement du califat » dans les territoires sous son contrôle, prend le nom d’« État islamique » et veut s’affirmer sur l’ensemble du monde islamique et ailleurs.

Tout ceci pendant le règne de Barack Hussein Obama et de son vice-président, Joe Biden.

Il n’y eut jamais autant de barbaries islamiques, autant de têtes tranchées, autant de sang versé que durant l’exercice du président américain Obama.

Barack Hussein Obama a bien mis, ou, plus exactement, a fait semblant de mettre en place une coalition militaire internationale pour combattre l’État islamique. C’était le 8 août 2014. Cette coalition réunissait, initialement, vingt-deux pays, sous le commandement des États-Unis. Ce sont les principales armées européennes (Allemagne, Belgique, Danemark, Espagne, France, Italie, Royaume-Uni, Pays-Bas…) plus l’Australie, le Canada et des pays arabes (Arabie saoudite, Bahreïn, Émirats arabes unis, Jordanie, Qatar, Maroc…).

La coalition n’a cependant jamais inquiété l’État islamique et ne l’a pas empêché d’étendre son territoire et d’accentuer sa barbarie.

La cité antique de Palmyre, en Syrie, est tombée aux mains de l’État islamique en mai 2015, soit 9 mois après le début des « opérations » de ladite coalition internationale. Et son ancien directeur, âgé de 84 ans, égorgé.

La guerre supposée être menée contre l’E.I par la coalition internationale était bien un leurre. En 1991, il avait suffi d’à peine sept semaines pour pulvériser l’Irak, qui était pourtant une grande puissance militaire.

Il faudra attendre l’arrivée de Donald Trump, en 2017, pour voir une réelle action menée contre l’État islamique qui sera neutralisé.

Certes, Obama est parvenu à abattre le chef d’Al Qaïda, Oussama Ben Laden, en mai 2011, mais n’était-ce pas pour déblayer la voie devant Ibrahim Al Baghdadi, qui allait ainsi pouvoir proclamer la naissance de l’État islamique et se proclamer lui-même calife ?

Il ne l’aurait pas fait Ben Laden vivant.

C’est durant l’exercice d’Obama que des organisations terroristes musulmanes se sont implantées au Maghreb, dans les pays du Sahel, et ailleurs en Afrique, avec l’émergence au Nigeria de l’effroyable Boko Haram coupable de crimes odieux.

Puis, la barbarie islamiste déclenchée par Obama est « transférée » en Europe.

C’est durant l’exercice de Hussein Obama et de Joe Biden qu’ont eu lieu les épouvantables attentats contre Charlie-Hebdo et le Bataclan à Paris et contre l’aéroport et une station de métro à Bruxelles.

En fait, entre 2013 et 2016, soit pendant la totalité du deuxième mandat de Hussein Obama, l’Europe a été le théâtre de 24 attentats. Il y aurait eu également 64 projets d’attentats.

Obama, le président de la première puissance mondiale, fait la courbette devant le monarque du pays le plus rétrograde du monde.
Obama fait la courbette devant le roi saoudien devant la surprise et l’hilarité des chefs d’État du G20

Hussein Obama provient d’un père musulman et est suspecté aux États-Unis d’être musulman, ce qu’il renie. Il doit avoir été entraîné à pratiquer la « Taqiya » – la dissimulation – cette arme de guerre prônée par le prophète Mohamed contre les mécréants, et Obama semble y exceller.

Résumé : Barack Obama, suspecté d’être un musulman, arrive au pouvoir à la Maison-Blanche et aussitôt le monde islamique s’embrase. Au moment où il entame son deuxième mandat, la vague islamiste déferle sur l’Europe. Quand il cède la place à Donald Trump, l’islamisme recule, le monde se calme.

Est-ce normal ?

Il y a obligatoirement des choses à éclaircir. Devant un tribunal.

Obama et Biden devaient bien être dans le box des accusés du Bataclan.

Messin’Issa

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15 Commentaires

  1. Obama et Biden devraient surtout finir sur une chaise électrique, vu leurs passifs respectifs depuis des décennies…

  2. Ce procès interminable, véritable gouffre financier, n’aurait pas du exister.
    Ces criminels sont des guerriers. Il fallait les juger comme tels. En deux jours maximum, c’était plié et les lourdes condamnations tombaient, sans appel possible.

  3. Hollande et Cazeneuve ont été prévenus par les services secrets, ils savaient, ils l’ont reconnu eux-mêmes.
    Deux larves pareilles ne pouvaient réagir autrement, càd en fait, ne pas réagir, tétanisés par la peur et incapables de prendre une décision.
    Je me demande également s’ils n’ont pas reçu des menaces de la part de puissances musulmanes.
    Si on avait eu un vrai procès, on aurait pu aller au fond des choses, et comprendre qui, pourquoi, comment.
    Au lieu de quoi, on a préféré juger les sous-fifres qui auraient dû être liquidés dès 2015, et les juges ont laissé tranquilles les principaux responsables.

  4. ces deux là on ne sait pas mais certains de chez nous c’est sûr !

  5. Bonjour messin Issa
    Quand vous dites que Hollande et Caseneuve étaient au courant de la préparation de l’attentat, avez vous des arguments pour cela ?
    Pour moi, ils sont au minimum complice passif de la tuerie, en refusant une intervention rapide des force de police et armée !

    • Je crois que les services secrets Syriens les avaient prévenus, si je ne me trompe pas bien sûr mais il me semble avoir entendu ou lu cela.

      Et on en a en France aussi…. si d’autres le savaient, dur d’imaginer qu’ils l’ignoraient.

      • merci Amélie !
        Si mes souvenirs sont bons, les syriens avaient proposés une liste de terroristes susceptible d’opérer en Europe. Mais nos service ont refusé cette liste, ou n’en pas tenu compte
        Je pense que c’est ça…

  6. Bravo pour cet article!
    Le printemps arabe…sinistre fumisterie.
    Quand vous parlez de ça, la majorité des crétins que vous êtes obligé de cotoyer dans la vie civile ne savent même plus ce que c’était et pourquoi cela a eu lieu. Et pourtant, cette effusion qui nous a rajouté de la m…à la m….aujourd’hui à moins de 12 piges.
    Histoire prête à être mâcher, utilisée et digérée

  7. “Hussein Obama provient d’un père musulman”
    Il est donc né mahométan d’après la loi islamique. Idéologie qu’il n’a pas reniée puisqu’il a affirmé que l’avenir ne devait pas appartenir à ceux qui critiquent le (faux) prophète de l’islam!
    Par ailleurs, il ne cache rien dans son hallucinant discours du Caire (qui mérite d’être lu pour comprendre à qui on a affaire:
    https://obamawhitehouse.archives.gov/files/documents/anewbeginning/SPEECH_as_delivered-French.pdf

  8. Excellent résumé.
    C’est aussi “grâce aux printemps arabes” que l’adipeuse merdkel a été invitée par hussein obama à ouvrir en grand ses frontières, alors qu’elle avait déclaré comme le nain sarkyzo et cameron que le multikulti était un échec.
    C’est encore pendant le mandat d’hussein-le-muzz qu’intervient l’inimaginable démission du Pape Benoit XVI le 28 février 2013 , remplacé par le moufti Imbroglio.
    Sans oublier la révolution ukrainienne de 2014 qui vit la destitution du président pro-russe Viktor Ianoukovitch…
    Quant aux barbares mohamétans du Bataclan, ne sont-ce pas les mêmes ( daech ) dont fabius disait qu’ils font du bon boulot ? ( en Syrie )

  9. Bonjour,

    A propos du Bataclan, il fallait entendre ce matin le ton employé par la journaliste de France-Info, qui rendait compte du procès.

    De l’émotion, des trémolos à jet continu en défense d’Abdeslam, c’était vraiment révulsant, répugnant.

    Totalement, amoureuse, oui amoureuse, de cette ordure musulmane.

    Ces gens sont totalement fous …

  10. Il ne faut pas oublier celui qui avec Trump a été le grand démolisseur de l’État Islamique : C’est Poutine . Pour parfaire notre connaissance de la ”montée” de l’État Islamique au moyen Orient il faut lire le témoignage d’un colonel US ( nommé CLARCK)qui a ”baroudé dans tout le moyen orient et principalement en Syrie et qui explique fort bien dans un article sur le site de nos amis SUISSES : “les Observateurs” ,comment les USA ont ENTIÈREMENT armé,organisé et mis en place les éléments de Daesh pour ‘déboulonner” Baschar el Assad !!

    • Exact. Poutine a été un rempart devant l’expansion de l’État islamique et un artisan de sa démolition. Avec Trump et les guerriers kurdes.
      Merci pour l’information sur le colonel US.

  11. Bataclan : Pas seulement Barack Obama et Joe Biden qui auraient dû être dans le box des accusés. Il y a aussi beaucoup de Français et en particulier ceux qui ont ouvert les frontières à tous les terroristes !

    • …ainsi que les hauts responsables de l’Etat français qui ont ordonné aux hommes d’une patrouille “Sentinelle” de ne pas intervenir, et de différér une action des forces de l’ordre qui s’approchaient du Bataclan…Ces responsabilités écrasantes ont été escamotées…C’est scandaleux!!!…

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