Il s’inquiète de la vaxxination des enfants, son article est réécrit par des “vérificateurs de faits”

Ci-dessus photo de l’avocat américain Goodman avec la présentation de son article qui expliquait pourquoi il ne ferait pas vacciner sa fille de 6 ans. Article qui a fait couler beaucoup d’encre… et a été soumis à des “vérificateurs de fait” (fact-chekers).
C’est le remarquable docteur Malone qui raconte l’histoire, dans un article intitulé “Méfiez-vous des vérificateurs de faits ! “
J’aime bien cet essai et l’article d’origine contre la thérapie génique Covid chez les enfants publiés dans la dernière lettre de Malone qui cite un article de Goodman. Celui-ci rappelle que les gens ont droit à leurs propres opinions, mais pas à leurs propres faits. Son essai  illustre parfaitement la façon dont les “vérificateurs de faits” ne vérifient pas les faits, mais agissent pour contrôler l’opinion et la pensée. C’est la réalité orwellienne.

À l’ère de ces pourris et corrompus vérificateurs de faits, un chroniqueur d’opinion est tenu de croire la parole officielle des bureaucrates du gouvernement soit le politiquement correct du moment, même lorsque ces derniers mentent clairement, comme c’est le cas de la vaccination des enfants.
L’article de Malone est en anglais et trop long pour être publié, aussi en fera-t-on une synthèse ci-dessous. 

L’époque de Socrate qui nous a appris à découvrir la vérité  par le biais de débats et de discours raisonnés est bannie par la disparition des médias qui accueillaient ce débat.
Dominique Schwander
Malone dénonce ici les fameux “fact-chekers”, ceux qui prétendent détenir la vérité et l’imposer à tous : es gens ont droit à leurs propres opinions, mais pas à leurs propres faits. Il s’appuie sur un exemple de censure à l’ère du Covid,
avec un article de l’avocat Leonard C. Goodman qui fournit une excellente illustration de la façon dont les «vérificateurs de faits» ne vérifient pas les faits, mais agissent selon l’opinion et la pensée de la police. C’est la réalité orwellienne que la communauté du renseignement américain et l’ancien président Obama défendent pour l’Amérique, et que leurs chiens de garde des médias hérités approuvent volontiers.
Avant, tout éditeur vérifiait les faits qui étaient présentés. Maintenant des vérificateurs sont payés pour s’assurer que vous n’avez pas dépassé les limites acceptables pour le discours public. Ils aident les plateformes médiatiques, grandes et petites, à rester du bon côté des représentants du gouvernement et des entreprises commanditaires.
Le Covid a été une aubaine pour ces officines, plus exactement pour l’industrie de la vérification des faits. De grandes entreprises comme Politifact et Factcheck.org ont des divisions spéciales juste pour surveiller la « désinformation » COVID. Comme le ministère de la Vérité imaginé par George Orwell dans son roman épique, “1984”, ils vous diront ce que vous pouvez et ne pouvez pas dire sur les confinements, les masques et les vaccins à ARNm fabriqués par Pfizer et Moderna.
En France nous avons les mêmes, qui pullulent, les “chiens de garde du système” sont, quel hasard, le plus souvent des officines dites de gauche… Libé, le Monde..
Et Goodman de raconter son expérience avec les censeurs pour avoir publié sur le Chicago Reader un article “Vaxxiner nos enfants ? Pourquoi je ne suis pas pressé de vaxxiner mon enfant de 6 ans contre le Covid”
J’y ai examiné les arguments pour et contre la politique officielle de vaccination de chaque enfant. Et j’ai apparemment franchi une ligne rouge en incluant les opinions d’un nombre important d’éminents scientifiques et médecins qui pensent que les enfants en bonne santé n’ont pas besoin du vaccin car leur risque de COVID grave est minuscule, le vaccin peut faire plus de mal que de bien aux enfants, et cela ne fait pas grand-chose pour arrêter la propagation du COVID.
Il explique alors que c’était son 21ème article dans le Chicago Reader qui avait fait faillite et qu’il avait racheté ainsi que ses dettes pour un dollar symbolique avec un ami avec le but d’en faire un organe de presse à visée non lucrative.
Il avait pu alors publier des articles sur Epstein, sur la pédophilie des prêtres, la torture utilisée par la police pour faire avouer les criminels, la persécution d’Assange, la décision de la Fondation Obama de privatiser 20 acres de parc public historique sur la rive sud de Chicago et d’abattre un millier d’arbres afin de construire une tour de musée de 235 pieds de haut sur les rives du lac Michigan…  Aucun problème.
Mais …
Mais exprimer apparemment des inquiétudes à l’idée de donner à ma fille de six ans un vaccin à ARNm qui n’a été testé sur l’homme qu’en 2020, et qui n’a été approuvé que pour une “utilisation d’urgence” chez les enfants, m’a conduit en territoire interdit.
Le directeur du journal a été ravi par ma chronique et de très nombreux parents aussi qui se posaient eux aussi des questions…
Mais des pro-pharma, quoique minoritaires, se sont déchaînés et ont exigé que mon article soit retiré du site et que je sois viré du journal !
Alors le Chicago reader, au lieu de laisser les gens décider seuls et de permettre la discusssion a embauché une équipe de vérificateurs… qui ont réécrit la chronique de Goodman en publiant 9 points de désaccord et le journal à proposé à Goodman soit de supprimer sa chronique soit de la remplacer par l’article des “vérificateurs”…
Le Conseil d’administration est entré dans la danse, exigeant que le journal garantisse un espace de liberté… refus du directeur.  Et donc impasse qui menace l’avenir du Chicago Reader.
Quant aux procédés, Goodman donne un exemple très clair ci-dessous :

Par exemple, le point numéro un du rapport conteste la phrase suivante de ma chronique : « De plus, en ne faisant pas la publicité de leurs vaccins par leur nom, Pfizer-BioNTech et d’autres fabricants de médicaments ne sont pas obligés, en vertu de la réglementation actuelle de la FDA, d’énumérer les risques et effets secondaires du vaccin. Le rapport du vérificateur des faits déclare que cette phrase est à la fois « fausse » et « désinformation ». Le rapport confirme ensuite que “les fabricants de vaccins n’ont pas du tout annoncé leurs vaccins” et ajoute ensuite : “Si Pfizer commence à faire de la publicité pour son vaccin, qui a reçu l’approbation de la FDA plus tôt cette année, il devra suivre les réglementations et lister les effets secondaires“. En d’autres termes, le rapport confirme que ce que j’ai écrit est exact à 100 %, mais le qualifie néanmoins de “désinformation”.

C’est là un exemple très clair de ce que nous vivons sur de nombreux sujets mais tout particulièrement sur le Covid… Quel est leur intérêt à mobiliser et payer tant de gens pour nous faire avaler des couleuvres ? Ça ne peut pas être juste pour les beaux yeux de monsieur Pfizer…

 

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8 Commentaires

  1. Il est important de noter que l’organisation Politifact est essentiellement un produit du Poynter Institue for Media Studies, qui a des liens financiers avec la CIA américaine et George Soros. Il n’est donc pas du tout surprenant que les résultats et les prises de position de Politifact semblent remarquablement harmonisés avec les points de discussion officiels de l’exécutif américain.
    Il convient également de noter la position de Wikipédia sur ce sujet, qui ne le traite que comme une “théorie complotiste” et néglige complètement de mentionner le fait avéré que le DoD/DTRA américain finançait un vaste réseau de “biolabs” en Ukraine bien avant la récente intervention russe dans ce conflit.

  2. Dans sa dernière lettre le Dr. Malone (il a eu travaillé aussi dans ce domaine pour l’armée) cite, preuves à l’appui, un exemple patent de “facts checker” corrompu qui illustre comment les Etats Unis et l’UE se sont impliqués et ingérés en Ukraine, cela depuis des années.
    Le groupe “factchecker” Politifact s’est empressé de publier une “vérification des faits”, qui réfute (sans aucune preuve réelle ! ) que “les États-Unis ne développaient pas (et développe encore?) d’armes biologiques en coordination avec l’Ukraine, comme l’ont affirmé des responsables russes et des médias d’extrême droite aux États-Unis (McCarthy, 2022)”. Je ne pense pas que ce soit une coïncidence si cet article de fact checker Polifact a été publié exactement le même jour que le témoignage au Congrès de l’ASD(NCB) Rosenbaum, qui a déclaré qu’il n’y a pas d’armes biologiques offensives dans les laboratoires ukrainiens avec lesquels les États-Unis ont été impliqués, mais donc bien des armes biologiques défensives puisqu’elle sont autorisées par la Convention internationale ! Une différence subtile mais essentielle.

    • Si vous étiez moins …, vous comprendriez que c’est un mot-valise.

      Le terme “vaccin” pour ce produit douteux est usurpé et en lui-même trompeur et mensonger. Le reprendre c’est déjà céder 80% du terrain aux menteurs, c’est rentrer dans leur scénario, accepter de combattre sur leur terrain en leur laissant le choix des armes.

      CE N’EST PAS UN VACCIN. En fait c’est une injection toxique. C’est un poison, un “toxin”!

      D’où l’emploi du terme vaxxin : faux vaccin vrai toxique.

      Vous y en a compris maintenant?

    • Vaxxin c’est très bien pour un produit qui n’est pas un vaccin mais un traitement expérimental

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