Docteur Malone, Contrôle comportemental et affaire Covid-19

Contrôle comportemental et affaire Covid-19

 Le Docteur en médecine Robert Malone qui porte aussi le titre de Master of Science est le chercheur qui a inventé le vaccin ARNm. Homme très cultivé il ne s’est pas gêné, avec franchise, pour faire part maintes fois de son scepticisme scientifique à l’égard des mesures anti-COVID-19, des scientifiques dévoyés, de la recherche politisée et de la thérapie génique prophylactique. Il alors a été censuré, expulsé de réseaux sociaux. et menacé. Depuis il écrit très régulièrement une lettre intitulée Who is Robert Malone à laquelle chacun peut souscrire.

J’ai traduit une des dernières qui m’a plu parce qu’il résume avec clairvoyance comment les opérations psychologiques, les Psyops de l’armée américaine sont utilisées dans l’affaire Covid-19, de sa préparation à aujourd’hui. Plusieurs des liens de cette lettre font référence à des publications et des pages WEB qui méritent d’être lues

 

 Le contrôle comportemental et la fin du rêve américain.

Par le Dr. med. Robert W Malone MD, MS

 

Vous vous souvenez de ces exercices jeux de guerre pour lutter contre les pandémies organisés par le Johns Hopkins pendant des décennies? Ils se terminaient généralement par la nécessité de contrôler la population, en utilisant des techniques de modification du comportement humain pour obtenir la coopération de la population.

En ce moment, on peut se rendre au Johns Hopkins Center for Health Security et voir que leurs projets actuels comprennent une analyse de leurs « anti-misinformation actions », qu’ils appellent l’environnement de la désinformation.

 

Les dirigeants mondiaux, les gouvernements, les grands médias, les grandes entreprises pharmaceutiques et les géants de la technologie sont occupés à planifier la réponse à la prochaine pandémie. Il est donc peut-être temps pour ceux d’entre nous qui pensent qu’il existe une meilleure façon de vivre que d’être contrôlé donc soumis, de planifier des réponses à toutes ces mesures draconiennes. Ainsi que de commencer à développer des contre-mesures à une bio-menace qui n’utilisent pas la censure, la propagande, les mesures autoritaires et les techniques de modification du comportement. Vous savez, la bonne vieille méthode où le gouvernement compte sur les gens pour utiliser leur propre esprit critique afin d’évaluer ce qui est le mieux pour eux-mêmes et leur famille, après avoir obtenu toutes les informations disponibles.

Alors, montons à bord et réfléchissons à la façon dont “nous” avons été et sommes encore contrôlés, influencés, censurés et trompés pendant cette « pandémie », et soyons conscients que les gouvernements planifient déjà comment encore mieux nous contrôler pour la prochaine.

 

finition du terme psyops du Département de la Défense des Etats-Unis

« Les PSYOPS (psychological Operations soit Opérations psychologiques) sont l’utilisation de la propagande et des tactiques psychologiques pour influencer les émotions et les comportements. »

Les rapports 2004 et 2010 du Département de la défense des Etats-Unis (DOD) sur les opérations de contre-insurrection définissent les psyops comme suit :

« La mission des Opérations psychologiques (psyops) est d’influencer le comportement des publics cibles étrangers pour soutenir les objectifs nationaux américains. Une opération psychologique accomplit cette mission en transmettant des informations sélectionnées et en conseillant des actions qui influencent les émotions, les motifs, le raisonnement objectif et, finalement, le comportement des publics étrangers. Le changement de comportement est à la base de la mission psyop. »

 

Relisez cette dernière phrase. « Le changement de comportement est à la base de la mission psyop. » Cela ne vous semble-t-il pas familier?

Au cœur des opérations psychologiques se trouvent des outils comportementaux ou des techniques de contrôle mental tels que l’hypnose, la formation de masse, la censure, la comédie de la sécurité de façade, l’utilisation de la peur pour susciter l’anxiété et la propagande.

 

Comment nos militaires utilisent-ils les opérations psychologiques ?

« TROMPER DÉLIBÉRÉMENT

 Les missions militaires de diversion et de tromperie utilisent la guerre psychologique pour tromper délibérément les forces ennemies pendant une situation de combat.

 

INFLUENCER PAR L’INFORMATION

 Les missions d’opérations militaires de soutien à l’information (Military Information Support Operations MISO) consistent à communiquer des informations spécifiques à des publics étrangers afin d’influencer les émotions, les motifs, le raisonnement et le comportement des gouvernements et des citoyens étrangers. Cela peut inclure la cyberguerre et des techniques de communication avancées à travers toutes les formes de médias.

 

CONSEILLER LES GOUVERNEMENTS

 Les missions de soutien interagences et gouvernementales façonnent et influencent la prise de décision et les comportements des pays étrangers à l’appui des objectifs des États-Unis.

 

FOURNIR DES COMMUNICATIONS POUR LES EFFORTS ET LES OPÉRATIONS DE SAUVETAGE

 Les missions de soutien à l’information des autorités civiles (Civil Authorities Information Support CAIS) aident les populations civiles lors de situations de secours en cas de désastre ou de catastrophe en partageant des informations critiques pour soutenir les efforts et les opérations de sauvetage. »

 

Quelle est l’histoire des opérations psychologiques de l’armée de terre ?

 « Fondée pendant la première guerre mondiale pour anéantir le moral des troupes adverses, l’UNITE PSYOPS a joué un rôle essentiel pendant la deuxième guerre mondiale, la guerre du Vietnam et les opérations récentes en Afghanistan et en Irak, où la guerre non conventionnelle fournie par les PSYOPS a été cruciale pour la sécurité nationale. »

 

Qu’est-ce que le nudging ?

Un nudge est un coup de pouce lors de toute tentative d’influencer le jugement, le choix ou le comportement des gens d’une manière prévisible, tentative qui est motivée en raison des limites cognitives, des biais, des routines et des habitudes dans la prise de décision individuelle et sociale posant des barrières, pour que les gens agissent rationnellement dans leurs propres intérêts auto-déclarés, et qui fonctionne en utilisant ces limites, biais, routines et habitudes comme parties intégrantes de ces tentatives. 

 

L’exemple illustratif de la mouche dans les toilettes.

L’un des meilleurs exemples de nudging est l’utilisation d’une « mouche” dans la cuvette des toilettes. Introduite pour la première fois à l’aéroport Schiphol d’Amsterdam en 1999, l’idée était simple: gravez l’image d’une mouche dans l’urinoir et les hommes y dirigeront presque toujours leur jet, c’est-à-dire plus de 80 % du temps. Les coûts de nettoyage ont considérablement diminué, sans que personne ne soit obligé de faire quoi que ce soit.

Maintenant que les termes nudging et PSYOPS sont définis et compris, pensez à ces termes dans le contexte de la formation de masse et du récit que les grands médias ont générés au podcast de Joe Rogan (lien à la fin de cet article). L’article ci-dessous explique :

 

RÉVÉLÉ : La source de l’agence AP (Associated Press) qui a « vérifié les faits » de la théorie de la formation de masse de la psychose a, avec un coup de pouce encouragé les gens à se conformer à la loi COVID-19, en citant Goebbels.

Van Bavel (la source AP) semble croire qu’il n’est pas coupable de diffuser ou de croire à la propagande, de manipuler les gens ou d’être manipulé.

Dans un article paru dans Nature en 2020, « Using social and behavioural science to support COVID-19 pandemic response » Van Bavel a affirmé que « les connaissances issues des sciences sociales et comportementales peuvent être utilisées pour aider à aligner le comportement humain sur les recommandations des épidémiologistes et des experts en santé publique. » Qu’est-ce d’autre si ce n’est une tentative de pousser les gens à faire ce qu’on leur dit ?

L’article aborde l’utilisation de la peur comme moyen de contrôler les gens, à « bon » escient soit à bonne dose : « Une méta-analyse a révélé que cibler les peurs peut être utile dans certaines situations, mais pas dans d’autres: faire appel à la peur amène les gens à modifier leur comportement s’ils se sentent capables de faire face à la menace, mais entraîne des réactions défensives lorsqu’ils se sentent impuissants à agir. Les résultats suggèrent que les appels à la peur forte ne produisent le plus grand changement de comportement que lorsque les gens ont un sentiment d’efficacité, alors que les appels à la peur forte avec des messages de faible efficacité produisent les plus grands niveaux de réactions défensives. »

 

Ainsi, l’opinion de l’expert qui a vérifié les faits du terme formation de masse est en fait un expert de l’utilisation des techniques comportementales et de la peur pour assurer la conformité au sein d’une population afin de soutenir la santé publique. Donc, nier que la formation de masse existe, tout en écrivant à son sujet dans la littérature scientifique, il n’y a pas plus Orwellien, n’est-ce pas ?

 

Le double langage (doublespeak) ou langue de bois ou double discours est tout langage délibérément construit pour déguiser ou déformer son sens réel, souvent en utilisant l’euphémisme ou l’ambiguïté. Généralement utilisé par le gouvernement ou les grandes institutions, la langue de bois est un langage si cher aux politiciens qu’on se demande s’il n’est pas enseigné en France à l’ENA.

 

« La guerre politique est l’art d’encourager ses amis et de décourager ses ennemis. Elle fait appel à des idées, des mots, des images et des actes pour contraindre ou convaincre des amis, des ennemis ou des neutres à coopérer ou à acquiescer. Les guerriers politiques efficaces savent que le meilleur moyen de l’emporter dans un conflit idéologique moderne n’est pas de tuer, mais de persuader, de coopter et d’influencer » a écrit Frank J. Gaffney, Jr.

 

Il s’agit d’une guerre politique à part entière, qui utilise efficacement les grands médias sociaux (MSM) pour contrôler le récit. Mais c’est une guerre asymétrique. Nos tyrans manipulateurs ont les ressources, le pouvoir, l’argent, les grands médias, les grandes entreprises pharmaceutiques, les géants de la technologie et les médias sociaux qui soutiennent leurs efforts. Lorsque Biden a décidé par décret d’appliquer les mandats, qui sont de nature politique (la science ne soutient pas les mandats car les vaccins n’arrêtent pas la propagation de la maladie et peuvent créer des mutants qui échappent au vaccin), les mandats sont devenus un sujet censuré. Lorsque le gouvernement a décidé qu’il ne soutiendrait pas l’utilisation de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine malgré nos lois qui autorisent cette utilisation, ces sujets sont également devenus des sujets censurés et tabous à discuter. Des messages sur le danger de l’ivermectine traitée de remède pour les chevaux ont été diffusés sur Internet et à la télévision. Ce sont là des exemples d’application de censure et de propagande.

 

Aujourd’hui, aux Etats-Unis, il existe une petite mais croissante armée de guérilla de partisans de la liberté. Principalement du côté de la droite conservatrice. Étrangement, la résistance est venue des conservateurs et maintenant, beaucoup de la jeune génération prennent le relais. Il semblerait qu’il soit de plus en plus tendance d’être conservateur et de droite. La gauche démocrate va-t-elle perdre la prochaine génération à cause de ses réponses draconiennes au COVID-19 en matière de santé publique?

 

Cependant, si la résistance parle trop fort ou rappelle trop souvent la vérité au pouvoir, elle est mise à l’écart par des avertissements et est déplateformée. Les résistants perdent leur droit à la liberté d’expression. Même. certains politiciens conservateurs ne sont plus autorisés à utiliser des plateformes telles que YouTube ou Twitter. Le Sénateur Ron Johnson, membre de la Sous-commission permanente d’enquête, a perdu le droit de publier sur Youtube. Cela devrait effrayer et choquer toute personne dotée d’un cerveau et qui réfléchit. Nos hommes politiques se voient interdire la liberté d’expression parce que les grandes entreprises technologiques, qui travaillent avec l’administration démocratique de gauche de Biden, n’aiment pas leurs messages. Cela va au-delà de la censure et interfère à la fois avec notre droit à une presse libre et avec nos élections. Des articles sur des sujets tels que la fuite du Coronavirus SARS-2 du laboratoire de Wuhan sont supprimés des moteurs de recherche et ne sont pas autorisés à être republiés par la Trusted News Initiative. Des professionnels perdent leur emploi, font l’objet d’enquêtes et perdent leur droit de pratiquer ou leur licence pour s’être exprimés et/ou avoir traité des patients atteints de COVID-19 à un stade précoce de la maladie. Certains pourraient appeler ces tactiques défenestration. De plus en plus de personnes se rendent compte que les libertés, qui ont fait de notre pays ce qu’il est ,sont en jeu.

 

 

L’article du Telegraph, dont le lien figure ci-dessous, montre que les gouvernements ont dépassé le stade du nudging/coup de pouce et qu’ils ont recours à des mesures psychologiques et totalitaires :

 

L’utilisation de la peur pour contrôler le comportement dans la crise COVID-19 a été du totalitarisme, concluent les scientifiques. Les membres du Groupe scientifique concernant le comportement en cas de pandémie de grippe (Members of Scientific Pandemic Influenza Group) regrettent les méthodes contraires à l’éthique.

 

Plus récemment, l’un des plus grands journaux danois s’est excusé de son échec journalistique lors de la crise COVID-19, pour n’avoir publié que le narratif officiel du gouvernement sans poser de questions. « Nous avons échoué. » Ce journal avait continué à suivre ce plan bien après qu’il soit devenu évident que le récit du gouvernement s’effritait. Le lien entre les gouvernements et les médias pour contrôler la population est devenu la norme.

 

Un autre texte très indiqué à lire est celui du Professeur Ehud Qimron: “Ministère de la santé, il est temps d’admettre l’échec“.

 

Où allons-nous en tant que nation, en tant que société et en tant qu’individus?

 

Pour moi, c’est une bataille qui a complètement changé ma vie, ma façon de penser et ma perspective sur mon gouvernement et les dirigeants du monde. Il n’y a pas de retour en arrière possible pour moi. Je ne laisserai pas cette grande nation américaine, ce monde, prendre la voie du totalitarisme. C’est une recette pour en finir avec le rêve américain.

 

Inspired  a fait une autre vidéo sur mon audio faite à partir de ma récente interview sur la Kristi Leigh TV. La vidéo ci-dessus a été produite par Kristin & Jean Nolan, les fondateurs de la chaîne Inspired. Je leur dois un grand merci!

 

Voyez ici la vidéo de tout l’entretien avec l’expérience de Joe Rogan.


 Traduction par le Docteur Dominique Schwander

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3 Commentaires

  1. Parmi les humains, très peu sont réfractaires à l’hypnose.
    Je suppose que ce doit être un atout pour résister à toutes ces manipulations de grande envergure, mises en place pour la covid.
    Cela doit probablement être le cas de ces quelques résistants qui ont compris ce qui se passe.
    Les autres sont hypnotisés, c’est comme être marabouté, ça marche très bien.
    C’est ce qui nous réunit sur ce site. Mais si on est lucide, on doit savoir que nous ne sommes qu’une minorité.

  2. Sans aucun doute pour l’affaire Covid 19 il y a manipulation de l’opinion par mensonges et peur cree pour que les gens se fassent vacciner.
    Par contre les dangers de l’injection ARNm ne sont pas du tout cites au contraire il y a mensonge et retention d’informations.

  3. Pas de pot pour eux, je suis réfractaire à l’hypnose et à toutes les formes de manipulations. En un mot, je suis irrécupérable. Et fier de l’être !

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